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Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona / Idrissa Diédhiou
Titre : Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona Type de document : texte imprimé Auteurs : Idrissa Diédhiou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 85 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Apiculture Filière apicole Ruches Abeilles Production de miel Traitement Miellerie Miel Contraintes Commercialisation du miel Bignona Résumé : La filière apicole constitue une source de revenu très importante au Sénégal. Elle a longtemps été appuyée par l’Etat, aussi bien sur le plan financier que technique, en faisant appel aux experts étrangers puis à la formation des nationaux. Des programmes et projets tels que le PPAP, le PADA ENDA Tiers Monde, ATM, et d’autres ONG ont appuyé l’Etat dans le cadre de l’amélioration de la filière apicole. Cependant, la région de Ziguinchor en générale, et le département de Bignona en particulier, connait de nombreuses difficultés pour exploiter le potentiel apicole que recèle le milieu. Pour mieux valoriser et exploiter ce potentiel, il a été nécessaire de faire un diagnostic exhaustif de la filière. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre mémoire dont l’objectif est de faire le point des facteurs qui entravent le développement de la filière. L’étude a été réalisée pendant quatre mois environ dans le département de Bignona. Ce département est très riche en essences forestières mellifères.
Cependant au niveau de la filière, règne un manque d’organisation qui compromet la rentabilité et l’efficacité des activités de la filière. En effet selon nos enquêtes qui ont porté sur 58 apiculteurs et sur toutes les structures intervenant dans la filière, nous avons noté (633) ruches modernes, (74) ruches traditionnelles et (152) ruchettes avec une production totale de 3772kg de miel, soit une moyenne de 65,03kg/producteur. La récolte est à 55,15% moderne et
18,96% traditionnelle. Par contre l’extraction est à 84,48% moderne et 15,52% traditionnelle.
Les producteurs utilisent pots, bidons et bocaux pour le conditionnement. Le miel produit est vendu sur place. Les principales contraintes sont : les aléas climatiques, le manque d’organisation et de technicité des producteurs, le manque d’équipement et d’appui des apiculteurs et mielleries, le manque de moyens financiers, la rareté, dans ce département, des structures intervenant dans la filière, et enfin le non fonctionnement du centre de Guérina qui, auparavant, avait centralisé toutes les activités de la filière apicole dans la région de Ziguinchor. Ainsi, une réhabilitation du centre et une intervention en appui technique et financier, pourraient permettre une augmentation exponentielle de la production du miel.
Cette production pourrait motiver d’avantage les apiculteurs, se faire une place dans le marché national, couvrir en grande partie les besoins de la population et participer à la réduction des quotas d’importation de miel par le Sénégal.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6816 Caractérisations et analyses des contraintes de la filière apicole dans le département de Bignona [texte imprimé] / Idrissa Diédhiou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 85 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Apiculture Filière apicole Ruches Abeilles Production de miel Traitement Miellerie Miel Contraintes Commercialisation du miel Bignona Résumé : La filière apicole constitue une source de revenu très importante au Sénégal. Elle a longtemps été appuyée par l’Etat, aussi bien sur le plan financier que technique, en faisant appel aux experts étrangers puis à la formation des nationaux. Des programmes et projets tels que le PPAP, le PADA ENDA Tiers Monde, ATM, et d’autres ONG ont appuyé l’Etat dans le cadre de l’amélioration de la filière apicole. Cependant, la région de Ziguinchor en générale, et le département de Bignona en particulier, connait de nombreuses difficultés pour exploiter le potentiel apicole que recèle le milieu. Pour mieux valoriser et exploiter ce potentiel, il a été nécessaire de faire un diagnostic exhaustif de la filière. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre mémoire dont l’objectif est de faire le point des facteurs qui entravent le développement de la filière. L’étude a été réalisée pendant quatre mois environ dans le département de Bignona. Ce département est très riche en essences forestières mellifères.
Cependant au niveau de la filière, règne un manque d’organisation qui compromet la rentabilité et l’efficacité des activités de la filière. En effet selon nos enquêtes qui ont porté sur 58 apiculteurs et sur toutes les structures intervenant dans la filière, nous avons noté (633) ruches modernes, (74) ruches traditionnelles et (152) ruchettes avec une production totale de 3772kg de miel, soit une moyenne de 65,03kg/producteur. La récolte est à 55,15% moderne et
18,96% traditionnelle. Par contre l’extraction est à 84,48% moderne et 15,52% traditionnelle.
Les producteurs utilisent pots, bidons et bocaux pour le conditionnement. Le miel produit est vendu sur place. Les principales contraintes sont : les aléas climatiques, le manque d’organisation et de technicité des producteurs, le manque d’équipement et d’appui des apiculteurs et mielleries, le manque de moyens financiers, la rareté, dans ce département, des structures intervenant dans la filière, et enfin le non fonctionnement du centre de Guérina qui, auparavant, avait centralisé toutes les activités de la filière apicole dans la région de Ziguinchor. Ainsi, une réhabilitation du centre et une intervention en appui technique et financier, pourraient permettre une augmentation exponentielle de la production du miel.
Cette production pourrait motiver d’avantage les apiculteurs, se faire une place dans le marché national, couvrir en grande partie les besoins de la population et participer à la réduction des quotas d’importation de miel par le Sénégal.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002798 E037 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives / Moussouami Ibouanga
Titre : La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussouami Ibouanga, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1999 Importance : 69 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Ceinture laitière Lait Evolution Contraintes Perspectives Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7297 La ceinture laitière de Tambacounda : Evolution, contraintes et perspectives [texte imprimé] / Moussouami Ibouanga, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1999 . - 69 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 1999]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ceinture laitière Lait Evolution Contraintes Perspectives Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7297 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001945 E008 IBO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Etude de la prise en charge du bien-être des chevaux utilisés dans le transport hippomobile dans la ville de Thiès au Sénégal : état des lieux et contraintes / Adama Sène
Titre : Etude de la prise en charge du bien-être des chevaux utilisés dans le transport hippomobile dans la ville de Thiès au Sénégal : état des lieux et contraintes Type de document : texte imprimé Auteurs : Adama Sène, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2014 Importance : 43 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bien-être Cheval Transport hippomobile Contraintes Thiès Sénégal Conducteurs Charrettes Résumé : Le cheval, grâce aux nombreux services qu’il rend à l’homme, est considéré comme une parfaite incorporation de toutes les vertus : noblesse, souplesse, rapidité. C’est un animal docile sobre et endurant. Il est très apprécié pour le trait léger pour les travaux agricoles, le transport des personnes, des marchandises, d’exhaure d’eau, etc. La prise en charge du bien-être des chevaux, garantie de la durabilité de leur exploitation, est le gage d’une promotion socioéconomique des acteurs qui l’exploitent. C’est dans ce contexte que nous s’intéressons à la prise en charge du bien-être des chevaux par les conducteurs de véhicules hippomobiles dans la ville de Thiès avec comme thème de mémoire « Etude de la prise en charge du bien-être des chevaux utilisés dans le transport hippomobile dans la ville de Thiès au Sénégal : état des lieux et contraintes ». L’objectif général de cette étude est d’évaluer les conditions d’exploitation des chevaux au niveau du transport hippomobile dans la ville de Thiès, afin d’améliorer la prise en charge de leur bien-être pour une promotion socio-économique des acteurs de la filière. Pour y arriver nous avons caractérisé les conducteurs, identifié et comparé les conditions d’exploitation afin de déterminer le niveau de prise en charge du bien être des chevaux entre calèches et les charrettes. Nous avons identifié les contraintes liées à leur travail et proposé des recommandations pour l’amélioration du bien-être des chevaux des véhicules hippomobiles. Nous avons effectué un échantillonnage de population cible de nos enquêtes en appliquant la formule de Bernoulli. Ainsi, avec 1200 attelages correspondant aux chevaux vaccinés en 2012/2013, on a obtenu un échantillon de 291 conducteurs de véhicules hippomobiles dont 182 cochers de calèches et 109 charretiers. Les résultats obtenus ont révélé que seuls les hommes de 13 à 74 ans investissent ce métier et que seuls 16% des conducteurs de calèches disposent de deux chevaux. Concernant l’habitat des chevaux, 66,8% conducteurs de calèches et 75,23% des charretiers exposent leurs chevaux en plein air, 24,18% des conducteurs de calèches et 14,68% des charretiers mettent en repos leurs chevaux sous un arbre, 7,14% des conducteurs de calèches et 6,67% des charretiers disposent d’un hangar « mbaar » et seulement 4% de part et d’autre logent leurs chevaux dans un endroit adéquat « logement moderne ». Concernant le matériel d’exploitation, 79,72% des charretiers et 74,18% des conducteurs de calèches utilisent des harnais en matière synthétique, 10,09% des charretiers et 25,82% des conducteurs de calèches ont des harnais mixtes, et seulement 0,34% des enquêtés disposent de harnais en cuir. Quant à leur appréciation, seulement 1,71% des enquêtés dont 0,55% des conducteurs de calèches et 3,67% des charretiers ont un harnachement de bonne qualité. Concernant l’alimentation, elle se fait par une distribution de fanes d’arachide avec du mil et de l’aliment industriel. Le rythme de distribution s’effectue à 85,22% deux fois par jour (midi et soir) et 14,78% à trois fois par jour (matin midi et soir). En plus, seulement 17,43% des charretiers contre 4,94% des conducteurs de calèches font régulièrement des suivis sanitaires. Enfin, les affections les plus fréquentes dans la zone sont identifiées.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6280 Etude de la prise en charge du bien-être des chevaux utilisés dans le transport hippomobile dans la ville de Thiès au Sénégal : état des lieux et contraintes [texte imprimé] / Adama Sène, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2014 . - 43 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bien-être Cheval Transport hippomobile Contraintes Thiès Sénégal Conducteurs Charrettes Résumé : Le cheval, grâce aux nombreux services qu’il rend à l’homme, est considéré comme une parfaite incorporation de toutes les vertus : noblesse, souplesse, rapidité. C’est un animal docile sobre et endurant. Il est très apprécié pour le trait léger pour les travaux agricoles, le transport des personnes, des marchandises, d’exhaure d’eau, etc. La prise en charge du bien-être des chevaux, garantie de la durabilité de leur exploitation, est le gage d’une promotion socioéconomique des acteurs qui l’exploitent. C’est dans ce contexte que nous s’intéressons à la prise en charge du bien-être des chevaux par les conducteurs de véhicules hippomobiles dans la ville de Thiès avec comme thème de mémoire « Etude de la prise en charge du bien-être des chevaux utilisés dans le transport hippomobile dans la ville de Thiès au Sénégal : état des lieux et contraintes ». L’objectif général de cette étude est d’évaluer les conditions d’exploitation des chevaux au niveau du transport hippomobile dans la ville de Thiès, afin d’améliorer la prise en charge de leur bien-être pour une promotion socio-économique des acteurs de la filière. Pour y arriver nous avons caractérisé les conducteurs, identifié et comparé les conditions d’exploitation afin de déterminer le niveau de prise en charge du bien être des chevaux entre calèches et les charrettes. Nous avons identifié les contraintes liées à leur travail et proposé des recommandations pour l’amélioration du bien-être des chevaux des véhicules hippomobiles. Nous avons effectué un échantillonnage de population cible de nos enquêtes en appliquant la formule de Bernoulli. Ainsi, avec 1200 attelages correspondant aux chevaux vaccinés en 2012/2013, on a obtenu un échantillon de 291 conducteurs de véhicules hippomobiles dont 182 cochers de calèches et 109 charretiers. Les résultats obtenus ont révélé que seuls les hommes de 13 à 74 ans investissent ce métier et que seuls 16% des conducteurs de calèches disposent de deux chevaux. Concernant l’habitat des chevaux, 66,8% conducteurs de calèches et 75,23% des charretiers exposent leurs chevaux en plein air, 24,18% des conducteurs de calèches et 14,68% des charretiers mettent en repos leurs chevaux sous un arbre, 7,14% des conducteurs de calèches et 6,67% des charretiers disposent d’un hangar « mbaar » et seulement 4% de part et d’autre logent leurs chevaux dans un endroit adéquat « logement moderne ». Concernant le matériel d’exploitation, 79,72% des charretiers et 74,18% des conducteurs de calèches utilisent des harnais en matière synthétique, 10,09% des charretiers et 25,82% des conducteurs de calèches ont des harnais mixtes, et seulement 0,34% des enquêtés disposent de harnais en cuir. Quant à leur appréciation, seulement 1,71% des enquêtés dont 0,55% des conducteurs de calèches et 3,67% des charretiers ont un harnachement de bonne qualité. Concernant l’alimentation, elle se fait par une distribution de fanes d’arachide avec du mil et de l’aliment industriel. Le rythme de distribution s’effectue à 85,22% deux fois par jour (midi et soir) et 14,78% à trois fois par jour (matin midi et soir). En plus, seulement 17,43% des charretiers contre 4,94% des conducteurs de calèches font régulièrement des suivis sanitaires. Enfin, les affections les plus fréquentes dans la zone sont identifiées.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003218 E033 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003218 b E033 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible L’élevage des lapins (Oryctolagus cuniculus) dans la commune de Kaolack au Sénégal : situation et perspectives / Thiam, Zeinabou
Titre : L’élevage des lapins (Oryctolagus cuniculus) dans la commune de Kaolack au Sénégal : situation et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Thiam, Zeinabou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 30 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage de lapins Cuniculture Races Filière cunicole Reproduction des lapins Pathologie Contraintes Résumé : La cuniculture a fait l’objet d’une étude au niveau de la commune de Kaolack au Sénégal qui est le chef-lieu de la région qui porte le même nom. Elle est l’une des plus grandes villes du Sénégal, et se situe à 192 kilomètres au sud-est de Dakar sur la rive droite du fleuve Saloum. Les coordonnées géographiques sont suivantes : 14°10’00’’ nord et 16°05’00’’ ouest. L’étude a pour objectif de contribuer à la production de connaissance sur la filière cunicole au Sénégal. Il s’agit de caractériser les éleveurs, de déterminer les différentes conduites cunicoles et d’identifier les différentes contraintes. Une enquête systématique des cuniculteurs identifiables qui sont au nombre de 39 est faite. Les données collectées sont traitées avec le logiciel Excel 2013 (matrice de dépouillement) avant d’être analysées par le logiciel SPSS, version IBM SPPSS Statistic 20. Les éleveurs de lapin sont plus des hommes (92%), des pluriactifs à savoir des menuisiers (21%), éleveurs (18%), commerçants (15%) et chauffeurs (13%). L’âge des éleveurs est compris entre 15 et 72 ans avec une moyenne de 35,1 ±11,5 ans. La majorité des éleveurs (92%) n’ont pas reçu de formation en cuniculture. La profession n’a fait d’effet significatif sur le niveau de formation (P = 0,074), sur le sexe des cuniculteurs (P = 0,074), le niveau d’instruction (P = 0,212) et l’âge (P = 0,637). L’effectif total des lapins par élevage varie de 5 à 60 avec une moyenne de 22 ± 12,6. Les races présentes sont la race locale, les races exotiques (Angora, Géant de Flandres, Géant Papillon français et le Bélier français) et les races métissées. 19 cuniculteurs ont des petits ruminants (48,7%), 23, des pigeons (58,9%), 12 (30.7%) font des poulets de chair. 51% des éleveurs distribuent l’aliment de bétail aux lapins. L’âge à la mise à la reproduction des lapins survient entre 4 et 6 mois d’âge chez les femelles et 5 à 8 mois chez les mâles. La taille de la portée varie de 6 à 12 lapereaux avec une moyenne de 8,5. Le sevrage a lieu entre 4 et 5 semaines. Les pathologies rencontrées sont cutanées (76%) telles la gale, le mal de pattes et les abcès. Les principales contraintes sont l’acquisition de reproducteurs, d’aliment et les conditions climatiques comme la chaleur. Le développement de la filière cunicole passe par la création d’une association de regroupement des cuniculteurs, la participation des éleveurs aux différentes foires et expositions animales et par le renforcement de capacités.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6573 L’élevage des lapins (Oryctolagus cuniculus) dans la commune de Kaolack au Sénégal : situation et perspectives [texte imprimé] / Thiam, Zeinabou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 30 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage de lapins Cuniculture Races Filière cunicole Reproduction des lapins Pathologie Contraintes Résumé : La cuniculture a fait l’objet d’une étude au niveau de la commune de Kaolack au Sénégal qui est le chef-lieu de la région qui porte le même nom. Elle est l’une des plus grandes villes du Sénégal, et se situe à 192 kilomètres au sud-est de Dakar sur la rive droite du fleuve Saloum. Les coordonnées géographiques sont suivantes : 14°10’00’’ nord et 16°05’00’’ ouest. L’étude a pour objectif de contribuer à la production de connaissance sur la filière cunicole au Sénégal. Il s’agit de caractériser les éleveurs, de déterminer les différentes conduites cunicoles et d’identifier les différentes contraintes. Une enquête systématique des cuniculteurs identifiables qui sont au nombre de 39 est faite. Les données collectées sont traitées avec le logiciel Excel 2013 (matrice de dépouillement) avant d’être analysées par le logiciel SPSS, version IBM SPPSS Statistic 20. Les éleveurs de lapin sont plus des hommes (92%), des pluriactifs à savoir des menuisiers (21%), éleveurs (18%), commerçants (15%) et chauffeurs (13%). L’âge des éleveurs est compris entre 15 et 72 ans avec une moyenne de 35,1 ±11,5 ans. La majorité des éleveurs (92%) n’ont pas reçu de formation en cuniculture. La profession n’a fait d’effet significatif sur le niveau de formation (P = 0,074), sur le sexe des cuniculteurs (P = 0,074), le niveau d’instruction (P = 0,212) et l’âge (P = 0,637). L’effectif total des lapins par élevage varie de 5 à 60 avec une moyenne de 22 ± 12,6. Les races présentes sont la race locale, les races exotiques (Angora, Géant de Flandres, Géant Papillon français et le Bélier français) et les races métissées. 19 cuniculteurs ont des petits ruminants (48,7%), 23, des pigeons (58,9%), 12 (30.7%) font des poulets de chair. 51% des éleveurs distribuent l’aliment de bétail aux lapins. L’âge à la mise à la reproduction des lapins survient entre 4 et 6 mois d’âge chez les femelles et 5 à 8 mois chez les mâles. La taille de la portée varie de 6 à 12 lapereaux avec une moyenne de 8,5. Le sevrage a lieu entre 4 et 5 semaines. Les pathologies rencontrées sont cutanées (76%) telles la gale, le mal de pattes et les abcès. Les principales contraintes sont l’acquisition de reproducteurs, d’aliment et les conditions climatiques comme la chaleur. Le développement de la filière cunicole passe par la création d’une association de regroupement des cuniculteurs, la participation des éleveurs aux différentes foires et expositions animales et par le renforcement de capacités.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003651 E003 THI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003651 b E003 THI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Evaluation des lignées recombinantes de sorgho [sorghum bicolor (l.) moench] pour le rendement et la tolérance aux moisissures des grains dans le bassin arachidier et au Sénégal oriental / Mamadou Bakhayokho
Titre : Evaluation des lignées recombinantes de sorgho [sorghum bicolor (l.) moench] pour le rendement et la tolérance aux moisissures des grains dans le bassin arachidier et au Sénégal oriental Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Bakhayokho, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 47 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sorgho Contraintes Productivité Moisissure Résistance Bambey, Sinthiou Malème Sénégal Résumé : Le sorgho [Sorghum bicolor (L.) Moench] est l’une des céréales de base les plus importantes pour l’alimentation des populations rurales de l’Afrique de l’ouest. Au Sénégal, sa production est confrontée à de nombreuses contraintes dont la productivité et la sensibilité aux attaques des moisissures des grains. Pour rehausser la production et avoir une bonne résistance par rapport à ces champignons, il est nécessaire de proposer des variétés plus performantes. Pour contribuer à la productivité et à la réduction de cette maladie, l’évaluation de 22 lignées recombinantes de sorgho avec présence de 3 témoins a été effectuée à la station de Sinthiou Malème et à la station expérimentale du CNRA de Bambey au cours de l’hivernage 2019. Le dispositif expérimental était un Lattice carré avec 3 répétitions de 5 blocs et chaque bloc contenait 5 parcelles élémentaires. A Bambey, toutes les lignées semblent résistantes aux moisissures cependant seules les lignées P2E3, P1E58, P2E67, E1 et P3E45 ont été les plus productives que les témoins Payenne et Nganda et leurs rendements en grains sont supérieurs à 2t/ha. A Sinthiou Malème, les lignées E1, P2E22, P3E64, P3E45, P2E3 et P1E4 ont combiné de bons rendements et une résistance face aux moisissures. Les résultats combinés des deux sites ont montré que les lignées P3E45, P3E64 et E1 ont été les plus productives que les témoins Nganda et Payenne, et les lignées P2E22, P1E4, E1 et P3E67 sont très résistantes à Bambey et Sinthiou Malème. Ainsi, les lignées jugées performantes en rendement et ayant une résistance aux moisissures des grains nécessitent d’être reconduites dans un autre essai, ultérieurement, afin de confirmer la performance et la résistance de ces lignées dans les différents sites.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10292 Evaluation des lignées recombinantes de sorgho [sorghum bicolor (l.) moench] pour le rendement et la tolérance aux moisissures des grains dans le bassin arachidier et au Sénégal oriental [texte imprimé] / Mamadou Bakhayokho, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 47 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sorgho Contraintes Productivité Moisissure Résistance Bambey, Sinthiou Malème Sénégal Résumé : Le sorgho [Sorghum bicolor (L.) Moench] est l’une des céréales de base les plus importantes pour l’alimentation des populations rurales de l’Afrique de l’ouest. Au Sénégal, sa production est confrontée à de nombreuses contraintes dont la productivité et la sensibilité aux attaques des moisissures des grains. Pour rehausser la production et avoir une bonne résistance par rapport à ces champignons, il est nécessaire de proposer des variétés plus performantes. Pour contribuer à la productivité et à la réduction de cette maladie, l’évaluation de 22 lignées recombinantes de sorgho avec présence de 3 témoins a été effectuée à la station de Sinthiou Malème et à la station expérimentale du CNRA de Bambey au cours de l’hivernage 2019. Le dispositif expérimental était un Lattice carré avec 3 répétitions de 5 blocs et chaque bloc contenait 5 parcelles élémentaires. A Bambey, toutes les lignées semblent résistantes aux moisissures cependant seules les lignées P2E3, P1E58, P2E67, E1 et P3E45 ont été les plus productives que les témoins Payenne et Nganda et leurs rendements en grains sont supérieurs à 2t/ha. A Sinthiou Malème, les lignées E1, P2E22, P3E64, P3E45, P2E3 et P1E4 ont combiné de bons rendements et une résistance face aux moisissures. Les résultats combinés des deux sites ont montré que les lignées P3E45, P3E64 et E1 ont été les plus productives que les témoins Nganda et Payenne, et les lignées P2E22, P1E4, E1 et P3E67 sont très résistantes à Bambey et Sinthiou Malème. Ainsi, les lignées jugées performantes en rendement et ayant une résistance aux moisissures des grains nécessitent d’être reconduites dans un autre essai, ultérieurement, afin de confirmer la performance et la résistance de ces lignées dans les différents sites.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10292 Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003843 a A011 BAK Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003843 b A011 BAK Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible