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Bases méthodologiques du contrôle des performances animales pour l’analyse zootechnique : collecte et exploitation des données de suivi des troupeaux témoins / Cheikh Oumar Hane
Titre : Bases méthodologiques du contrôle des performances animales pour l’analyse zootechnique : collecte et exploitation des données de suivi des troupeaux témoins Type de document : texte imprimé Auteurs : Cheikh Oumar Hane, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1989 Importance : 49 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 189] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bases méthodologiques Performances animales Analyse zootechnique Collecte Exploitation Données de suivi Troupeaux témoins Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7065 Bases méthodologiques du contrôle des performances animales pour l’analyse zootechnique : collecte et exploitation des données de suivi des troupeaux témoins [texte imprimé] / Cheikh Oumar Hane, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1989 . - 49 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 189]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001443 E006 HAN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Bilan des campagnes d’insémination artificielle bovine de 1995 à 2002 : Cas des régions de Louga et de Kaolack / Filloh NGafouta
Titre : Bilan des campagnes d’insémination artificielle bovine de 1995 à 2002 : Cas des régions de Louga et de Kaolack Type de document : texte imprimé Auteurs : Filloh NGafouta, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2004 Importance : 54 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2004 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Insémination artificielle Elevage bovin Campagne d’insémination Productivité du cheptel Kaolack Louga PNIA PAPEL Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7590 Bilan des campagnes d’insémination artificielle bovine de 1995 à 2002 : Cas des régions de Louga et de Kaolack [texte imprimé] / Filloh NGafouta, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2004 . - 54 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2004 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002546 E017 NGA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Bilan technique de la campagne d’insémination artificielle 2008-2009 dans le Département de Foundioug / David Alma Senghor
Titre : Bilan technique de la campagne d’insémination artificielle 2008-2009 dans le Département de Foundioug Type de document : texte imprimé Auteurs : David Alma Senghor, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 35 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : GOANA Insémination artificielle Bilan technique Production laitière Bovins métis Autosuffisance en lait Produits laitiers Fatick Foundiougne Résumé : Depuis son indépendance le Sénégal importe beaucoup de produits alimentaires pour combler les besoins de la population mais la crise alimentaire survenue ces dernières années dans le monde a entrainé une hausse importante des prix des produits de première nécessité comme le riz et le lait. Ainsi pour faire face à cette situation l’état du Sénégal a décidé de faire la promotion de la production agricole locale pour assurer son autosuffisance alimentaire à travers le concept de la grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (G.O.A.N.A.). Ce programme devrait permettre au Sénégal de produire suffisamment de produits agricoles et de réduire considérablement les charges liées à l’importation. C’est ainsi que, pour atteindre l’autosuffisance en lait et produits laitiers, le Ministère de l’Elevage a mis en place un programme spécial d’insémination artificielle devant couvrir tout le pays. Dans la région de Fatick l’objectif était d’inséminer 7000 vaches dont 2400 pour le département de Foundiougne. C’est dans ce cadre que s’inscrit ce travail de mémoire qui a pour thème «Bilan technique de la campagne d’insémination artificielle 2008-2009 dans le département de Foundiougne ». La méthodologie que nous avons adoptée pour cette étude consiste en une revue bibliographique suivie d’enquêtes sur le terrain. Les résultats obtenus montrent que l’effectif des vaches inséminées à Foundiougne est de 1660 soit 69.17% de l’objectif de départ. A l’issu du diagnostic de gestation seules 458 vaches sont déclarées gestantes.
Au terme des gestations nous avons enregistré auprès des différents services d’élevage de la zone 386 naissances, cependant un nombre de 111 mortalités a été constaté faute de suivi.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6807 Bilan technique de la campagne d’insémination artificielle 2008-2009 dans le Département de Foundioug [texte imprimé] / David Alma Senghor, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 35 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
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Mots-clés : GOANA Insémination artificielle Bilan technique Production laitière Bovins métis Autosuffisance en lait Produits laitiers Fatick Foundiougne Résumé : Depuis son indépendance le Sénégal importe beaucoup de produits alimentaires pour combler les besoins de la population mais la crise alimentaire survenue ces dernières années dans le monde a entrainé une hausse importante des prix des produits de première nécessité comme le riz et le lait. Ainsi pour faire face à cette situation l’état du Sénégal a décidé de faire la promotion de la production agricole locale pour assurer son autosuffisance alimentaire à travers le concept de la grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (G.O.A.N.A.). Ce programme devrait permettre au Sénégal de produire suffisamment de produits agricoles et de réduire considérablement les charges liées à l’importation. C’est ainsi que, pour atteindre l’autosuffisance en lait et produits laitiers, le Ministère de l’Elevage a mis en place un programme spécial d’insémination artificielle devant couvrir tout le pays. Dans la région de Fatick l’objectif était d’inséminer 7000 vaches dont 2400 pour le département de Foundiougne. C’est dans ce cadre que s’inscrit ce travail de mémoire qui a pour thème «Bilan technique de la campagne d’insémination artificielle 2008-2009 dans le département de Foundiougne ». La méthodologie que nous avons adoptée pour cette étude consiste en une revue bibliographique suivie d’enquêtes sur le terrain. Les résultats obtenus montrent que l’effectif des vaches inséminées à Foundiougne est de 1660 soit 69.17% de l’objectif de départ. A l’issu du diagnostic de gestation seules 458 vaches sont déclarées gestantes.
Au terme des gestations nous avons enregistré auprès des différents services d’élevage de la zone 386 naissances, cependant un nombre de 111 mortalités a été constaté faute de suivi.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002806 E017 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Les caractériques de l’élevage du département de Kédougou / Simon Emvolé Ndong
Titre : Les caractériques de l’élevage du département de Kédougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Emvolé Ndong, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1999 Importance : 40 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale :
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999 ]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Caractéristiques Elevage Kédougou Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7299 Les caractériques de l’élevage du département de Kédougou [texte imprimé] / Simon Emvolé Ndong, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1999 . - 40 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Caractéristiques Elevage Kédougou Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7299 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001947 E011 EMV Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation et analyse des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona / Idrissa Diédhiou
Titre : Caractérisation et analyse des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona Type de document : texte imprimé Auteurs : Idrissa Diédhiou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 85 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Apiculture Filière apicole Ruches Abeilles Production de miel Traitement Miellerie Miel Contrainte Commercialisation du miel Bignona Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7333 Caractérisation et analyse des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona [texte imprimé] / Idrissa Diédhiou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 85 p. : ill. couv. ill. en coul.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002798 b E037 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda / Traoré, Ibrahima
Titre : Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda Type de document : texte imprimé Auteurs : Traoré, Ibrahima, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 46 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aviculture, Typologie, Aviculture familiale, Maladies, Contraintes, Nguéniéne, Ndofane, Ndianda Résumé : Notre étude est axée sur l’aviculture au sens large du terme mais elle met plus l’accent sur l’aviculture familiale et l’aviculture dite moderne. Ainsi un questionnaire a été administré à 200 exploitants de la commune de Nguèniéne répartis dans trois villages, à savoir Nguèniéne, Ndofane et Ndianda .63, 5% des personnes enquêtées sont des femmes. L’élevage de poulets demeure la plus répandue (mais on trouve également des pigeons, des canards, des pintades, et dindes). Dans l’aviculture villageoise, les animaux sont nourris avec les sons de mil, de restes de cuisine et sont laissés en liberté. Dans ce système dit extensifs, la gestion de la volaille est l’affaire de toute la famille. Dans l’élevage de poulet de chairs et de poule pondeuse, l’alimentation est à base d’aliments industriels.79% des éleveurs utilisent des poulaillers « traditionnels » en briques ou en terres battues et dont la construction ne nécessite pas beaucoup de moyens financiers. Rares sont les exploitations disposant de mangeoires car les aliments sont distribuées à même le sol. Cependant, on trouve des pots, des bouteilles recyclées, des bols… Dans 15,5% des exploitations, on trouve des poulaillers « modernes », équipés de mangeoires et d’abreuvoirs modernes et d’installation électriques. Le nombre d’œufs pondus est en moyenne de 12, le nombre d’œufs éclos est en moyenne de 8 ,5±1,7 . Le nombre de poussins sevrés est en moyenne de 5,2± 1,7 et l’âge à la reproduction des jeunes sujets est en moyenne de 4,8±0,5 mois. La maladie de Newcastle constitue la principale menace de l’aviculture villageoise avec 79% des cas suivi de la variole aviaire. En général, seuls les éleveurs de chairs et de pondeuses vaccinent leurs animaux contre la maladie de Newcastle. Les deux principales contraintes de l’élevage de poulets de chairs sont : un marché pour écouler leurs produits, une formation sur les techniques d’élevage.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10259 Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda [texte imprimé] / Traoré, Ibrahima, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 46 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aviculture, Typologie, Aviculture familiale, Maladies, Contraintes, Nguéniéne, Ndofane, Ndianda Résumé : Notre étude est axée sur l’aviculture au sens large du terme mais elle met plus l’accent sur l’aviculture familiale et l’aviculture dite moderne. Ainsi un questionnaire a été administré à 200 exploitants de la commune de Nguèniéne répartis dans trois villages, à savoir Nguèniéne, Ndofane et Ndianda .63, 5% des personnes enquêtées sont des femmes. L’élevage de poulets demeure la plus répandue (mais on trouve également des pigeons, des canards, des pintades, et dindes). Dans l’aviculture villageoise, les animaux sont nourris avec les sons de mil, de restes de cuisine et sont laissés en liberté. Dans ce système dit extensifs, la gestion de la volaille est l’affaire de toute la famille. Dans l’élevage de poulet de chairs et de poule pondeuse, l’alimentation est à base d’aliments industriels.79% des éleveurs utilisent des poulaillers « traditionnels » en briques ou en terres battues et dont la construction ne nécessite pas beaucoup de moyens financiers. Rares sont les exploitations disposant de mangeoires car les aliments sont distribuées à même le sol. Cependant, on trouve des pots, des bouteilles recyclées, des bols… Dans 15,5% des exploitations, on trouve des poulaillers « modernes », équipés de mangeoires et d’abreuvoirs modernes et d’installation électriques. Le nombre d’œufs pondus est en moyenne de 12, le nombre d’œufs éclos est en moyenne de 8 ,5±1,7 . Le nombre de poussins sevrés est en moyenne de 5,2± 1,7 et l’âge à la reproduction des jeunes sujets est en moyenne de 4,8±0,5 mois. La maladie de Newcastle constitue la principale menace de l’aviculture villageoise avec 79% des cas suivi de la variole aviaire. En général, seuls les éleveurs de chairs et de pondeuses vaccinent leurs animaux contre la maladie de Newcastle. Les deux principales contraintes de l’élevage de poulets de chairs sont : un marché pour écouler leurs produits, une formation sur les techniques d’élevage.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10259 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003810 a E003 TRA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003810 b E003 TRA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation des avortements survenant dans les élevages caprins de l’Association Régionale des Eleveurs caprins (ARECAP) dans les régions de Fatick et Diourbel / Adam Ndiaye Sarr
Titre : Caractérisation des avortements survenant dans les élevages caprins de l’Association Régionale des Eleveurs caprins (ARECAP) dans les régions de Fatick et Diourbel Type de document : texte imprimé Auteurs : Adam Ndiaye Sarr, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2019 Importance : 42 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage caprin, Chèvre, Caractéristiques des avortements, Contraintes, Alimentation, Association Régionale d’Eleveurs Caprins (ARECAP), Fatick, Diourbel Résumé : L’élevage est un sous-secteur stratégique qui occupe près de 60% de la population sénégalaise. Il constitue comme l’agriculture, un des piliers du développement de ce pays.
Dans les régions de Fatick et Diourbel, les éleveurs membres de l’Association Régionale d’Eleveurs Caprins (ARECAP), sont confrontés à de nombreux avortements. Au vu de l’importance de l’élevage caprin dans l’économie familiale, une diminution des naissances signifie moins d’animaux à vendre pour répondre aux dépenses de la famille. L’ARECAP possède peu de connaissances et d’informations sur ces avortements. Cette étude a donc pour objectif de caractériser les avortements survenus dans les élevages caprins de l’ARECAP. Pour atteindre cet objectif, la méthodologie proposée consiste à mener des enquêtes quantitatives et qualitatives auprès de 67 éleveurs concernés par des avortements. Les résultats ont montré que la définition exacte d’un avortement n’est pas connue parce que 83,6% définissent les avortements comme étant des mort-nés. Sans surprise au vu des conduites d’élevage (divagation, pas de séparation des sexes), une majorité (54,7%) des avortements concernent des chevrettes. Le taux global d’avortement sur l’étude est de 15,9%. Les avortements sont plus fréquents en saison sèche (77,6%) entre février et avril après de fortes chaleurs (88,1%) et surviennent plus au 2iém et au 4iém mois de gestation avec respectivement 25% et 31%. De nombreuses conduites d’élevage engendrant des situations de stress et des risques de traumatisme pouvant causer des avortements, ont été relevées. Le manque de soin relevé tant en termes de logement, d’alimentation que de suivi sanitaire peut aussi favoriser le survenu d’avortements. L’étude n’avait pas pour but de détecter des causes infectieuses mais des pratiques décrites, non appropriées (entretien des enclos, devenir de l’avorton, présence de réservoirs) qui pourraient favoriser le développement de maladies abortives. Un important travail de sensibilisation reste à faire pour amener les éleveurs à comprendre l’intérêt de faire évoluer leurs pratiques car trop d’éleveurs restent encore persuadés que les avortements survenus relèvent de la volonté divine.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8570 Caractérisation des avortements survenant dans les élevages caprins de l’Association Régionale des Eleveurs caprins (ARECAP) dans les régions de Fatick et Diourbel [texte imprimé] / Adam Ndiaye Sarr, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2019 . - 42 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage caprin, Chèvre, Caractéristiques des avortements, Contraintes, Alimentation, Association Régionale d’Eleveurs Caprins (ARECAP), Fatick, Diourbel Résumé : L’élevage est un sous-secteur stratégique qui occupe près de 60% de la population sénégalaise. Il constitue comme l’agriculture, un des piliers du développement de ce pays.
Dans les régions de Fatick et Diourbel, les éleveurs membres de l’Association Régionale d’Eleveurs Caprins (ARECAP), sont confrontés à de nombreux avortements. Au vu de l’importance de l’élevage caprin dans l’économie familiale, une diminution des naissances signifie moins d’animaux à vendre pour répondre aux dépenses de la famille. L’ARECAP possède peu de connaissances et d’informations sur ces avortements. Cette étude a donc pour objectif de caractériser les avortements survenus dans les élevages caprins de l’ARECAP. Pour atteindre cet objectif, la méthodologie proposée consiste à mener des enquêtes quantitatives et qualitatives auprès de 67 éleveurs concernés par des avortements. Les résultats ont montré que la définition exacte d’un avortement n’est pas connue parce que 83,6% définissent les avortements comme étant des mort-nés. Sans surprise au vu des conduites d’élevage (divagation, pas de séparation des sexes), une majorité (54,7%) des avortements concernent des chevrettes. Le taux global d’avortement sur l’étude est de 15,9%. Les avortements sont plus fréquents en saison sèche (77,6%) entre février et avril après de fortes chaleurs (88,1%) et surviennent plus au 2iém et au 4iém mois de gestation avec respectivement 25% et 31%. De nombreuses conduites d’élevage engendrant des situations de stress et des risques de traumatisme pouvant causer des avortements, ont été relevées. Le manque de soin relevé tant en termes de logement, d’alimentation que de suivi sanitaire peut aussi favoriser le survenu d’avortements. L’étude n’avait pas pour but de détecter des causes infectieuses mais des pratiques décrites, non appropriées (entretien des enclos, devenir de l’avorton, présence de réservoirs) qui pourraient favoriser le développement de maladies abortives. Un important travail de sensibilisation reste à faire pour amener les éleveurs à comprendre l’intérêt de faire évoluer leurs pratiques car trop d’éleveurs restent encore persuadés que les avortements survenus relèvent de la volonté divine.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8570 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003789 b E011 SAR Périodique ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003789 E011 SAR Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation de l’élevage dans le département de Tambacounda / Ngoma Boulingui
Titre : Caractérisation de l’élevage dans le département de Tambacounda Type de document : texte imprimé Auteurs : Ngoma Boulingui, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1999 Importance : 39 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Caractérisation Elevage Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7298 Caractérisation de l’élevage dans le département de Tambacounda [texte imprimé] / Ngoma Boulingui, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1999 . - 39 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Caractérisation Elevage Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7298 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001946 E011 BOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation de l’élevage ovin dans la ville de Thiès (Sénégal) / Sadio Gueye
Titre : Caractérisation de l’élevage ovin dans la ville de Thiès (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sadio Gueye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2021 Importance : 38 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage ovin, Caractérisation socio-économique, Alimentation, Contraintes, Marges nettes, Thiès Résumé : L’étude est réalisée dans la ville de Thiès, qui se situe à 70 km de la capitale du Sénégal, en vue de caractériser l’élevage des ovins. Les données sont collectées à partir d’enquêtes auprès de 120 éleveurs. Les éleveurs d’ovins sont des hommes (80%) et des femmes (20%) qui étaient des mariés à 88,33%. L’âge moyen des éleveurs est de 51,4±18,35 ans. Ceux qui ont fait des études primaires représentaient 29,17%, secondaires 31,67%, universitaire 8,33% et école coranique 17,5%. Cependant 13,33% n’ont fréquenté ni l’école coranique ni l’école française. L’élevage ovin est une activité secondaire pour 93,33% des enquêtés. Les principales raisons évoquées par les éleveurs sont la passion (75%) et la génération de revenu (15%). Les races les plus exploitées dans la ville de Thiès étaient les ovins Peul (48,33%), les ovins Touabir (19,17%), les métis (14,17%) et les Ladoum (11,67%). Le mode d’acquisition des animaux au démarrage se fait principalement par achat sur fond propre (63,33%). Respectivement 30% et 6,67% des éleveurs ont acquis leurs troupeaux de démarrage par don et héritage. Le mode d’élevage pratiqué était la stabulation permanente (98%) et la divagation (2%). La taille moyenne par exploitation était de 6,57±6,22 têtes. En ce qui concerne la reproduction dans les élevages enquêtés, 72,5% d’entre eux ont affirmé que les brebis mettent bas qu’une seule fois dans l’année. Pour un peu plus du quart des éleveurs (27,5%), les brebis mettaient bas deux (2) fois dans l’année. Pour ce qui est du calcul des marges, les résultats ont montré que les marges nettes moyennes annuelles varient entre 12 859 Fcfa et 167 790 Fcfa avec une moyenne de 17 260 Fcfa. Les contraintes les plus rencontrées par les éleveurs sont principalement la cherté de l’aliment (60%) et le vol (25%). A cela s’ajoute le manque de formation aux techniques d’élevage et d’organisation. Ainsi, l’amélioration de l’élevage passe par le renforcement des capacités et une meilleure organisation des éleveurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10658 Caractérisation de l’élevage ovin dans la ville de Thiès (Sénégal) [texte imprimé] / Sadio Gueye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage ovin, Caractérisation socio-économique, Alimentation, Contraintes, Marges nettes, Thiès Résumé : L’étude est réalisée dans la ville de Thiès, qui se situe à 70 km de la capitale du Sénégal, en vue de caractériser l’élevage des ovins. Les données sont collectées à partir d’enquêtes auprès de 120 éleveurs. Les éleveurs d’ovins sont des hommes (80%) et des femmes (20%) qui étaient des mariés à 88,33%. L’âge moyen des éleveurs est de 51,4±18,35 ans. Ceux qui ont fait des études primaires représentaient 29,17%, secondaires 31,67%, universitaire 8,33% et école coranique 17,5%. Cependant 13,33% n’ont fréquenté ni l’école coranique ni l’école française. L’élevage ovin est une activité secondaire pour 93,33% des enquêtés. Les principales raisons évoquées par les éleveurs sont la passion (75%) et la génération de revenu (15%). Les races les plus exploitées dans la ville de Thiès étaient les ovins Peul (48,33%), les ovins Touabir (19,17%), les métis (14,17%) et les Ladoum (11,67%). Le mode d’acquisition des animaux au démarrage se fait principalement par achat sur fond propre (63,33%). Respectivement 30% et 6,67% des éleveurs ont acquis leurs troupeaux de démarrage par don et héritage. Le mode d’élevage pratiqué était la stabulation permanente (98%) et la divagation (2%). La taille moyenne par exploitation était de 6,57±6,22 têtes. En ce qui concerne la reproduction dans les élevages enquêtés, 72,5% d’entre eux ont affirmé que les brebis mettent bas qu’une seule fois dans l’année. Pour un peu plus du quart des éleveurs (27,5%), les brebis mettaient bas deux (2) fois dans l’année. Pour ce qui est du calcul des marges, les résultats ont montré que les marges nettes moyennes annuelles varient entre 12 859 Fcfa et 167 790 Fcfa avec une moyenne de 17 260 Fcfa. Les contraintes les plus rencontrées par les éleveurs sont principalement la cherté de l’aliment (60%) et le vol (25%). A cela s’ajoute le manque de formation aux techniques d’élevage et d’organisation. Ainsi, l’amélioration de l’élevage passe par le renforcement des capacités et une meilleure organisation des éleveurs.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003897 a E011 GUE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003897 b E011 GUE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation de l’élevage des ovins dans la commune de Tambacounda (Sénégal) / Coulibaly, Sékou
Titre : Caractérisation de l’élevage des ovins dans la commune de Tambacounda (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Coulibaly, Sékou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 42 p Présentation : ill., couv., ill., en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage ovin, Reproduction, Alimentation, Contraintes, Elevage, Tambacounda Résumé : L’étude a été réalisée dans la commune de Tambacounda, située à 467 Km de Dakar et avait pour objectif de caractériser l’élevage ovin dans la zone. Elle a été menée auprès de 150 éleveurs choisis au hasard. Les données ont été collectées à l’aide d’un questionnaire administré aux éleveurs. Les résultats ont montré que 94% des éleveurs étaient instruits. Les hommes étaient majoritaires dans l’activité avec 86% contre 14% pour des femmes. Les éleveurs étaient majoritairement des mariés (85%). Ils avaient un âge moyen de 44,47±14,12 ans. L’essentiel des éleveurs était de religion musulmane (99,3%). Parmi les éleveurs, 96% considéraient l’activité d’élevage comme secondaire. Les principales raisons d’élevage évoquées par les éleveurs étaient la génération de revenus (58%) et l’autoconsommation (32%). Au démarrage de l’élevage, l’acquisition des animaux se faisait principalement par achat sur fond propre (82,7%) et par don et/ou par héritage (14%). La taille moyenne du troupeau au démarrage était de 2,23±2,23 têtes. Le nombre total d’animaux dans les élevages était en moyenne de 8,63±16,91 têtes de mouton avec un minimum de 1 tête et un maximum de 183 têtes. En ce qui concerne la gestion de la reproduction, les éleveurs enquêtés ont affirmé que la plupart des brebis mettaient bas deux fois dans l’année (56,7%). Les naissances simples étaient plus fréquentes dans les élevages (62,7%). La saillie est libre chez tous les éleveurs. L’âge moyen de la mise en reproduction des jeunes mâles et femelles était respectivement 8±2,8 mois et 9±2,5 mois. La majorité des géniteurs utilisés pour la reproduction sont nés dans le troupeau (49,3%). Les géniteurs achetés et empruntés représentaient respectivement 30,6% et 13,33%. Les résultats des analyses économiques ont montré que les marges nettes moyennes annuelles varient entre 15 109 FCFA et 86 007 FCFA avec une moyenne de 246 348 FCFA. Les principales contraintes relatées par les éleveurs sont la cherté des aliments, les maladies et la difficulté de commercialisation des animaux. Les revenus de l’élevage étaient destinés pour la majorité des éleveurs (56,7%) aux dépenses familiales.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10834 Caractérisation de l’élevage des ovins dans la commune de Tambacounda (Sénégal) [texte imprimé] / Coulibaly, Sékou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 42 p : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage ovin, Reproduction, Alimentation, Contraintes, Elevage, Tambacounda Résumé : L’étude a été réalisée dans la commune de Tambacounda, située à 467 Km de Dakar et avait pour objectif de caractériser l’élevage ovin dans la zone. Elle a été menée auprès de 150 éleveurs choisis au hasard. Les données ont été collectées à l’aide d’un questionnaire administré aux éleveurs. Les résultats ont montré que 94% des éleveurs étaient instruits. Les hommes étaient majoritaires dans l’activité avec 86% contre 14% pour des femmes. Les éleveurs étaient majoritairement des mariés (85%). Ils avaient un âge moyen de 44,47±14,12 ans. L’essentiel des éleveurs était de religion musulmane (99,3%). Parmi les éleveurs, 96% considéraient l’activité d’élevage comme secondaire. Les principales raisons d’élevage évoquées par les éleveurs étaient la génération de revenus (58%) et l’autoconsommation (32%). Au démarrage de l’élevage, l’acquisition des animaux se faisait principalement par achat sur fond propre (82,7%) et par don et/ou par héritage (14%). La taille moyenne du troupeau au démarrage était de 2,23±2,23 têtes. Le nombre total d’animaux dans les élevages était en moyenne de 8,63±16,91 têtes de mouton avec un minimum de 1 tête et un maximum de 183 têtes. En ce qui concerne la gestion de la reproduction, les éleveurs enquêtés ont affirmé que la plupart des brebis mettaient bas deux fois dans l’année (56,7%). Les naissances simples étaient plus fréquentes dans les élevages (62,7%). La saillie est libre chez tous les éleveurs. L’âge moyen de la mise en reproduction des jeunes mâles et femelles était respectivement 8±2,8 mois et 9±2,5 mois. La majorité des géniteurs utilisés pour la reproduction sont nés dans le troupeau (49,3%). Les géniteurs achetés et empruntés représentaient respectivement 30,6% et 13,33%. Les résultats des analyses économiques ont montré que les marges nettes moyennes annuelles varient entre 15 109 FCFA et 86 007 FCFA avec une moyenne de 246 348 FCFA. Les principales contraintes relatées par les éleveurs sont la cherté des aliments, les maladies et la difficulté de commercialisation des animaux. Les revenus de l’élevage étaient destinés pour la majorité des éleveurs (56,7%) aux dépenses familiales.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003979 a E011 COU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003979 b E011 COU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation des exploitations avicoles dans la zone d’intervention du projet ASAN cas des collectivités locales de Saré Bidji et de Dioulacolon / Abdoul Khadry Diallo
Titre : Caractérisation des exploitations avicoles dans la zone d’intervention du projet ASAN cas des collectivités locales de Saré Bidji et de Dioulacolon Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Khadry Diallo, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 32 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aviculture Femmes rurales Elevage avicole Caractérisation Maladie Impact socio-économique ASAN Sare Bidji Dioulacolon Kolda Résumé : L’aviculture est une activité très répandue au Sénégal plus particulièrement dans le milieu rural ou elle joue un rôle socio-économique important. Dans une optique d’améliorer sa productivité, une étude de caractérisation et de typologie des élevages avicoles dans la zone d'intervention du projet ASAN à Kolda au sud du Sénégal a été menée. Ainsi, un questionnaire a été administré à 74 exploitants, réparties dans 12 villages des communes de Sare Bidji et Dioulacolon. Cette étude vise à mieux comprendre les systèmes d’élevage avicoles de la zone d'intervention du projet ASAN afin de déterminer les bonnes pratiques permettant d’améliorer leurs productivités. Les aviculteurs du projet sont des femmes qui ont un âge moyen de 37,1 ± 11,31 ans. Elles sont non scolarisées et leurs principales activités tournent autour de l’agriculture et de l’élevage. Le système d’élevage avicole est de type traditionnel avec une forte implication des femmes. Le nombre moyen de sujets par exploitation est de 14,91±9,68. La majorité des éleveurs avait un poulailler en chaume financé par le projet. Les éleveurs nourrissent leurs sujets principalement avec le son (42%) mais aussi avec les céréales (34%). L’abreuvement se faisait à volonté et le matériel d’élevage était constitué de matériaux de récupération. Dans leur majorité (96%), les éleveurs font la vaccination mais cela n’a pas pu empêcher l’apparition de certaines maladies comme les maladies parasitaires et infectieuses (Newcastle et Gumboro). La volaille est généralement vendue sur place. La typologie d’exploitation a fait ressortir trois groupes. Le groupe I renferme les élevages avicoles les plus performants de l’échantillon, ceux du groupe II sont plus orientés vers l'autoconsommation de la volaille produite et le groupe III représente les exploitations dans lesquelles l’élevage avicoles est complètement délaissé. Cependant il s’avère nécessaire de mettre en place un dispositif de d’appui –conseil et de renforcement de capacité.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6549 Caractérisation des exploitations avicoles dans la zone d’intervention du projet ASAN cas des collectivités locales de Saré Bidji et de Dioulacolon [texte imprimé] / Abdoul Khadry Diallo, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 32 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aviculture Femmes rurales Elevage avicole Caractérisation Maladie Impact socio-économique ASAN Sare Bidji Dioulacolon Kolda Résumé : L’aviculture est une activité très répandue au Sénégal plus particulièrement dans le milieu rural ou elle joue un rôle socio-économique important. Dans une optique d’améliorer sa productivité, une étude de caractérisation et de typologie des élevages avicoles dans la zone d'intervention du projet ASAN à Kolda au sud du Sénégal a été menée. Ainsi, un questionnaire a été administré à 74 exploitants, réparties dans 12 villages des communes de Sare Bidji et Dioulacolon. Cette étude vise à mieux comprendre les systèmes d’élevage avicoles de la zone d'intervention du projet ASAN afin de déterminer les bonnes pratiques permettant d’améliorer leurs productivités. Les aviculteurs du projet sont des femmes qui ont un âge moyen de 37,1 ± 11,31 ans. Elles sont non scolarisées et leurs principales activités tournent autour de l’agriculture et de l’élevage. Le système d’élevage avicole est de type traditionnel avec une forte implication des femmes. Le nombre moyen de sujets par exploitation est de 14,91±9,68. La majorité des éleveurs avait un poulailler en chaume financé par le projet. Les éleveurs nourrissent leurs sujets principalement avec le son (42%) mais aussi avec les céréales (34%). L’abreuvement se faisait à volonté et le matériel d’élevage était constitué de matériaux de récupération. Dans leur majorité (96%), les éleveurs font la vaccination mais cela n’a pas pu empêcher l’apparition de certaines maladies comme les maladies parasitaires et infectieuses (Newcastle et Gumboro). La volaille est généralement vendue sur place. La typologie d’exploitation a fait ressortir trois groupes. Le groupe I renferme les élevages avicoles les plus performants de l’échantillon, ceux du groupe II sont plus orientés vers l'autoconsommation de la volaille produite et le groupe III représente les exploitations dans lesquelles l’élevage avicoles est complètement délaissé. Cependant il s’avère nécessaire de mettre en place un dispositif de d’appui –conseil et de renforcement de capacité.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003637 E003 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003637 b E003 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation phénotypique de l’élite du mouton Ladoum par la mensuration dans la commune de Thiès (Sénégal) / Mamadou Aw
Titre : Caractérisation phénotypique de l’élite du mouton Ladoum par la mensuration dans la commune de Thiès (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Aw, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 30 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Caractérisation phénotypique Elevage Mouton Ladoum Mensuration Corrélation Hauteur au garrot Thiès Sénégal. Résumé : L’étude a été menée dans la commune de Thiès en perspective d’une meilleure connaissance des performances phénotypiques du mouton Ladoum qui restent jusqu’alors peu étudiées. Des mesures corporelles ont été effectuées au niveau de 96 moutons Ladoum dont 20 mâles et 76 femelles. En effet, on note un dimorphisme sexuel nettement visible sur le terrain. Les résultats de mesures prises au niveau de la tête et de l’encolure ont montré que la moyenne est de l’ordre respectivement pour les mâle adultes et les femelles adultes de 28,92 cm ± 1,25 et de 25,93 cm ± 1,43 pour la longueur du chanfrein, de 6,22 cm ± 0,64 et de 4,24 cm ± 0,59 pour l’épaisseur du chanfrein, de 61,59 cm ± 4,90 et de 57,7 cm ± 3,66 pour la longueur de l’encolure et de 62,08 cm ± 7,38 et de 41,4 cm ± 3,31 pourtour de l’encolure. En moyenne, le mouton Ladoum a une hauteur au garrot de 106,51 cm ± 4,24 chez le mâle adulte et de 94,28 cm ± 3,28 chez la femelle adulte et une hauteur au sacrum respectivement chez le mâle et la femelle de 102,75 cm ± 3,12 et de 92,92 cm ±3,02. Le mouton Ladoum a une longueur du corps dont la moyenne tourne au tour de 137,67cm ± 7,37 et de 124,99 cm ± 6,36 respectivement chez le mâle et la femelle. La queue est très longue et dépasse même parfois la pointe du jarret chez les deux sexes. L’analyse statistique de la matrice de corrélation a montré de fortes corrélations entre la hauteur au garrot(HG) et la hauteur au sacrum(HS) =0,8785 ; la hauteur au garrot(HG) et le tour de poitrine(TP) =0,7337 ; le tour de poitrine(TP) et la profondeur de la poitrine(PP) =0,834 ; le pourtour de l’encolure(PE) et l’épaisseur de la nuque(EN) =0,8437. Cependant, chez le mouton Ladoum, les oreilles sont faiblement corrélées à toutes les variables négativement ou positivement.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6567 Caractérisation phénotypique de l’élite du mouton Ladoum par la mensuration dans la commune de Thiès (Sénégal) [texte imprimé] / Mamadou Aw, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 30 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018]
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Mots-clés : Caractérisation phénotypique Elevage Mouton Ladoum Mensuration Corrélation Hauteur au garrot Thiès Sénégal. Résumé : L’étude a été menée dans la commune de Thiès en perspective d’une meilleure connaissance des performances phénotypiques du mouton Ladoum qui restent jusqu’alors peu étudiées. Des mesures corporelles ont été effectuées au niveau de 96 moutons Ladoum dont 20 mâles et 76 femelles. En effet, on note un dimorphisme sexuel nettement visible sur le terrain. Les résultats de mesures prises au niveau de la tête et de l’encolure ont montré que la moyenne est de l’ordre respectivement pour les mâle adultes et les femelles adultes de 28,92 cm ± 1,25 et de 25,93 cm ± 1,43 pour la longueur du chanfrein, de 6,22 cm ± 0,64 et de 4,24 cm ± 0,59 pour l’épaisseur du chanfrein, de 61,59 cm ± 4,90 et de 57,7 cm ± 3,66 pour la longueur de l’encolure et de 62,08 cm ± 7,38 et de 41,4 cm ± 3,31 pourtour de l’encolure. En moyenne, le mouton Ladoum a une hauteur au garrot de 106,51 cm ± 4,24 chez le mâle adulte et de 94,28 cm ± 3,28 chez la femelle adulte et une hauteur au sacrum respectivement chez le mâle et la femelle de 102,75 cm ± 3,12 et de 92,92 cm ±3,02. Le mouton Ladoum a une longueur du corps dont la moyenne tourne au tour de 137,67cm ± 7,37 et de 124,99 cm ± 6,36 respectivement chez le mâle et la femelle. La queue est très longue et dépasse même parfois la pointe du jarret chez les deux sexes. L’analyse statistique de la matrice de corrélation a montré de fortes corrélations entre la hauteur au garrot(HG) et la hauteur au sacrum(HS) =0,8785 ; la hauteur au garrot(HG) et le tour de poitrine(TP) =0,7337 ; le tour de poitrine(TP) et la profondeur de la poitrine(PP) =0,834 ; le pourtour de l’encolure(PE) et l’épaisseur de la nuque(EN) =0,8437. Cependant, chez le mouton Ladoum, les oreilles sont faiblement corrélées à toutes les variables négativement ou positivement.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003647 E011 AWM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003647 b E011 AWM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation de Rhipicephalus Appendiculatus et Rhipicephalus Zambeiensis des provinces Sud et Est de la Zambie / Abdou Khadre FALL
Titre : Caractérisation de Rhipicephalus Appendiculatus et Rhipicephalus Zambeiensis des provinces Sud et Est de la Zambie Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou Khadre FALL (2001), Auteur Editeur : Antwerpen [Belgique] : IMTA Année de publication : 2001 Note générale : [ Thèse de Master science : Santé animale : IMTA : 2001 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Caractérisation Santé animale Rhipicephalus Appendiculatus Rhipicephalus Zambeiensis Province Sud Province Est Zambie Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7114 Caractérisation de Rhipicephalus Appendiculatus et Rhipicephalus Zambeiensis des provinces Sud et Est de la Zambie [texte imprimé] / Abdou Khadre FALL (2001), Auteur . - Antwerpen (Antwerpen, Belgique) : IMTA, 2001.
[ Thèse de Master science : Santé animale : IMTA : 2001 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002176 b D19 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Exclu du prêt Caractérisation du système d’élevage laitier périurbain dans la zone Sylvopastorale : cas de Dahra-Djoloff / Serigne Ndaw
Titre : Caractérisation du système d’élevage laitier périurbain dans la zone Sylvopastorale : cas de Dahra-Djoloff Type de document : texte imprimé Auteurs : Serigne Ndaw, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 56 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage périurbain Production laitière Lait Zébus Ressources fourragères Système d’élevage Zone sylvopatorale Dahra-Djoloff Résumé : La vocation première de l’élevage en zone périurbaine de Dahra-Djoloff est la production laitière qui repose sur un système de type semi-intensif. La gestion du troupeau en ville est du ressort des femmes. Elles sont aidées dans cette tâche par un berger qui assure la conduite du troupeau. Les hommes quant à eux gèrent le grand troupeau qui se trouve en brousse. L’élevage périurbain se fait avec un effectif réduit, 5 têtes en moyenne à cause des contraintes économiques. Le zébu peuhl Gobra est la principale race exploitée, malgré sa faible productivité en lait. Cependant nous rencontrons des métisses issues du croissement d’une femelle Gobra et d’un mâle Guzérat, race indienne originaire du Brésil. Le Guzérat est beaucoup appréciée par les peuhls compte tenu de sa rusticité, de son adaptation aux rudes conditions climatiques de la zone mais aussi de ses performances en matière de production de lait. La quantité de lait produite varie de 1 à 2 litres/vache/jour et dépend en grande partie de l’alimentation. L’aliment de base repose essentiellement sur la paille de brousse obtenue soit par achat ou par réserve fourragère constituée pendant la saison sèche fraiche.
La complémentation est pratiquée après le retour des animaux des pâturages. Les aliments utilisés pour la complémentation sont le tourteau d’arachide, la graine de coton et l’aliment de bétail industriel. La saisonnalité des ressources fourragères entraine une variabilité de la quantité de lait obtenue et est à l’origine de l’état cachectique des animaux en saison sèche.
Il en résulte des intervalles entre vêlages très longs 2 à 3 ans et une faible productivité des animaux. Le taux de réussite de l’insémination artificielle reste encore faible (7,7%) malgré sa contribution à l’amélioration du potentiel laitier des vaches locales et la sensibilisation des éleveurs. Ce type d’élevage laitier périurbain s’apparente à une amélioration du système d’élevage extensif traditionnel avec comme différence la complémentation alimentaire.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6830 Caractérisation du système d’élevage laitier périurbain dans la zone Sylvopastorale : cas de Dahra-Djoloff [texte imprimé] / Serigne Ndaw, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 56 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage périurbain Production laitière Lait Zébus Ressources fourragères Système d’élevage Zone sylvopatorale Dahra-Djoloff Résumé : La vocation première de l’élevage en zone périurbaine de Dahra-Djoloff est la production laitière qui repose sur un système de type semi-intensif. La gestion du troupeau en ville est du ressort des femmes. Elles sont aidées dans cette tâche par un berger qui assure la conduite du troupeau. Les hommes quant à eux gèrent le grand troupeau qui se trouve en brousse. L’élevage périurbain se fait avec un effectif réduit, 5 têtes en moyenne à cause des contraintes économiques. Le zébu peuhl Gobra est la principale race exploitée, malgré sa faible productivité en lait. Cependant nous rencontrons des métisses issues du croissement d’une femelle Gobra et d’un mâle Guzérat, race indienne originaire du Brésil. Le Guzérat est beaucoup appréciée par les peuhls compte tenu de sa rusticité, de son adaptation aux rudes conditions climatiques de la zone mais aussi de ses performances en matière de production de lait. La quantité de lait produite varie de 1 à 2 litres/vache/jour et dépend en grande partie de l’alimentation. L’aliment de base repose essentiellement sur la paille de brousse obtenue soit par achat ou par réserve fourragère constituée pendant la saison sèche fraiche.
La complémentation est pratiquée après le retour des animaux des pâturages. Les aliments utilisés pour la complémentation sont le tourteau d’arachide, la graine de coton et l’aliment de bétail industriel. La saisonnalité des ressources fourragères entraine une variabilité de la quantité de lait obtenue et est à l’origine de l’état cachectique des animaux en saison sèche.
Il en résulte des intervalles entre vêlages très longs 2 à 3 ans et une faible productivité des animaux. Le taux de réussite de l’insémination artificielle reste encore faible (7,7%) malgré sa contribution à l’amélioration du potentiel laitier des vaches locales et la sensibilisation des éleveurs. Ce type d’élevage laitier périurbain s’apparente à une amélioration du système d’élevage extensif traditionnel avec comme différence la complémentation alimentaire.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6830 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002803 E011 NDA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation des systèmes d’élevage ovin dans la zone péri-urbaine de Dakar / Saliou Ndione
Titre : Caractérisation des systèmes d’élevage ovin dans la zone péri-urbaine de Dakar Type de document : texte imprimé Auteurs : Saliou Ndione, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1987 Importance : 52 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1997 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Caractérisation, Systèmes d’élevage, Elevage ovin, Zone péri-urbaine, Dakar Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8725 Caractérisation des systèmes d’élevage ovin dans la zone péri-urbaine de Dakar [texte imprimé] / Saliou Ndione, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1987 . - 52 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1997 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Caractérisation, Systèmes d’élevage, Elevage ovin, Zone péri-urbaine, Dakar Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8725 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001465 E011 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisation des systèmes de production des exploitations agricoles familiales : Cas de la communauté rurale de Aéré – Lao / Mahmoudou Touré
Titre : Caractérisation des systèmes de production des exploitations agricoles familiales : Cas de la communauté rurale de Aéré – Lao Type de document : texte imprimé Auteurs : Mahmoudou Touré, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2007 Importance : 41 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études Elevage : ISFAR ex ENCR : 2007 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Système de production Exploitations agricoles Caractérisation Exploitations familiales Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7401 Caractérisation des systèmes de production des exploitations agricoles familiales : Cas de la communauté rurale de Aéré – Lao [texte imprimé] / Mahmoudou Touré, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2007 . - 41 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études Elevage : ISFAR ex ENCR : 2007 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Système de production Exploitations agricoles Caractérisation Exploitations familiales Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7401 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002720 E028 TOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona / Idrissa Diédhiou
Titre : Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona Type de document : texte imprimé Auteurs : Idrissa Diédhiou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 85 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Apiculture Filière apicole Ruches Abeilles Production de miel Traitement Miellerie Miel Contraintes Commercialisation du miel Bignona Résumé : La filière apicole constitue une source de revenu très importante au Sénégal. Elle a longtemps été appuyée par l’Etat, aussi bien sur le plan financier que technique, en faisant appel aux experts étrangers puis à la formation des nationaux. Des programmes et projets tels que le PPAP, le PADA ENDA Tiers Monde, ATM, et d’autres ONG ont appuyé l’Etat dans le cadre de l’amélioration de la filière apicole. Cependant, la région de Ziguinchor en générale, et le département de Bignona en particulier, connait de nombreuses difficultés pour exploiter le potentiel apicole que recèle le milieu. Pour mieux valoriser et exploiter ce potentiel, il a été nécessaire de faire un diagnostic exhaustif de la filière. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre mémoire dont l’objectif est de faire le point des facteurs qui entravent le développement de la filière. L’étude a été réalisée pendant quatre mois environ dans le département de Bignona. Ce département est très riche en essences forestières mellifères.
Cependant au niveau de la filière, règne un manque d’organisation qui compromet la rentabilité et l’efficacité des activités de la filière. En effet selon nos enquêtes qui ont porté sur 58 apiculteurs et sur toutes les structures intervenant dans la filière, nous avons noté (633) ruches modernes, (74) ruches traditionnelles et (152) ruchettes avec une production totale de 3772kg de miel, soit une moyenne de 65,03kg/producteur. La récolte est à 55,15% moderne et
18,96% traditionnelle. Par contre l’extraction est à 84,48% moderne et 15,52% traditionnelle.
Les producteurs utilisent pots, bidons et bocaux pour le conditionnement. Le miel produit est vendu sur place. Les principales contraintes sont : les aléas climatiques, le manque d’organisation et de technicité des producteurs, le manque d’équipement et d’appui des apiculteurs et mielleries, le manque de moyens financiers, la rareté, dans ce département, des structures intervenant dans la filière, et enfin le non fonctionnement du centre de Guérina qui, auparavant, avait centralisé toutes les activités de la filière apicole dans la région de Ziguinchor. Ainsi, une réhabilitation du centre et une intervention en appui technique et financier, pourraient permettre une augmentation exponentielle de la production du miel.
Cette production pourrait motiver d’avantage les apiculteurs, se faire une place dans le marché national, couvrir en grande partie les besoins de la population et participer à la réduction des quotas d’importation de miel par le Sénégal.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6816 Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona [texte imprimé] / Idrissa Diédhiou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 85 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Apiculture Filière apicole Ruches Abeilles Production de miel Traitement Miellerie Miel Contraintes Commercialisation du miel Bignona Résumé : La filière apicole constitue une source de revenu très importante au Sénégal. Elle a longtemps été appuyée par l’Etat, aussi bien sur le plan financier que technique, en faisant appel aux experts étrangers puis à la formation des nationaux. Des programmes et projets tels que le PPAP, le PADA ENDA Tiers Monde, ATM, et d’autres ONG ont appuyé l’Etat dans le cadre de l’amélioration de la filière apicole. Cependant, la région de Ziguinchor en générale, et le département de Bignona en particulier, connait de nombreuses difficultés pour exploiter le potentiel apicole que recèle le milieu. Pour mieux valoriser et exploiter ce potentiel, il a été nécessaire de faire un diagnostic exhaustif de la filière. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre mémoire dont l’objectif est de faire le point des facteurs qui entravent le développement de la filière. L’étude a été réalisée pendant quatre mois environ dans le département de Bignona. Ce département est très riche en essences forestières mellifères.
Cependant au niveau de la filière, règne un manque d’organisation qui compromet la rentabilité et l’efficacité des activités de la filière. En effet selon nos enquêtes qui ont porté sur 58 apiculteurs et sur toutes les structures intervenant dans la filière, nous avons noté (633) ruches modernes, (74) ruches traditionnelles et (152) ruchettes avec une production totale de 3772kg de miel, soit une moyenne de 65,03kg/producteur. La récolte est à 55,15% moderne et
18,96% traditionnelle. Par contre l’extraction est à 84,48% moderne et 15,52% traditionnelle.
Les producteurs utilisent pots, bidons et bocaux pour le conditionnement. Le miel produit est vendu sur place. Les principales contraintes sont : les aléas climatiques, le manque d’organisation et de technicité des producteurs, le manque d’équipement et d’appui des apiculteurs et mielleries, le manque de moyens financiers, la rareté, dans ce département, des structures intervenant dans la filière, et enfin le non fonctionnement du centre de Guérina qui, auparavant, avait centralisé toutes les activités de la filière apicole dans la région de Ziguinchor. Ainsi, une réhabilitation du centre et une intervention en appui technique et financier, pourraient permettre une augmentation exponentielle de la production du miel.
Cette production pourrait motiver d’avantage les apiculteurs, se faire une place dans le marché national, couvrir en grande partie les besoins de la population et participer à la réduction des quotas d’importation de miel par le Sénégal.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002798 E037 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractéristiques et dynamiques de l’élevage des porcs dans le département de Keur Massar (Dakar) / Diao, Ousmane
Titre : Caractéristiques et dynamiques de l’élevage des porcs dans le département de Keur Massar (Dakar) Type de document : texte imprimé Auteurs : Diao, Ousmane, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 34 p Présentation : ill., couv., ill., en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Porc, Elevage porcin, Stabulation, Maladie, Alimentation Résumé : Cette étude a été menée durant le mois de janvier 2022, auprès de 92 éleveurs porcins dans le département de Keur Massar. L’enquête avait pour but de décrire les caractéristiques de l’élevage porcin dans cette zone. Tous les enquêtés appartenaient à des associations. Les résultats ont montré que les femmes (64,13%) étaient majoritaires par rapport aux hommes (35,87%). Plus de 2/5 (42,39%) des producteurs sont instruits. Ils étaient tous des chrétiens et appartenaient majoritairement à l’ethnie manjacque (81,52%). L’âge moyen des éleveurs était de 55,89±13,44 ans. La plupart était des entrepreneurs (76,09%) dont l’activité principale dominante était l’élevage (58,70%). Le mode d’obtention des animaux reposait sur l’héritage (46,74%), l’achat (40,22%) et le don (13,04%). Les éleveurs avaient une durée moyenne dans l’élevage de 12,93±9,91ans. Ils élevaient le porc local (70,65%), le porc métis (26,09%) et le porc large white (3,09%) pour vendre. La plupart des porcs étaient en stabulation (98,91%) dans des porcheries en dur (98,91%) et en zinc (1,09%). Le nombre moyen de mise bas par an et la taille moyenne par portée étaient respectivement de 2,72±1,43 et 7,89±2,16. Les saillis étaient généralement non contrôlés (79,35%). Les porcs se nourrissaient des restes de repas, du concentré (18,48%) et du pain (6,52%). Le nombre moyen de mortalité par an était de 3,08±2,17 dont les causes principales étaient les accidents (55,56%) et les maladies (44,44%). Bien que les maladies soient citées parmi les causes de mortalités, la majorité n’appliquait pas de traitement aux animaux malades (63,04%). En ce qui concerne la prophylaxie, il a été noté que 9,78% des éleveurs déparasitaient les animaux alors qu’aucun ne pratiquait la vaccination du cheptel. D’après les enquêtés, les principales contraintes rencontrées sont les difficultés de commercialisation (75%), la cherté des aliments (91,30%), la non disponibilité des agents vétérinaires (31,52%), le mauvais état des porcheries (63,04%) et le manque de porcs dans les zones d’approvisionnement (19,57%).
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10838 Caractéristiques et dynamiques de l’élevage des porcs dans le département de Keur Massar (Dakar) [texte imprimé] / Diao, Ousmane, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 34 p : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Porc, Elevage porcin, Stabulation, Maladie, Alimentation Résumé : Cette étude a été menée durant le mois de janvier 2022, auprès de 92 éleveurs porcins dans le département de Keur Massar. L’enquête avait pour but de décrire les caractéristiques de l’élevage porcin dans cette zone. Tous les enquêtés appartenaient à des associations. Les résultats ont montré que les femmes (64,13%) étaient majoritaires par rapport aux hommes (35,87%). Plus de 2/5 (42,39%) des producteurs sont instruits. Ils étaient tous des chrétiens et appartenaient majoritairement à l’ethnie manjacque (81,52%). L’âge moyen des éleveurs était de 55,89±13,44 ans. La plupart était des entrepreneurs (76,09%) dont l’activité principale dominante était l’élevage (58,70%). Le mode d’obtention des animaux reposait sur l’héritage (46,74%), l’achat (40,22%) et le don (13,04%). Les éleveurs avaient une durée moyenne dans l’élevage de 12,93±9,91ans. Ils élevaient le porc local (70,65%), le porc métis (26,09%) et le porc large white (3,09%) pour vendre. La plupart des porcs étaient en stabulation (98,91%) dans des porcheries en dur (98,91%) et en zinc (1,09%). Le nombre moyen de mise bas par an et la taille moyenne par portée étaient respectivement de 2,72±1,43 et 7,89±2,16. Les saillis étaient généralement non contrôlés (79,35%). Les porcs se nourrissaient des restes de repas, du concentré (18,48%) et du pain (6,52%). Le nombre moyen de mortalité par an était de 3,08±2,17 dont les causes principales étaient les accidents (55,56%) et les maladies (44,44%). Bien que les maladies soient citées parmi les causes de mortalités, la majorité n’appliquait pas de traitement aux animaux malades (63,04%). En ce qui concerne la prophylaxie, il a été noté que 9,78% des éleveurs déparasitaient les animaux alors qu’aucun ne pratiquait la vaccination du cheptel. D’après les enquêtés, les principales contraintes rencontrées sont les difficultés de commercialisation (75%), la cherté des aliments (91,30%), la non disponibilité des agents vétérinaires (31,52%), le mauvais état des porcheries (63,04%) et le manque de porcs dans les zones d’approvisionnement (19,57%).
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003983 a E026 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Sorti jusqu'au 08/04/2024 003983 b E026 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractéristiques de l’élevage des caprins dans la commune de Bambey, Sénégal / Coumba Séne
Titre : Caractéristiques de l’élevage des caprins dans la commune de Bambey, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Coumba Séne, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 46 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage caprin, Chèvres, Caractérisation, Divagation, Alimentation, Revenu, Contraintes Résumé : L’élevage des caprins a fait l’objet d’une étude au niveau de la commune de Bambey Sénégal. L’étude est conduite auprès de 81 éleveurs. Il s’agit de caractériser au plan socioéconomique et technique cet élevage les éleveurs. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs, la conduite technique et l’évaluation des performances économiques des élevages. Les éleveurs de caprins sont des femmes (76,5%) et des hommes (23,5%) qui étaient des mariés à 72,80.L’âge moyen des éleveurs est de 48,93 ± 16,65 ans et est compris entre 17et 86 ans. Ils avaient fait des études élémentaires (12,3%), moyennes (7,4%), secondaires (4,9%) et supérieures (6,2%). Cependant 9,9% ont fait l’école arabo-coranique. C’est une activité secondaire (88,9%).Les principales raisons d’élevage sont la vente (57%) et l’autoconsommation (33%). Les races élevées étaient la chèvre du sahel (52%), la chèvre rousse de Maradi (21%), la chèvre naine communément appelé chèvre de Casamance ou chèvre Djallonké (17%) et les métis (10%).Les caprins sont obtenus par achat (72%), don/héritage (24%) et autoproduction (4%) pour le démarrage de l’activité. Le mode de conduite alimentaire est en saison sèche la divagation (67%) et la stabulation (66%) en saison des pluies. L’âge moyen de première mise bas est de 12±4,63mois. L’intervalle moyen entre deux mises bas est de 10±1,82 mois et est compris entre 7 et 12 mois. Les diarrhées (65%), les avortements (11%) sont les pathologies les plus rencontrées. Les mortalités sont surtout dues aux maladies (72%), aux avortements (15%). Les marges brutes étaient négatives pour ceux qui font la stabulation permanente et saisonnière et étaient respectivement -30270 FCFA et -4489 FCFA. Les contraintes les plus rencontrées sont liées aux vols, aux pathologies et à l’alimentation. L’amélioration de l’élevage passe par le renforcement des capacités des éleveurs et la mise en place d’un programme de recherche-développement.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10256 Caractéristiques de l’élevage des caprins dans la commune de Bambey, Sénégal [texte imprimé] / Coumba Séne, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 46 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage caprin, Chèvres, Caractérisation, Divagation, Alimentation, Revenu, Contraintes Résumé : L’élevage des caprins a fait l’objet d’une étude au niveau de la commune de Bambey Sénégal. L’étude est conduite auprès de 81 éleveurs. Il s’agit de caractériser au plan socioéconomique et technique cet élevage les éleveurs. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs, la conduite technique et l’évaluation des performances économiques des élevages. Les éleveurs de caprins sont des femmes (76,5%) et des hommes (23,5%) qui étaient des mariés à 72,80.L’âge moyen des éleveurs est de 48,93 ± 16,65 ans et est compris entre 17et 86 ans. Ils avaient fait des études élémentaires (12,3%), moyennes (7,4%), secondaires (4,9%) et supérieures (6,2%). Cependant 9,9% ont fait l’école arabo-coranique. C’est une activité secondaire (88,9%).Les principales raisons d’élevage sont la vente (57%) et l’autoconsommation (33%). Les races élevées étaient la chèvre du sahel (52%), la chèvre rousse de Maradi (21%), la chèvre naine communément appelé chèvre de Casamance ou chèvre Djallonké (17%) et les métis (10%).Les caprins sont obtenus par achat (72%), don/héritage (24%) et autoproduction (4%) pour le démarrage de l’activité. Le mode de conduite alimentaire est en saison sèche la divagation (67%) et la stabulation (66%) en saison des pluies. L’âge moyen de première mise bas est de 12±4,63mois. L’intervalle moyen entre deux mises bas est de 10±1,82 mois et est compris entre 7 et 12 mois. Les diarrhées (65%), les avortements (11%) sont les pathologies les plus rencontrées. Les mortalités sont surtout dues aux maladies (72%), aux avortements (15%). Les marges brutes étaient négatives pour ceux qui font la stabulation permanente et saisonnière et étaient respectivement -30270 FCFA et -4489 FCFA. Les contraintes les plus rencontrées sont liées aux vols, aux pathologies et à l’alimentation. L’amélioration de l’élevage passe par le renforcement des capacités des éleveurs et la mise en place d’un programme de recherche-développement.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003807 a E011 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003807 b E011 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractéristiques de l’élevage des ovins dans la commune de Kaffrine, Sénégal / Faye, Mariama
Titre : Caractéristiques de l’élevage des ovins dans la commune de Kaffrine, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Mariama, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv., ill., en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage ovin, Mouton, Caractéristiques, Ladoum, Contraintes, Kaffrine Résumé : L’étude a été effectuée sous forme d’enquête durant le mois de janvier 2022, auprès de 100 éleveurs de moutons choisis au hasard. Elle avait pour but d’étudier les caractéristiques de l’élevage des ovins de la commune de Kaffrine. Il ressort de cette étude que l’élevage des ovins est pratiqué sous forme intensive dans 88% des élevages et sous forme semi-intensive dans 12% des enquêtés de la commune urbaine de Kaffrine. Il est exercé en majorité par des hommes (81%). La plupart des éleveurs étaient mariés (79%) contre 13% de célibataires. L’âge moyen des éleveurs était de 46,0±13,7ans. Les éleveurs enquêtés étaient majoritairement des pluriactifs (83%). En effet, les activités de commerce (33,7%), de menuiserie (19,3%) et salariale/fonctionnaire (14,5%) étaient prédominantes. Concernant l’ethnie de l’exploitant, il a été noté que les peuls et les wolofs étaient majoritaires avec respectivement 42% et 41%. La passion (43,2%), le gain économique (30,3%) et l’autoconsommation (15,2%) représentaient les principales raisons d’élevages évoqués par les enquêtés. L’acquisition des ovins au démarrage est dominée par l’achat sur fonds propres (87%). La taille moyenne du troupeau de démarrage était de 2,4±1,7 têtes. Les races peulh-peulh (34,4%), touabire (22,5%) et ladoum (17,2%) sont les plus exploitées par les éleveurs. La taille moyenne du troupeau était de 11,4±10,0 têtes avec une quasi-présence égalitaire des mâles (6,3±6,7 têtes) et des femelles (6,3±5,9 têtes). Les principaux motifs de sorties des ovins étaient la vente (38,4%) suivis de l’autoconsommation (27,5%). Le nombre d’animaux autoconsommé par élevage était significativement plus élevé chez les hommes (1,8±2,0 têtes) que chez les femmes (1,1±1,0 têtes) (p˂0,05). Pour l’alimentation, les ovins sont alimentés à l’auge dans 78% des élevages et la majorité des éleveurs (83%) utilisaient la fane d’arachide comme aliment grossier. Pour la plupart des enquêtés (90%), l’élevage était de type naisseur-engraisseur et la reproduction était majoritairement assurée par des géniteurs achetés (48,9%). La cherté alimentaire, le vol et la commercialisation des moutons ladoum ont été les principales contraintes évoquées par les éleveurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10906 Caractéristiques de l’élevage des ovins dans la commune de Kaffrine, Sénégal [texte imprimé] / Faye, Mariama, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 37 p. : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage ovin, Mouton, Caractéristiques, Ladoum, Contraintes, Kaffrine Résumé : L’étude a été effectuée sous forme d’enquête durant le mois de janvier 2022, auprès de 100 éleveurs de moutons choisis au hasard. Elle avait pour but d’étudier les caractéristiques de l’élevage des ovins de la commune de Kaffrine. Il ressort de cette étude que l’élevage des ovins est pratiqué sous forme intensive dans 88% des élevages et sous forme semi-intensive dans 12% des enquêtés de la commune urbaine de Kaffrine. Il est exercé en majorité par des hommes (81%). La plupart des éleveurs étaient mariés (79%) contre 13% de célibataires. L’âge moyen des éleveurs était de 46,0±13,7ans. Les éleveurs enquêtés étaient majoritairement des pluriactifs (83%). En effet, les activités de commerce (33,7%), de menuiserie (19,3%) et salariale/fonctionnaire (14,5%) étaient prédominantes. Concernant l’ethnie de l’exploitant, il a été noté que les peuls et les wolofs étaient majoritaires avec respectivement 42% et 41%. La passion (43,2%), le gain économique (30,3%) et l’autoconsommation (15,2%) représentaient les principales raisons d’élevages évoqués par les enquêtés. L’acquisition des ovins au démarrage est dominée par l’achat sur fonds propres (87%). La taille moyenne du troupeau de démarrage était de 2,4±1,7 têtes. Les races peulh-peulh (34,4%), touabire (22,5%) et ladoum (17,2%) sont les plus exploitées par les éleveurs. La taille moyenne du troupeau était de 11,4±10,0 têtes avec une quasi-présence égalitaire des mâles (6,3±6,7 têtes) et des femelles (6,3±5,9 têtes). Les principaux motifs de sorties des ovins étaient la vente (38,4%) suivis de l’autoconsommation (27,5%). Le nombre d’animaux autoconsommé par élevage était significativement plus élevé chez les hommes (1,8±2,0 têtes) que chez les femmes (1,1±1,0 têtes) (p˂0,05). Pour l’alimentation, les ovins sont alimentés à l’auge dans 78% des élevages et la majorité des éleveurs (83%) utilisaient la fane d’arachide comme aliment grossier. Pour la plupart des enquêtés (90%), l’élevage était de type naisseur-engraisseur et la reproduction était majoritairement assurée par des géniteurs achetés (48,9%). La cherté alimentaire, le vol et la commercialisation des moutons ladoum ont été les principales contraintes évoquées par les éleveurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10906 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003992 a E011 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003992 b E011 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Les caractéristiques de l’élevage des poulets de chairs dans la commune de Keur Moussa (Thiès/Sénégal) / Déme, Cheikh
Titre : Les caractéristiques de l’élevage des poulets de chairs dans la commune de Keur Moussa (Thiès/Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Déme, Cheikh, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 35 p Présentation : ill., couv., ill., en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Poulets de chairs, Aviculture, Elevage, Caractéristiques, Poussins, Keur Moussa Résumé : L’étude a été menée dans la commune de Keur Moussa de janvier à mi-février 2022. Elle avait pour but de caractériser l’élevage des poulets de chairs dans la zone. Pour ce faire, une enquête a été réalisée auprès de 100 producteurs de poulets de chairs choisis au hasard. L’enquête a été portée sur l’identification des éleveurs, sur les pratiques d’élevage et sur l’évaluation de la rentabilité de l’élevage. Les résultats de l’étude ont montré que l’élevage des poulets de chairs était pratiqué en majorité par les hommes (81%). L’âge moyen des éleveurs était de 40,39±13,30 ans avec un minimum de 18 ans et un maximum de 80 ans. La majorité des exploitants étaient de religion musulmane (95%). L’ethnie dominant des aviculteurs enquêtés était le wolof (64%) suivit des sérères (14%) et des peules (12%). La plupart des éleveurs étaient des mariés (76%) contre 24% de célibataires. La quasi-totalité des aviculteurs étaient instruits (93%). Ils exerçaient plusieurs activités en même temps que l’élevage des poulets. Les travailleurs libéraux étaient plus représentatifs avec 60% des éleveurs enquêtés suivit des salariés (38%) et des retraités (2%). Ceux dont l’aviculture était leur activité principale représentaient 53%. Certains éleveurs faisaient uniquement de chairs (80%) tandis que d’autres pratiquaient l’élevage mixte (20%). Les espèces de volailles élevées étaient les poulets de chairs, les poules pondeuses, les poulets locaux et exotiques, les dindes et les pigeons. D’autres y ajoutaient des espèces comme les ovins et les bovins. La présence des nouveaux aviculteurs (79%) était plus forte depuis 2014. La majeure partie des aviculteurs (51%) possédaient des poulaillers modernes. Dans les exploitations enquêtées, l’effectif des bandes variait entre 50 et 7500 sujets. Tous les éleveurs utilisaient l’aliment industriel. Les pathologies dominantes étaient la maladie de Gumboro, la bronchite infectieuse et la coccidiose. La moyenne des résultats nets mensuels variait entre 29 271,97 et 1 033 253,88 FCFA selon la taille et l’effectif des bandes. Les principales contraintes identifiées étaient la cherté de l’aliment, la commercialisation des produits, les poussins de qualité inférieur et les maladies. Cependant le développement de l’élevage des poulets de chairs nécessite un accompagnement technique et financière de l’état pour les éleveurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10835 Les caractéristiques de l’élevage des poulets de chairs dans la commune de Keur Moussa (Thiès/Sénégal) [texte imprimé] / Déme, Cheikh, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 35 p : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Poulets de chairs, Aviculture, Elevage, Caractéristiques, Poussins, Keur Moussa Résumé : L’étude a été menée dans la commune de Keur Moussa de janvier à mi-février 2022. Elle avait pour but de caractériser l’élevage des poulets de chairs dans la zone. Pour ce faire, une enquête a été réalisée auprès de 100 producteurs de poulets de chairs choisis au hasard. L’enquête a été portée sur l’identification des éleveurs, sur les pratiques d’élevage et sur l’évaluation de la rentabilité de l’élevage. Les résultats de l’étude ont montré que l’élevage des poulets de chairs était pratiqué en majorité par les hommes (81%). L’âge moyen des éleveurs était de 40,39±13,30 ans avec un minimum de 18 ans et un maximum de 80 ans. La majorité des exploitants étaient de religion musulmane (95%). L’ethnie dominant des aviculteurs enquêtés était le wolof (64%) suivit des sérères (14%) et des peules (12%). La plupart des éleveurs étaient des mariés (76%) contre 24% de célibataires. La quasi-totalité des aviculteurs étaient instruits (93%). Ils exerçaient plusieurs activités en même temps que l’élevage des poulets. Les travailleurs libéraux étaient plus représentatifs avec 60% des éleveurs enquêtés suivit des salariés (38%) et des retraités (2%). Ceux dont l’aviculture était leur activité principale représentaient 53%. Certains éleveurs faisaient uniquement de chairs (80%) tandis que d’autres pratiquaient l’élevage mixte (20%). Les espèces de volailles élevées étaient les poulets de chairs, les poules pondeuses, les poulets locaux et exotiques, les dindes et les pigeons. D’autres y ajoutaient des espèces comme les ovins et les bovins. La présence des nouveaux aviculteurs (79%) était plus forte depuis 2014. La majeure partie des aviculteurs (51%) possédaient des poulaillers modernes. Dans les exploitations enquêtées, l’effectif des bandes variait entre 50 et 7500 sujets. Tous les éleveurs utilisaient l’aliment industriel. Les pathologies dominantes étaient la maladie de Gumboro, la bronchite infectieuse et la coccidiose. La moyenne des résultats nets mensuels variait entre 29 271,97 et 1 033 253,88 FCFA selon la taille et l’effectif des bandes. Les principales contraintes identifiées étaient la cherté de l’aliment, la commercialisation des produits, les poussins de qualité inférieur et les maladies. Cependant le développement de l’élevage des poulets de chairs nécessite un accompagnement technique et financière de l’état pour les éleveurs.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003980 a E008 DEM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003980 b E008 DEM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractéristiques des élevages ovins dans la commune de Bambey-Sénégal / Soumaré, Rougui
Titre : Caractéristiques des élevages ovins dans la commune de Bambey-Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Soumaré, Rougui, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 35 p. Présentation : ill., couv., ill., en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage ovin, Ovins, Caractéristiques, Conduite, Alimentation ovine, Pathologie, Bambey Résumé : Cette étude réalisée sous forme d’enquête auprès de 120 éleveurs de moutons dans la commune de Bambey, a eu pour but d’améliorer la productivité de l’élevage ovine dans la commune de Bambey. Ainsi, l’élevage occupe plus d’hommes (80%) que de femmes (20%), qui sont plus de l’ethnie sérère (48%) et sont musulmans et majoritairement instruits. Ils n’ont reçu aucune formation (88,33%) en élevage, mais ils ont 3 à 62 ans d’expérience dans l’activité. Les élevages sont essentiellement de type naisseur-engraisseurs (49%) qui utilisent plus des ovins de race peul-peul (34%).La taille moyenne des troupeaux est de 7,25 ovins. Les troupeaux sont dominés par les brebis (72,41%) et sont dans des enclos (88%) et bergeries modernes (23%). La stabulation permanente, reste le mode de conduite d’alimentation dominant (80,99%). L’âge moyen de la mise en reproduction des brebis est de 9,19 ±3,11 et 12,35 ±3,10 mois chez les mâles. Les saillies sont libres dans 89% des élevages avec une (46%) ou deux mises bas (54%) par an. Les pathologies respiratoires (70,5%) et digestives (76,5%) sont les plus rencontrées dans les élevages. Les moutons sont essentiellement vendus vifs à domicile (46%) ou dans les marchés (39%).
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10925 Caractéristiques des élevages ovins dans la commune de Bambey-Sénégal [texte imprimé] / Soumaré, Rougui, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 35 p. : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage ovin, Ovins, Caractéristiques, Conduite, Alimentation ovine, Pathologie, Bambey Résumé : Cette étude réalisée sous forme d’enquête auprès de 120 éleveurs de moutons dans la commune de Bambey, a eu pour but d’améliorer la productivité de l’élevage ovine dans la commune de Bambey. Ainsi, l’élevage occupe plus d’hommes (80%) que de femmes (20%), qui sont plus de l’ethnie sérère (48%) et sont musulmans et majoritairement instruits. Ils n’ont reçu aucune formation (88,33%) en élevage, mais ils ont 3 à 62 ans d’expérience dans l’activité. Les élevages sont essentiellement de type naisseur-engraisseurs (49%) qui utilisent plus des ovins de race peul-peul (34%).La taille moyenne des troupeaux est de 7,25 ovins. Les troupeaux sont dominés par les brebis (72,41%) et sont dans des enclos (88%) et bergeries modernes (23%). La stabulation permanente, reste le mode de conduite d’alimentation dominant (80,99%). L’âge moyen de la mise en reproduction des brebis est de 9,19 ±3,11 et 12,35 ±3,10 mois chez les mâles. Les saillies sont libres dans 89% des élevages avec une (46%) ou deux mises bas (54%) par an. Les pathologies respiratoires (70,5%) et digestives (76,5%) sont les plus rencontrées dans les élevages. Les moutons sont essentiellement vendus vifs à domicile (46%) ou dans les marchés (39%).
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004000 a E011 SOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 004000 b E011 SOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Caractéristiques de la production porcine dans la commune de Fimela, Fatick, Sénégal / Abdou Khadre Ndiaye
Titre : Caractéristiques de la production porcine dans la commune de Fimela, Fatick, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou Khadre Ndiaye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2021 Importance : 39 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Porc, Alimentation, Production porcine, Divagation, Conduite, Cochonnet, Cochette, Fimela, Fatick. Résumé : Une étude systématique a été conduite auprès de 78 éleveurs sous forme d’enquêtes dans la commune de Fimela, pour décrire les caractéristiques de la production porcine. Les résultats ont montré que la proportion des femmes propriétaires de porcs (67,9%) est supérieure à celle des hommes (32,1%). L’âge moyen des éleveurs est de 46,48 ± 12,98 ans et est compris entre 24 à 75 ans. Les éleveurs sont tous des sérères et sont la plupart des mariés (68%). Ils sont majoritairement des chrétiens (93,6%) et sont instruits (78%). Près de (24,4%) des enquêtés associent l’élevage porcin à l’agriculture. Ce dernier évolue dans trois modes de conduite différentes qui sont la stabulation (46,2%), la semi- stabulation (41%) et la divagation (12,80%). Les principales races élevées sont la race locale, la large-white et la race métisse dont la taille moyenne est de 12± 9,04 sujets par exploitation. Les porcheries sont des habitations traditionnelles (75,6%) dont les 59% restent des enclos sans toitures. Les aliments distribués aux porcs sont des restes de cuisine, de repas et de l’aliment industriel. La majorité des éleveurs (59%) donnent deux fois de nourriture dans la journée. L’âge moyen de la mise en reproduction est de 6,55 mois pour la cochette et de 6,11 mois pour le cochonnet. La taille de la portée 8,70 ± 1,34 porcelets. Le sevrage se fait à volonté à deux mois. Deux mise-bas par an et un faible taux d’avortement (1,8%). Ils pratiquent la castration (30,76%). Sur le plan sanitaire, la majorité (62,2%) traite leurs animaux par eux- même. Au plan économique et commercial, les marges brutes sont toutes positives et la commercialisation se fait le plus souvent lors des fêtes. Le vol, les difficultés alimentaires et les problèmes liés au marché pour écouler leurs produits restent les contraintes majeures qui freinent le développement de la filière porcine dans la commune de Fimela. Les éleveurs avaient aussi des problèmes de la clientèle.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10661 Caractéristiques de la production porcine dans la commune de Fimela, Fatick, Sénégal [texte imprimé] / Abdou Khadre Ndiaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 39 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2021 ]
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Mots-clés : Porc, Alimentation, Production porcine, Divagation, Conduite, Cochonnet, Cochette, Fimela, Fatick. Résumé : Une étude systématique a été conduite auprès de 78 éleveurs sous forme d’enquêtes dans la commune de Fimela, pour décrire les caractéristiques de la production porcine. Les résultats ont montré que la proportion des femmes propriétaires de porcs (67,9%) est supérieure à celle des hommes (32,1%). L’âge moyen des éleveurs est de 46,48 ± 12,98 ans et est compris entre 24 à 75 ans. Les éleveurs sont tous des sérères et sont la plupart des mariés (68%). Ils sont majoritairement des chrétiens (93,6%) et sont instruits (78%). Près de (24,4%) des enquêtés associent l’élevage porcin à l’agriculture. Ce dernier évolue dans trois modes de conduite différentes qui sont la stabulation (46,2%), la semi- stabulation (41%) et la divagation (12,80%). Les principales races élevées sont la race locale, la large-white et la race métisse dont la taille moyenne est de 12± 9,04 sujets par exploitation. Les porcheries sont des habitations traditionnelles (75,6%) dont les 59% restent des enclos sans toitures. Les aliments distribués aux porcs sont des restes de cuisine, de repas et de l’aliment industriel. La majorité des éleveurs (59%) donnent deux fois de nourriture dans la journée. L’âge moyen de la mise en reproduction est de 6,55 mois pour la cochette et de 6,11 mois pour le cochonnet. La taille de la portée 8,70 ± 1,34 porcelets. Le sevrage se fait à volonté à deux mois. Deux mise-bas par an et un faible taux d’avortement (1,8%). Ils pratiquent la castration (30,76%). Sur le plan sanitaire, la majorité (62,2%) traite leurs animaux par eux- même. Au plan économique et commercial, les marges brutes sont toutes positives et la commercialisation se fait le plus souvent lors des fêtes. Le vol, les difficultés alimentaires et les problèmes liés au marché pour écouler leurs produits restent les contraintes majeures qui freinent le développement de la filière porcine dans la commune de Fimela. Les éleveurs avaient aussi des problèmes de la clientèle.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003900 a E026 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003900 b E026 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Carte épidémiologique des maladies animales dans la région de Saint-Louis du Sénégal de 2006 à 2015 / Magaye Gaye
Titre : Carte épidémiologique des maladies animales dans la région de Saint-Louis du Sénégal de 2006 à 2015 Type de document : texte imprimé Auteurs : Magaye Gaye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2017 Importance : 40 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2017] Langues : Français (fre) Mots-clés : Épidémiologie Carte épidémiologique Maladies animales Saint-Louis Sénégal Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6355 Carte épidémiologique des maladies animales dans la région de Saint-Louis du Sénégal de 2006 à 2015 [texte imprimé] / Magaye Gaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2017 . - 40 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2017]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Épidémiologie Carte épidémiologique Maladies animales Saint-Louis Sénégal Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6355 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003556 E034 GAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003556 b E034 GAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives / Moussouami Ibouanga
Titre : La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussouami Ibouanga, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1999 Importance : 69 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Ceinture laitière Lait Evolution Contraintes Perspectives Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7297 La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives [texte imprimé] / Moussouami Ibouanga, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1999 . - 69 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ceinture laitière Lait Evolution Contraintes Perspectives Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7297 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001945 E008 IBO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible