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Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda / Traoré, Ibrahima
Titre : Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda Type de document : texte imprimé Auteurs : Traoré, Ibrahima, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 46 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aviculture, Typologie, Aviculture familiale, Maladies, Contraintes, Nguéniéne, Ndofane, Ndianda Résumé : Notre étude est axée sur l’aviculture au sens large du terme mais elle met plus l’accent sur l’aviculture familiale et l’aviculture dite moderne. Ainsi un questionnaire a été administré à 200 exploitants de la commune de Nguèniéne répartis dans trois villages, à savoir Nguèniéne, Ndofane et Ndianda .63, 5% des personnes enquêtées sont des femmes. L’élevage de poulets demeure la plus répandue (mais on trouve également des pigeons, des canards, des pintades, et dindes). Dans l’aviculture villageoise, les animaux sont nourris avec les sons de mil, de restes de cuisine et sont laissés en liberté. Dans ce système dit extensifs, la gestion de la volaille est l’affaire de toute la famille. Dans l’élevage de poulet de chairs et de poule pondeuse, l’alimentation est à base d’aliments industriels.79% des éleveurs utilisent des poulaillers « traditionnels » en briques ou en terres battues et dont la construction ne nécessite pas beaucoup de moyens financiers. Rares sont les exploitations disposant de mangeoires car les aliments sont distribuées à même le sol. Cependant, on trouve des pots, des bouteilles recyclées, des bols… Dans 15,5% des exploitations, on trouve des poulaillers « modernes », équipés de mangeoires et d’abreuvoirs modernes et d’installation électriques. Le nombre d’œufs pondus est en moyenne de 12, le nombre d’œufs éclos est en moyenne de 8 ,5±1,7 . Le nombre de poussins sevrés est en moyenne de 5,2± 1,7 et l’âge à la reproduction des jeunes sujets est en moyenne de 4,8±0,5 mois. La maladie de Newcastle constitue la principale menace de l’aviculture villageoise avec 79% des cas suivi de la variole aviaire. En général, seuls les éleveurs de chairs et de pondeuses vaccinent leurs animaux contre la maladie de Newcastle. Les deux principales contraintes de l’élevage de poulets de chairs sont : un marché pour écouler leurs produits, une formation sur les techniques d’élevage.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10259 Caractérisation de l'aviculture dans la commune de Nguèniéne : Cas des villages de Nguéniéne, Ndofane et Ndianda [texte imprimé] / Traoré, Ibrahima, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 46 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aviculture, Typologie, Aviculture familiale, Maladies, Contraintes, Nguéniéne, Ndofane, Ndianda Résumé : Notre étude est axée sur l’aviculture au sens large du terme mais elle met plus l’accent sur l’aviculture familiale et l’aviculture dite moderne. Ainsi un questionnaire a été administré à 200 exploitants de la commune de Nguèniéne répartis dans trois villages, à savoir Nguèniéne, Ndofane et Ndianda .63, 5% des personnes enquêtées sont des femmes. L’élevage de poulets demeure la plus répandue (mais on trouve également des pigeons, des canards, des pintades, et dindes). Dans l’aviculture villageoise, les animaux sont nourris avec les sons de mil, de restes de cuisine et sont laissés en liberté. Dans ce système dit extensifs, la gestion de la volaille est l’affaire de toute la famille. Dans l’élevage de poulet de chairs et de poule pondeuse, l’alimentation est à base d’aliments industriels.79% des éleveurs utilisent des poulaillers « traditionnels » en briques ou en terres battues et dont la construction ne nécessite pas beaucoup de moyens financiers. Rares sont les exploitations disposant de mangeoires car les aliments sont distribuées à même le sol. Cependant, on trouve des pots, des bouteilles recyclées, des bols… Dans 15,5% des exploitations, on trouve des poulaillers « modernes », équipés de mangeoires et d’abreuvoirs modernes et d’installation électriques. Le nombre d’œufs pondus est en moyenne de 12, le nombre d’œufs éclos est en moyenne de 8 ,5±1,7 . Le nombre de poussins sevrés est en moyenne de 5,2± 1,7 et l’âge à la reproduction des jeunes sujets est en moyenne de 4,8±0,5 mois. La maladie de Newcastle constitue la principale menace de l’aviculture villageoise avec 79% des cas suivi de la variole aviaire. En général, seuls les éleveurs de chairs et de pondeuses vaccinent leurs animaux contre la maladie de Newcastle. Les deux principales contraintes de l’élevage de poulets de chairs sont : un marché pour écouler leurs produits, une formation sur les techniques d’élevage.
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