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Etude des techniques de régénération d’Avicennia nitida et des perspectives de valorisation de la mangrove dans la Réserve Naturelle Communautaire de Gandon / Mady Racine Sagna
Titre : Etude des techniques de régénération d’Avicennia nitida et des perspectives de valorisation de la mangrove dans la Réserve Naturelle Communautaire de Gandon Type de document : texte imprimé Auteurs : Mady Racine Sagna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 68 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Avicennia nitida Mangrove Avicennia Rhizophora Réserve Naturelle Communautaire Valorisation Perspectives de production Gandon Résumé : L’écosystème mangrove est adapté au milieu inondé plus ou moins salé. Il est constitué essentiellement de deux Genres Avicennia et Rhizophora. On le rencontre entre les milieux terrestre et marin (tannes bolongs). Cet écosystème contribue à la protection contre le phénomène de l’érosion hydrique et ralentit l’avancée de la mer sur le rivage. Cependant la sécheresse des années 70 et les actions anthropiques ont conduit à une forte dégradation de cet écosystème. Il résulte de ces phénomènes une régression des superficies de mangrove. Face à cette situation, le PGIES vient apporter son appui aux populations de la RNC de Gandon pour limiter les dégâts et conséquences. C’est dans ce cadre que se situe notre étude dont l’objectif est de contribuer à une meilleure maîtrise des techniques de régénération d’Avicennia nitida et à une optimisation des efforts de valorisation de la mangrove dans la Réserve Naturelle Communautaire de Gandon. Pour ce faire une enquête a été menée dans cinq villages sur douze qui polarisent la RNC. Les résultats de l’enquête ont révélé que les populations ont bien compris l’intérêt qu’elles pourraient tirer de la RNC. Ainsi elles se sont bien mobilisées et organisées pour assurer la régénération par les activités de reboisement. De 2004 à 2009 une superficie de 248 ha a été régénérée dont 75.5 ha en reboisement et 172.5 ha en régénération naturelle assistée par les populations. Les différentes contraintes suivantes sont à noter :
• hydriques, avec comme conséquences écologiques la destruction d’une bonne partie de la mangrove reboisée en 2004 à Doune Baba Dieye,
• agricole, avec la salinisation des terres cultivables et le recul de cette activité dans certaines zones comme Doune Baba Dieye, Keur Barka et Mbambara,
• socio-économique avec la disparition et/ou la rareté de certaines espèces de poissons, la réduction des activités de pêche, l’exode rural de certains pêcheurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6819 Etude des techniques de régénération d’Avicennia nitida et des perspectives de valorisation de la mangrove dans la Réserve Naturelle Communautaire de Gandon [texte imprimé] / Mady Racine Sagna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 68 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Avicennia nitida Mangrove Avicennia Rhizophora Réserve Naturelle Communautaire Valorisation Perspectives de production Gandon Résumé : L’écosystème mangrove est adapté au milieu inondé plus ou moins salé. Il est constitué essentiellement de deux Genres Avicennia et Rhizophora. On le rencontre entre les milieux terrestre et marin (tannes bolongs). Cet écosystème contribue à la protection contre le phénomène de l’érosion hydrique et ralentit l’avancée de la mer sur le rivage. Cependant la sécheresse des années 70 et les actions anthropiques ont conduit à une forte dégradation de cet écosystème. Il résulte de ces phénomènes une régression des superficies de mangrove. Face à cette situation, le PGIES vient apporter son appui aux populations de la RNC de Gandon pour limiter les dégâts et conséquences. C’est dans ce cadre que se situe notre étude dont l’objectif est de contribuer à une meilleure maîtrise des techniques de régénération d’Avicennia nitida et à une optimisation des efforts de valorisation de la mangrove dans la Réserve Naturelle Communautaire de Gandon. Pour ce faire une enquête a été menée dans cinq villages sur douze qui polarisent la RNC. Les résultats de l’enquête ont révélé que les populations ont bien compris l’intérêt qu’elles pourraient tirer de la RNC. Ainsi elles se sont bien mobilisées et organisées pour assurer la régénération par les activités de reboisement. De 2004 à 2009 une superficie de 248 ha a été régénérée dont 75.5 ha en reboisement et 172.5 ha en régénération naturelle assistée par les populations. Les différentes contraintes suivantes sont à noter :
• hydriques, avec comme conséquences écologiques la destruction d’une bonne partie de la mangrove reboisée en 2004 à Doune Baba Dieye,
• agricole, avec la salinisation des terres cultivables et le recul de cette activité dans certaines zones comme Doune Baba Dieye, Keur Barka et Mbambara,
• socio-économique avec la disparition et/ou la rareté de certaines espèces de poissons, la réduction des activités de pêche, l’exode rural de certains pêcheurs.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002821 F015 SAG Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etude de l’utilisation du bois mort, du charbon de bois et du bois de service dans le département de Matam (cas de la forêt classée de Diamel) / Mamadou Fall
Titre : Etude de l’utilisation du bois mort, du charbon de bois et du bois de service dans le département de Matam (cas de la forêt classée de Diamel) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Fall, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1996 Importance : 68 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1996 ]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Bois mort Charbon Bois de service Forêt classée Diamel Matam Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7171 Etude de l’utilisation du bois mort, du charbon de bois et du bois de service dans le département de Matam (cas de la forêt classée de Diamel) [texte imprimé] / Mamadou Fall, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1996 . - 68 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1996 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bois mort Charbon Bois de service Forêt classée Diamel Matam Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7171 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001741 F023 FAL Livre ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etude de l’utilisation de la haie et analyse de la perception des producteurs sur l’adoption de la haie vive dans la Communauté rurale de Diossong / Ndiaye, Mariama
Titre : Etude de l’utilisation de la haie et analyse de la perception des producteurs sur l’adoption de la haie vive dans la Communauté rurale de Diossong Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Mariama, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2014 Importance : 40 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Haie vive TECHNOLOGIE Divagation des animaux Diossong Producteurs Programme « Disso Bay Dundé » Exploitations Agricole Familiale Résumé : Les cultures pratiquées en saison sèche, les productions horticoles représentent une source de revenu importante pour les Exploitations Agricoles Familiales (EAF), de même qu’une source de diversification des activités agricoles et d’amélioration des conditions de vie de ses membres. C’est dans ce contexte que le programme « Disso Bay Dundé » a pensé introduire la haie vive à usages multiples, une technologie agroforestières dont l’adoption devra être mesurée à travers la perception que les producteurs ont de cette innovation.
La présente étude se base sur une enquête de terrain réalisée dans la communauté rurale de Diossong, auprès de 85 Exploitations Agricole Familiale, réparties dans 8 villages.
Les résultats indiquent que de nombreux facteurs d’ordre socio-économique influencent l’adoption des haies vives. Parmi ces facteurs, on note le manque de moyens financiers, la complexité de l’implantation de la technique et le fait que le travail nécessaire entre en concurrence avec les travaux champêtres (manque de temps)
L’analyse démontre que 75,3% des EAF sont ouvert à son adoption. La haie vive ne peut être installée dans cette zone que sur des vergers ou sur des périmètres maraichers. Cependant le manque de terres, de moyens financiers est très souvent avancé comme contraintes à son adoption.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6273 Etude de l’utilisation de la haie et analyse de la perception des producteurs sur l’adoption de la haie vive dans la Communauté rurale de Diossong [texte imprimé] / Ndiaye, Mariama, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2014 . - 40 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Haie vive TECHNOLOGIE Divagation des animaux Diossong Producteurs Programme « Disso Bay Dundé » Exploitations Agricole Familiale Résumé : Les cultures pratiquées en saison sèche, les productions horticoles représentent une source de revenu importante pour les Exploitations Agricoles Familiales (EAF), de même qu’une source de diversification des activités agricoles et d’amélioration des conditions de vie de ses membres. C’est dans ce contexte que le programme « Disso Bay Dundé » a pensé introduire la haie vive à usages multiples, une technologie agroforestières dont l’adoption devra être mesurée à travers la perception que les producteurs ont de cette innovation.
La présente étude se base sur une enquête de terrain réalisée dans la communauté rurale de Diossong, auprès de 85 Exploitations Agricole Familiale, réparties dans 8 villages.
Les résultats indiquent que de nombreux facteurs d’ordre socio-économique influencent l’adoption des haies vives. Parmi ces facteurs, on note le manque de moyens financiers, la complexité de l’implantation de la technique et le fait que le travail nécessaire entre en concurrence avec les travaux champêtres (manque de temps)
L’analyse démontre que 75,3% des EAF sont ouvert à son adoption. La haie vive ne peut être installée dans cette zone que sur des vergers ou sur des périmètres maraichers. Cependant le manque de terres, de moyens financiers est très souvent avancé comme contraintes à son adoption.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6273 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003222 F012 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003222 b F012 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etude de la vulnérabilité écologique et socioéconomique de la mangrove dans les villages de Djirnda, Moundé et Diamniadio dans le département de Foundiougne et proposition de mesures d’adaptation / Danilo Ibou Faye
Titre : Etude de la vulnérabilité écologique et socioéconomique de la mangrove dans les villages de Djirnda, Moundé et Diamniadio dans le département de Foundiougne et proposition de mesures d’adaptation Type de document : texte imprimé Auteurs : Danilo Ibou Faye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 71 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangrove Vulnérabilité écologique Impact socioéconomique Changements climatiques Capacité d’adaptation Durabilité Djirnda Moundé Diamniadio Foundiougne Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6699 Etude de la vulnérabilité écologique et socioéconomique de la mangrove dans les villages de Djirnda, Moundé et Diamniadio dans le département de Foundiougne et proposition de mesures d’adaptation [texte imprimé] / Danilo Ibou Faye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 71 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002959 F015 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etudes des capacités de charge de la forêt classée de Diamel / Mor Talla Niasse
Titre : Etudes des capacités de charge de la forêt classée de Diamel Type de document : texte imprimé Auteurs : Mor Talla Niasse, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1995 Importance : 61 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1995 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9444 Etudes des capacités de charge de la forêt classée de Diamel [texte imprimé] / Mor Talla Niasse, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1995 . - 61 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1995
Langues : Français (fre)
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9444 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01526 b F002 NIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etudes préliminaires relatives à l’implantation d’un projet de Game Ranching dans la forêt classée du Diambour (Région de Tambacounda) / Ndiaye, Boucar
Titre : Etudes préliminaires relatives à l’implantation d’un projet de Game Ranching dans la forêt classée du Diambour (Région de Tambacounda) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Boucar, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1996 Importance : 55 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR, 1996 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Projet Game Ranching Forêt classée Diambour Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7218 Etudes préliminaires relatives à l’implantation d’un projet de Game Ranching dans la forêt classée du Diambour (Région de Tambacounda) [texte imprimé] / Ndiaye, Boucar, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1996 . - 55 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR, 1996 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Projet Game Ranching Forêt classée Diambour Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7218 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001829 F027 NDI Livre ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etudes des retombées économiques et financières de l’exploitation du bois d’énergie pour les populations locales dans le cas d’un aménagement participatif au Sénégal : Cas du massif de Thiéwal dans la région de Kolda / Almamy Diarra
Titre : Etudes des retombées économiques et financières de l’exploitation du bois d’énergie pour les populations locales dans le cas d’un aménagement participatif au Sénégal : Cas du massif de Thiéwal dans la région de Kolda Type de document : texte imprimé Auteurs : Almamy Diarra, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2006 Importance : 43 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bois d’énergie Exploitation du bois d’énergie Impact économique Aménagement Participatif Thiewal Kolda Progédé Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7477 Etudes des retombées économiques et financières de l’exploitation du bois d’énergie pour les populations locales dans le cas d’un aménagement participatif au Sénégal : Cas du massif de Thiéwal dans la région de Kolda [texte imprimé] / Almamy Diarra, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2006 . - 43 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002654 F023 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etudes des stratégies d’adaptation aux changements climatiques par des pratiques endogènes en milieux sérère, wolof, peulh et mandingue au Sénégal / Sidoine Senghor
Titre : Etudes des stratégies d’adaptation aux changements climatiques par des pratiques endogènes en milieux sérère, wolof, peulh et mandingue au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Sidoine Senghor, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2019 Importance : 62 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Climat, Perception locale, Vulnérabilité, Changement climatique, Adaptation, Systèmes de production,Ethnie, Peulh, Sérères, Wolof, Mandingue Résumé : L’adaptation aux changements climatiques est pratiquement prise en compte partout dans le système agraire traditionnel. En effet, les changements climatiques se traduisent localement par plusieurs évolutions qui modifient les conditions de productions agricoles. La présente étude entreprise dans quatre villages d’ethnies différentes (peulh, sérères, wolof et mandingue) s’intéresse à l’effet ethnique sur la perception locale des petits producteurs sur le climat et son impact sur les systèmes de production, ainsi que sur la manière dont les ethnies s’adaptent aux changements climatiques. L’étude s’est basée principalement sur des focus groupes, des entretiens et des transects dans les communautés cibles. Parmi les événements climatiques impactant nous pouvons citer les vents forts, les inondations et le déficit pluviométrique. Les impacts des changements climatiques sur les systèmes d’occupation des sols, sur l’agriculture et l’élevage ont lourdement pesé sur les ethnies enquêtées. Les stratégies adoptées sont pratiquement les même lorsque les événements climatiques perçus sont de même nature. Celles-ci commencent en général par une modification du calendrier cultural. En effet, les producteurs des différentes ethnies cherchent la précocité en utilisant les variétés à cycle court pour s’adapter au déficit pluviométrique par exemple. Ils privilégient aussi les espèces plus rustiques comme le souna chez les wolofs capable de rester longtemps dans le sol des conditions favorables à la germination. Les stratégies adoptées couvrent aussi bien le déplacement des dates de semis que le changement de techniques culturales associations des cultures, rotation des cultures, jachère, utilisation d’intrants chimiques et organiques. Dans le secteur de l’élevage la transhumance, le déstockage, l’achat d’aliment pour le bétail et la constitution de réserve fourragère sont pratiqués.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8506 Etudes des stratégies d’adaptation aux changements climatiques par des pratiques endogènes en milieux sérère, wolof, peulh et mandingue au Sénégal [texte imprimé] / Sidoine Senghor, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2019 . - 62 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Climat, Perception locale, Vulnérabilité, Changement climatique, Adaptation, Systèmes de production,Ethnie, Peulh, Sérères, Wolof, Mandingue Résumé : L’adaptation aux changements climatiques est pratiquement prise en compte partout dans le système agraire traditionnel. En effet, les changements climatiques se traduisent localement par plusieurs évolutions qui modifient les conditions de productions agricoles. La présente étude entreprise dans quatre villages d’ethnies différentes (peulh, sérères, wolof et mandingue) s’intéresse à l’effet ethnique sur la perception locale des petits producteurs sur le climat et son impact sur les systèmes de production, ainsi que sur la manière dont les ethnies s’adaptent aux changements climatiques. L’étude s’est basée principalement sur des focus groupes, des entretiens et des transects dans les communautés cibles. Parmi les événements climatiques impactant nous pouvons citer les vents forts, les inondations et le déficit pluviométrique. Les impacts des changements climatiques sur les systèmes d’occupation des sols, sur l’agriculture et l’élevage ont lourdement pesé sur les ethnies enquêtées. Les stratégies adoptées sont pratiquement les même lorsque les événements climatiques perçus sont de même nature. Celles-ci commencent en général par une modification du calendrier cultural. En effet, les producteurs des différentes ethnies cherchent la précocité en utilisant les variétés à cycle court pour s’adapter au déficit pluviométrique par exemple. Ils privilégient aussi les espèces plus rustiques comme le souna chez les wolofs capable de rester longtemps dans le sol des conditions favorables à la germination. Les stratégies adoptées couvrent aussi bien le déplacement des dates de semis que le changement de techniques culturales associations des cultures, rotation des cultures, jachère, utilisation d’intrants chimiques et organiques. Dans le secteur de l’élevage la transhumance, le déstockage, l’achat d’aliment pour le bétail et la constitution de réserve fourragère sont pratiqués.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8506 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003777 F008 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003777 b F008 SEN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des actions déjà mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles à Louga / Abibou Sané
Titre : Évaluation des actions déjà mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles à Louga Type de document : texte imprimé Auteurs : Abibou Sané, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2000 Importance : 85 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et forêt : ISFAR ex ENCR : 2000] Langues : Français (fre) Mots-clés : Gestion des ressources naturelles Renforcement Approche communautaire Ressources naturelles Louga Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6840 Évaluation des actions déjà mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles à Louga [texte imprimé] / Abibou Sané, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2000 . - 85 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et forêt : ISFAR ex ENCR : 2000]
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002132 F026 SAN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des actions mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles dans la zone G à Saint Louis / Madické Seck
Titre : Évaluation des actions mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles dans la zone G à Saint Louis Type de document : texte imprimé Auteurs : Madické Seck, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2000 Importance : 42 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2000] Langues : Français (fre) Mots-clés : Approche communautaire Gestion des ressources naturelles Zone G Saint Louis Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6844 Évaluation des actions mises en œuvre et renforcement de l’approche communautaire de gestion des ressources naturelles dans la zone G à Saint Louis [texte imprimé] / Madické Seck, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2000 . - 42 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2000]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Approche communautaire Gestion des ressources naturelles Zone G Saint Louis Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6844 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002133 F026 SEC Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des actions de reboisement du PDESO de 1980 à 1988 / Mame Mory Diagne
Titre : Evaluation des actions de reboisement du PDESO de 1980 à 1988 Type de document : texte imprimé Auteurs : Mame Mory Diagne, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1989 Importance : 42 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études :Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9439 Evaluation des actions de reboisement du PDESO de 1980 à 1988 [texte imprimé] / Mame Mory Diagne, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1989 . - 42 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études :Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989
Langues : Français (fre)
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9439 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01521 b F004 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des activités de réhabilitation de la mangrove dans la région de Ziguinchor : cas de la vallée de Tobor / Ndiaye, Mamadou Lamine
Titre : Évaluation des activités de réhabilitation de la mangrove dans la région de Ziguinchor : cas de la vallée de Tobor Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Mamadou Lamine, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 42 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangrove Dégradation Activités de réhabilitation Vallée de Tobor Écosystème Niamone Ziguinchor Résumé : La combinaison des facteurs naturels et anthropiques qui s’est succédé dans le temps a favorisé dans la Communauté Rurale de Niamone, une dégradation de l’écosystème mangrove entrainant ainsi la disparition de certains produits halieutiques et la salinisation des terres. Cette menace qu’il convient de résoudre pose la problématique de réhabilitation de la mangrove qui demeure une préoccupation majeure de la population. C’est dans ce contexte que des projets et ONG ont eu à intervenir dans la zone en vue d’inverser cette tendance à la dégradation. Notre travail de fin d’études consiste donc à évaluer les activités de réhabilitation de la mangrove dans la vallée de Tobor située dans la communauté rurale de Niamone et à une dizaine de kilomètres au nord de Ziguinchor. Ainsi, nous avons procédé à des visites de terrain, à des enquêtes et à l’inventaire de la mangrove dans notre zone d’étude. Les résultats obtenus montrent que les activités de réhabilitation ont eu un effet positif sur le développement de la mangrove. Les enquêtes réalisées ont révélé que les populations ont une appréciation positive de l’intervention des ONG, projets et programmes dans la réhabilitation de la mangrove. Les résultats obtenus montrent que les impacts des activités de reboisement sont plus positifs que négatifs. Également, les méthodes de réhabilitation utilisées ont permis de mieux appréhender celle qui est la plus adaptée. Il est cependant nécessaire de mentionner que cet écosystème joue un rôle indispensable dans la vie quotidienne des populations. En effet, les populations pense que ces réalisations bien que bénéfiques restent à être renforcées
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6308 Évaluation des activités de réhabilitation de la mangrove dans la région de Ziguinchor : cas de la vallée de Tobor [texte imprimé] / Ndiaye, Mamadou Lamine, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 42 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangrove Dégradation Activités de réhabilitation Vallée de Tobor Écosystème Niamone Ziguinchor Résumé : La combinaison des facteurs naturels et anthropiques qui s’est succédé dans le temps a favorisé dans la Communauté Rurale de Niamone, une dégradation de l’écosystème mangrove entrainant ainsi la disparition de certains produits halieutiques et la salinisation des terres. Cette menace qu’il convient de résoudre pose la problématique de réhabilitation de la mangrove qui demeure une préoccupation majeure de la population. C’est dans ce contexte que des projets et ONG ont eu à intervenir dans la zone en vue d’inverser cette tendance à la dégradation. Notre travail de fin d’études consiste donc à évaluer les activités de réhabilitation de la mangrove dans la vallée de Tobor située dans la communauté rurale de Niamone et à une dizaine de kilomètres au nord de Ziguinchor. Ainsi, nous avons procédé à des visites de terrain, à des enquêtes et à l’inventaire de la mangrove dans notre zone d’étude. Les résultats obtenus montrent que les activités de réhabilitation ont eu un effet positif sur le développement de la mangrove. Les enquêtes réalisées ont révélé que les populations ont une appréciation positive de l’intervention des ONG, projets et programmes dans la réhabilitation de la mangrove. Les résultats obtenus montrent que les impacts des activités de reboisement sont plus positifs que négatifs. Également, les méthodes de réhabilitation utilisées ont permis de mieux appréhender celle qui est la plus adaptée. Il est cependant nécessaire de mentionner que cet écosystème joue un rôle indispensable dans la vie quotidienne des populations. En effet, les populations pense que ces réalisations bien que bénéfiques restent à être renforcées
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003139 F015 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Sorti jusqu'au 15/04/2024 003139 b F015 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation de la consommation du combustible domestique dans les ménages ruraux du Département de Bambey : le cas de la commune de Ngoye / El Hadji Diouf
Titre : Évaluation de la consommation du combustible domestique dans les ménages ruraux du Département de Bambey : le cas de la commune de Ngoye Type de document : texte imprimé Auteurs : El Hadji Diouf, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 31 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Combustibles ligneux Consommation énergétique Forêts Bois-énergie Déforestation Surexploitation Ngoye Bambey Résumé : Le Sénégal, à l’instar des autres pays sahéliens, est confronté à la dégradation de ses écosystèmes forestiers. Cette situation reste inquiétante d’autant plus que la forêt reste la principale pourvoyeuse de combustibles domestiques à près de 90% des ménages. Cette étude à consister à évaluer la consommation des différents combustibles domestiques dans les ménages de la commune de Ngoye. La méthodologie utilisée pour estimer la demande en combustibles domestiques à partir des données collectées a consisté à mener des enquêtes de consommation du bois-énergie auprès des différentes couches de la population de la Commune. Il s’agit, d’une part de distinguer les ménages suivant des critères qui sont susceptibles d’influencer la consommation et d’autre part d’approcher des valeurs de moyennes proches de la réalité. Les critères de classification choisis sont : la zone d’habitation, le revenu, la taille du ménage et le mode de consommation. Les résultats obtenus confirment la place importante du bois de chauffe comme la principale source d’énergie utilisée dans la commune avec pratiquement 100% des ménages enquêtés. Les autres sources d’énergie domestiques notamment la bouse de vache, le charbon de bois et le gaz butane se retrouvent respectivement avec 92,86%, 67,14% et 68,57% des enquêtés. L’analyse de ces résultats montre que les quantités de combustibles consommées augmentent au fur et à mesure que le revenu des ménages augmente. Par ailleurs, l’étude a montré que 67,14% des ménages enquêtés utilisent les foyers améliorés contre 37,86% qui utilisent foyers traditionnels. Ces derniers avec leurs rendements énergétiques faibles participent à un usage non économes du bois-énergie ce qui ne contribuent pas à la politique nationale d’exploitation durable des ressources forestières et compromettraient la disponibilité de la ressource dans le très long terme.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6585 Évaluation de la consommation du combustible domestique dans les ménages ruraux du Département de Bambey : le cas de la commune de Ngoye [texte imprimé] / El Hadji Diouf, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 31 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Combustibles ligneux Consommation énergétique Forêts Bois-énergie Déforestation Surexploitation Ngoye Bambey Résumé : Le Sénégal, à l’instar des autres pays sahéliens, est confronté à la dégradation de ses écosystèmes forestiers. Cette situation reste inquiétante d’autant plus que la forêt reste la principale pourvoyeuse de combustibles domestiques à près de 90% des ménages. Cette étude à consister à évaluer la consommation des différents combustibles domestiques dans les ménages de la commune de Ngoye. La méthodologie utilisée pour estimer la demande en combustibles domestiques à partir des données collectées a consisté à mener des enquêtes de consommation du bois-énergie auprès des différentes couches de la population de la Commune. Il s’agit, d’une part de distinguer les ménages suivant des critères qui sont susceptibles d’influencer la consommation et d’autre part d’approcher des valeurs de moyennes proches de la réalité. Les critères de classification choisis sont : la zone d’habitation, le revenu, la taille du ménage et le mode de consommation. Les résultats obtenus confirment la place importante du bois de chauffe comme la principale source d’énergie utilisée dans la commune avec pratiquement 100% des ménages enquêtés. Les autres sources d’énergie domestiques notamment la bouse de vache, le charbon de bois et le gaz butane se retrouvent respectivement avec 92,86%, 67,14% et 68,57% des enquêtés. L’analyse de ces résultats montre que les quantités de combustibles consommées augmentent au fur et à mesure que le revenu des ménages augmente. Par ailleurs, l’étude a montré que 67,14% des ménages enquêtés utilisent les foyers améliorés contre 37,86% qui utilisent foyers traditionnels. Ces derniers avec leurs rendements énergétiques faibles participent à un usage non économes du bois-énergie ce qui ne contribuent pas à la politique nationale d’exploitation durable des ressources forestières et compromettraient la disponibilité de la ressource dans le très long terme.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003660 F023 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003660 b F023 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation de la consommation combustible des énergies domestiques dans les ménages ruraux : cas de 15 villages de la commune de Bambey / Ndour, Aliou
Titre : Évaluation de la consommation combustible des énergies domestiques dans les ménages ruraux : cas de 15 villages de la commune de Bambey Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndour, Aliou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2021 Importance : 40 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bois de feu, Foyer amélioré, Résidus de cultures, Bouses de vaches, Charbon de bois, Combustible, Energies domestiques, Ménages ruraux, Bambey Résumé : L’utilisation des énergies domestiques dans le milieu rural repose essentiellement sur le bois de feu, les résidus de cultures, les bouses de vaches et les gaz butanes. Cependant, l’approvisionnement de ces énergies pose un réel problème à la population féminine. Notre étude consiste à évaluer la consommation combustible des énergies domestiques dans les ménages ruraux de Bambey. Pour ce faire, un échantillonnage aléatoire a été fait dans le choix des villages et des ménages enquêtés. Avant la réalisation des fiches d’enquêtes, une pré-enquête a été faite pour s’imprégner de la réalité du terrain. L’analyse des résultats a montré que les ménages qui ont un revenu inférieur à 50 000 FCFA par mois sont beaucoup plus nombreux dans la population étudiée. En ce qui concerne la consommation des énergies, le bois de chauffe est le plus utilisé avec 100% de la population enquêtée. Il est suivi par les bouses de vaches avec 89,47%. Pour le mode d’approvisionnement, les résidus de cultures et les bouses de vaches sont collectés à 100%. Par contre la consommation du charbon de bois et du gaz butane sont très faibles et se font par achat. A l’intermédiaire, 60,45% de la population achète le bois de chauffe contre 39,55% qui font la collecte. En terme monétaire, le coût du charbon de bois est beaucoup plus réduit par rapport aux autres coûts des énergies utilisées. Par ailleurs, l’étude a montré que 21,05% des ménages enquêtés utilisent les foyers améliorés contre 78,95% qui utilisent les foyers traditionnels. Ces derniers avec leurs rendements énergétiques faibles participent à un usage non économique des énergies ce qui ne contribue pas à la politique nationale d’exploitation durable des ressources et compromettraient la disponibilité des ressources dans le très long terme. Ainsi, la multiplication des foyers améliorés dans les ménages constitue une solution.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10688 Évaluation de la consommation combustible des énergies domestiques dans les ménages ruraux : cas de 15 villages de la commune de Bambey [texte imprimé] / Ndour, Aliou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 40 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bois de feu, Foyer amélioré, Résidus de cultures, Bouses de vaches, Charbon de bois, Combustible, Energies domestiques, Ménages ruraux, Bambey Résumé : L’utilisation des énergies domestiques dans le milieu rural repose essentiellement sur le bois de feu, les résidus de cultures, les bouses de vaches et les gaz butanes. Cependant, l’approvisionnement de ces énergies pose un réel problème à la population féminine. Notre étude consiste à évaluer la consommation combustible des énergies domestiques dans les ménages ruraux de Bambey. Pour ce faire, un échantillonnage aléatoire a été fait dans le choix des villages et des ménages enquêtés. Avant la réalisation des fiches d’enquêtes, une pré-enquête a été faite pour s’imprégner de la réalité du terrain. L’analyse des résultats a montré que les ménages qui ont un revenu inférieur à 50 000 FCFA par mois sont beaucoup plus nombreux dans la population étudiée. En ce qui concerne la consommation des énergies, le bois de chauffe est le plus utilisé avec 100% de la population enquêtée. Il est suivi par les bouses de vaches avec 89,47%. Pour le mode d’approvisionnement, les résidus de cultures et les bouses de vaches sont collectés à 100%. Par contre la consommation du charbon de bois et du gaz butane sont très faibles et se font par achat. A l’intermédiaire, 60,45% de la population achète le bois de chauffe contre 39,55% qui font la collecte. En terme monétaire, le coût du charbon de bois est beaucoup plus réduit par rapport aux autres coûts des énergies utilisées. Par ailleurs, l’étude a montré que 21,05% des ménages enquêtés utilisent les foyers améliorés contre 78,95% qui utilisent les foyers traditionnels. Ces derniers avec leurs rendements énergétiques faibles participent à un usage non économique des énergies ce qui ne contribue pas à la politique nationale d’exploitation durable des ressources et compromettraient la disponibilité des ressources dans le très long terme. Ainsi, la multiplication des foyers améliorés dans les ménages constitue une solution.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003926 a F023 NDO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003926 b F023 NDO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation de la diversité floristique dans la commune de Diourbel et estimation de la séquestration de carbone des arbres en alignement sur ses axes routiers / Diop, Aliou
Titre : Evaluation de la diversité floristique dans la commune de Diourbel et estimation de la séquestration de carbone des arbres en alignement sur ses axes routiers Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Aliou, Auteur Editeur : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022 Année de publication : 2022 Importance : 39 p Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Flore urbaine, Séquestration de carbone, Arbres d’alignement, Diversité floristique, Services écosystémiques, Carbone, Diourbel, Sénégal. Résumé : Aujourd’hui, l’arbre devient un élément essentiel pour un environnement urbain vivable et durable. Les possibilités de la foresterie urbaine peuvent être analysées par l’approche citadine pour envisager les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent favoriser leur promotion. Cette étude a été réalisée dans le but de déterminer la diversité floristique et d’évaluer les services écosystémiques fournis par les arbres en alignement de voie de la ville de Diourbel. Pour ce faire, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 98 concessions de la commune, l’inventaire des axes routiers, écoles et zones boisées. En plus de noter tous les arbres, ceux ayant un DBH ≥ 10 cm et une hauteur ≥ 2 m ont été estimés. Les résultats font ressortir une richesse floristique composée de 36 espèces réparties en 24 familles dont celle des Mimosaceae qui est la plus représentative (59,57 %). Les résultats font apparaitre sur les différents axes routiers un total de 332 pieds d’arbres répartis en 10 espèces et 8 familles dont la plus représentée est celle des Méliaceae. Il a été retenu que 67,68% de la population enquêtée estiment une augmentation du couvert végétal, 41,28% considèrent les arbres comme source de bien-être et lieu de récréation et 66,67% disent qu’ils ne créent aucun problème. Les causes de l’absence de l’arbre sont dues à 19,44% au manque d’espace, à 30,55% au manque de technicité et 33,33% à la divagation des animaux. Les enquêtés utilisent 11 espèces pour l’alimentation et 15 pour pharmacopée. Le constat est que la quasi-totalité des arbres de la commune sont introduits. Le taux de carbone séquestré s’élève à 140,77 tonnes. Ce pendant un suivi régulier de la composante ligneuse urbaine permettra d’en cerner la dynamique spatiotemporelle et la contribution au stock de carbone d’où l’intérêt de les maintenir et de renforcer leurs densités et leurs diversités pour un équilibre écologique urbain plus durable. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10893 Evaluation de la diversité floristique dans la commune de Diourbel et estimation de la séquestration de carbone des arbres en alignement sur ses axes routiers [texte imprimé] / Diop, Aliou, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 39 p : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Flore urbaine, Séquestration de carbone, Arbres d’alignement, Diversité floristique, Services écosystémiques, Carbone, Diourbel, Sénégal. Résumé : Aujourd’hui, l’arbre devient un élément essentiel pour un environnement urbain vivable et durable. Les possibilités de la foresterie urbaine peuvent être analysées par l’approche citadine pour envisager les conditions dans lesquelles ces derniers peuvent favoriser leur promotion. Cette étude a été réalisée dans le but de déterminer la diversité floristique et d’évaluer les services écosystémiques fournis par les arbres en alignement de voie de la ville de Diourbel. Pour ce faire, la méthodologie adoptée a donc consisté à faire : une revue documentaire, une enquête sociologique dans 98 concessions de la commune, l’inventaire des axes routiers, écoles et zones boisées. En plus de noter tous les arbres, ceux ayant un DBH ≥ 10 cm et une hauteur ≥ 2 m ont été estimés. Les résultats font ressortir une richesse floristique composée de 36 espèces réparties en 24 familles dont celle des Mimosaceae qui est la plus représentative (59,57 %). Les résultats font apparaitre sur les différents axes routiers un total de 332 pieds d’arbres répartis en 10 espèces et 8 familles dont la plus représentée est celle des Méliaceae. Il a été retenu que 67,68% de la population enquêtée estiment une augmentation du couvert végétal, 41,28% considèrent les arbres comme source de bien-être et lieu de récréation et 66,67% disent qu’ils ne créent aucun problème. Les causes de l’absence de l’arbre sont dues à 19,44% au manque d’espace, à 30,55% au manque de technicité et 33,33% à la divagation des animaux. Les enquêtés utilisent 11 espèces pour l’alimentation et 15 pour pharmacopée. Le constat est que la quasi-totalité des arbres de la commune sont introduits. Le taux de carbone séquestré s’élève à 140,77 tonnes. Ce pendant un suivi régulier de la composante ligneuse urbaine permettra d’en cerner la dynamique spatiotemporelle et la contribution au stock de carbone d’où l’intérêt de les maintenir et de renforcer leurs densités et leurs diversités pour un équilibre écologique urbain plus durable. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10893 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004011 a F037 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 004011 b F037 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation de l’effet des pratiques et systèmes agroécologiques sur le rendement du mil (Pennisetum glaucum (L.) R .Br.) dans le terroir de Keur Maciré Diawara, commune de Ndramé Escale / Babacar Samba Faye
Titre : Evaluation de l’effet des pratiques et systèmes agroécologiques sur le rendement du mil (Pennisetum glaucum (L.) R .Br.) dans le terroir de Keur Maciré Diawara, commune de Ndramé Escale Type de document : texte imprimé Auteurs : Babacar Samba Faye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 41 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Systèmes agro-écologiques, Rendement du mil, Pennisetum glaucum (L.) R. Br., Sénégal, Keur Maciré, Mil, Agroécologie, Amendements organiques. Résumé : Au Sénégal, la production agricole est limitée par la variabilité des précipitations, les sécheresses persistantes et la faible fertilité des sols. Ces contraintes ont aussi contribué à la baisse des rendements du mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.] qui est l’aliment de base des populations rurales. C’est dans ce contexte que l’effet des pratiques et systèmes agroécologiques sur le rendement du mil a été étudié. En effet, les essais ont été menés pendant la saison culturale de 2019 à Keur Maciré. Cette présente étude vise, grâce aux pratiques agroécologiques, à contribuer à l’amélioration durable de la productivité du mil en milieu rural dans un contexte de changement climatique. Pour ce faire, quatre niveaux d’amendements (fumier, engrais biologique, engrais chimique et un témoin sans amendement) ont été étudiés sur trois types de sol constituant chacun un dispositif expérimental à blocs complets randomisés avec 3 répétitions. Dans chaque répétition, les quatre amendements ont été utilisés comme parcelles élémentaires. Les résultats ont montré que l’amendement Fumier s’est nettement distingué par rapport aux autres. En termes de croissance, le plus fort tallage est obtenu dans les parcelles amendées par le fumier et l’engrais biologique et les parcelles amendées par le fumier présentent une hauteur de tige plus grande que les deux autres parcelles. Concernant la production, les parcelles amendées par le fumier et l’engrais biologique présentent des épis plus longs. La biomasse sèche et le poids des mille grains sont aussi meilleurs avec le fumier et l’engrais biologique. Le fumier et l’engrais biologique ont positivement influencé le comportement du mil en milieu réel.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10273 Evaluation de l’effet des pratiques et systèmes agroécologiques sur le rendement du mil (Pennisetum glaucum (L.) R .Br.) dans le terroir de Keur Maciré Diawara, commune de Ndramé Escale [texte imprimé] / Babacar Samba Faye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 41 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Systèmes agro-écologiques, Rendement du mil, Pennisetum glaucum (L.) R. Br., Sénégal, Keur Maciré, Mil, Agroécologie, Amendements organiques. Résumé : Au Sénégal, la production agricole est limitée par la variabilité des précipitations, les sécheresses persistantes et la faible fertilité des sols. Ces contraintes ont aussi contribué à la baisse des rendements du mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.] qui est l’aliment de base des populations rurales. C’est dans ce contexte que l’effet des pratiques et systèmes agroécologiques sur le rendement du mil a été étudié. En effet, les essais ont été menés pendant la saison culturale de 2019 à Keur Maciré. Cette présente étude vise, grâce aux pratiques agroécologiques, à contribuer à l’amélioration durable de la productivité du mil en milieu rural dans un contexte de changement climatique. Pour ce faire, quatre niveaux d’amendements (fumier, engrais biologique, engrais chimique et un témoin sans amendement) ont été étudiés sur trois types de sol constituant chacun un dispositif expérimental à blocs complets randomisés avec 3 répétitions. Dans chaque répétition, les quatre amendements ont été utilisés comme parcelles élémentaires. Les résultats ont montré que l’amendement Fumier s’est nettement distingué par rapport aux autres. En termes de croissance, le plus fort tallage est obtenu dans les parcelles amendées par le fumier et l’engrais biologique et les parcelles amendées par le fumier présentent une hauteur de tige plus grande que les deux autres parcelles. Concernant la production, les parcelles amendées par le fumier et l’engrais biologique présentent des épis plus longs. La biomasse sèche et le poids des mille grains sont aussi meilleurs avec le fumier et l’engrais biologique. Le fumier et l’engrais biologique ont positivement influencé le comportement du mil en milieu réel.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003824 a F012 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003824 b F012 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation de l’effet des systèmes et pratiques agroécologiques sur les rendements de mil, maïs et d’arachide dans la zone de Médina Sabakh / Diasse, Ibrahima
Titre : Evaluation de l’effet des systèmes et pratiques agroécologiques sur les rendements de mil, maïs et d’arachide dans la zone de Médina Sabakh Type de document : texte imprimé Auteurs : Diasse, Ibrahima, Auteur Editeur : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022 Année de publication : 2022 Importance : 43 p Présentation : : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Agroécologie, Engrais, Fertilité, sol, Rendement, Pratiques agroécologiques, Médina Sabkah, Sénégal Résumé : Les cultures hivernales d’arachide, de mil et de maïs représentent une importance capitale au Sénégal. Elles constituent en effet, la principale source alimentaire et de revenu des ménages ruraux. Cependant, la baisse de fertilité des sols, conjuguée aux effets de la variabilité climatique et de la cherté des intrants agricoles, constituent les contraintes majeures pour assurer la productivité durable des exploitations. Ainsi, des pratiques d’amendement organique sont utilisées à côté de l’épandage d’importantes quantités d’engrais chimiques dans un souci d’ « intensification». Mais, le constat aujourd’hui est que l’usage des engrais chimiques présente un effet dépressif sur les rendements et contribue à la pollution de l’environnement. Cette présente étude, entreprise par le projet RIAPER, vise à contribuer à la recherche d’alternatives à l’usage excessif d’engrais chimiques afin de maintenir durablement la fertilité des sols et d’améliorer la productivité des agrosystèmes. Concrètement, elle envisage de mesurer l’effet des pratiques agroécologiques sur les rendements d’arachide, de mil et de mais dans les terroirs villageois de Loyène et de Sagap, département de Nioro du Rip. Pour ce faire, quatre niveaux d’amendements (fumier, engrais biologique, engrais chimique et un témoin sans amendement) ont été étudiés sur trois types de sol (mil «sol dior» ; arachide «sol dior deck» ; maïs «sol deck dior»), constituant chacun un dispositif expérimental à blocs complets randomisés avec 3 répétitions. Les résultats montrent que sur « sol dior » et « dior deck », le fumier a présenté les meilleures hauteurs tiges (mil =168,05 cm et arachide =76,4 cm), les plus forts diamètres sur l’arachide (3,822 cm) et le mil (1,162 cm) et les meilleurs rendements d’arachide (3,266 T/ha) et de mil (0,957T/ha). En revanche, le NPK (3,125T/ha) a produit les meilleurs rendements sur sol « deck dior » avec le maïs. Par ailleurs, la parcelle témoin de maïs (3,125T/ha) a donné de bons rendements du fait son niveau de fertilité. So Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10891 Evaluation de l’effet des systèmes et pratiques agroécologiques sur les rendements de mil, maïs et d’arachide dans la zone de Médina Sabakh [texte imprimé] / Diasse, Ibrahima, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 43 p : : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Agroécologie, Engrais, Fertilité, sol, Rendement, Pratiques agroécologiques, Médina Sabkah, Sénégal Résumé : Les cultures hivernales d’arachide, de mil et de maïs représentent une importance capitale au Sénégal. Elles constituent en effet, la principale source alimentaire et de revenu des ménages ruraux. Cependant, la baisse de fertilité des sols, conjuguée aux effets de la variabilité climatique et de la cherté des intrants agricoles, constituent les contraintes majeures pour assurer la productivité durable des exploitations. Ainsi, des pratiques d’amendement organique sont utilisées à côté de l’épandage d’importantes quantités d’engrais chimiques dans un souci d’ « intensification». Mais, le constat aujourd’hui est que l’usage des engrais chimiques présente un effet dépressif sur les rendements et contribue à la pollution de l’environnement. Cette présente étude, entreprise par le projet RIAPER, vise à contribuer à la recherche d’alternatives à l’usage excessif d’engrais chimiques afin de maintenir durablement la fertilité des sols et d’améliorer la productivité des agrosystèmes. Concrètement, elle envisage de mesurer l’effet des pratiques agroécologiques sur les rendements d’arachide, de mil et de mais dans les terroirs villageois de Loyène et de Sagap, département de Nioro du Rip. Pour ce faire, quatre niveaux d’amendements (fumier, engrais biologique, engrais chimique et un témoin sans amendement) ont été étudiés sur trois types de sol (mil «sol dior» ; arachide «sol dior deck» ; maïs «sol deck dior»), constituant chacun un dispositif expérimental à blocs complets randomisés avec 3 répétitions. Les résultats montrent que sur « sol dior » et « dior deck », le fumier a présenté les meilleures hauteurs tiges (mil =168,05 cm et arachide =76,4 cm), les plus forts diamètres sur l’arachide (3,822 cm) et le mil (1,162 cm) et les meilleurs rendements d’arachide (3,266 T/ha) et de mil (0,957T/ha). En revanche, le NPK (3,125T/ha) a produit les meilleurs rendements sur sol « deck dior » avec le maïs. Par ailleurs, la parcelle témoin de maïs (3,125T/ha) a donné de bons rendements du fait son niveau de fertilité. So Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10891 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004009 a F012 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 004009 b F012 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation de l’efficacité de la gestion d’une aire marine protégée en zone de pêche artisanale : cas de l’aire marine protégée de Cayar / Région de Thiès, Sénégal / Sy, Mame Coumba
Titre : Évaluation de l’efficacité de la gestion d’une aire marine protégée en zone de pêche artisanale : cas de l’aire marine protégée de Cayar / Région de Thiès, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Sy, Mame Coumba, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2017 Importance : 45 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR, 2017] Langues : Français (fre) Mots-clés : Gestion durable Aire marine protégée Pêche artisanale Gestion des pêcheries Cayar Thiès Sénégal Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6496 Évaluation de l’efficacité de la gestion d’une aire marine protégée en zone de pêche artisanale : cas de l’aire marine protégée de Cayar / Région de Thiès, Sénégal [texte imprimé] / Sy, Mame Coumba, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2017 . - 45 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR, 2017]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Gestion durable Aire marine protégée Pêche artisanale Gestion des pêcheries Cayar Thiès Sénégal Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6496 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003619 F030 SYM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003619 b F030 SYM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate / Younousse Diédhiou
Titre : Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate Type de document : texte imprimé Auteurs : Younousse Diédhiou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés acides Recherche forestière Espèces locales Keur Mactar N’diaffate Acacia seyal Combretum glutinosum Acacia laeta Prosopis juliflora Sclerocarya birrea Faidherbia albida Cordyla pinnata Sterculia setigera Résumé : Au Sénégal la salinisation des sols a atteint des proportions inquiétantes. Ce processus de dégradation des sols est accentué par le déficit pluviométrique qui ne cesse de perdurer. Il se manifeste soit par la migration des sels par remontées capillaires de la solution du sol ou de la nappe salée peu profonde sous l’action de l’évaporation, soit par l’avancée de la langue salée, soit par l’accumulation des limons salés transportés par le vent. Elle a occasionné la perte d’importantes superficies cultivables. Ces dernières seraient estimées au Sénégal à environ 1.700 000 ha et touchent les zones les plus « agricoles » de notre pays. Il s’agit du Delta de la vallée du fleuve Sénégal (Zone des aménagements hydro agricoles), la Casamance (zone forestière et agricole), le Sine – Saloum (Bassin arachidier) et les Niayes (zone de production maraichère). Les conséquences sont multiples mais les principales sont : le recul des couvert végétal avec ses corollaires, la baisse des revenus des paysans, la pauvreté qui gagne progressivement les campagnes et mêmes les villes. L’unique recours des populations pour améliorer leurs revenus est l‘exploitation abusive des ressources forestières, ce qui anéanti tous les efforts de reboisement entrepris. Pour inverser cette tendance, la valorisation de ces terres marginales s’impose. Plusieurs techniques furent expérimentées aussi bien par les producteurs que par le service forestier. De ces techniques, le reboisement fut privilégié. Les plantations enregistrèrent de bons taux de reprise et suscitèrent beaucoup d’espoir. Cependant quelques années après, le taux de mortalité a considérablement augmenté et l’espoir s’estompait. Le service forestier vue la complicité du milieu et des échecs enregistrés s’appuie sur la recherche forestière pour la mise en valeur de ces milieux. Plusieurs sites furent expérimentés de 1966 à 1968 dont celui de Keur Mactar, N’diaffate. Cette station est constituée de deux milieux différents, le milieu à Acacia seyal couvrant une superficie de 46 hectares et celui à Combretum glutinosum avec une superficie de 8 hectares, soit un total de 54 hectares et abritant plus de 70 essences locales et exotiques testées de 1971 à 1984. Les meilleurs taux de survie sont enregistrés sur les bourrelets argilo – sableux avec Acacia laeta, les bordures des bas – fonds avec Prosopis juliflora, les milieux à Acacia seyal ont donné de bons résultats surtout des espèces comme Sclerocarya birrea aussi bien en rosette qu’en barbatelles et les acacia sauf Faidherbia albida qui a disparu après quelques années. Dans le milieu Combretum les Acacia introduits n’ont pas donné de bons résultats. Cependant des espèces comme Cordyla pinnata et Sterculia setigera ont donne les meilleurs taux de réussite (30 à 40%). La régénération naturelle est variée avec Acacia laeta plus abondant suivi Acacia seyal et de Combretum glutinosum. Pour la fréquence des espèces, Acacia seyal a obtenu le meilleur taux confirmant ainsi que ce premier site est un milieu à Acacia seyal. En dehors et sous couvert ligneux, la biomasse herbacée connait un développement important assurant ainsi une couverture au sol. C’est un résultat intéressant cependant avec la défectuosité de la clôture la station est devenue un lieu de pâture. Les résultats obtenus ont permis de disposer une gamme variée et diversifiée de plants susceptibles de se développer sur terre salée, pouvant contribuer à la satisfaction des besoins des populations en bois d’énergie d’une part et d’autre part de réduire la pression sur les ressources forestières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6713 Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate [texte imprimé] / Younousse Diédhiou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés acides Recherche forestière Espèces locales Keur Mactar N’diaffate Acacia seyal Combretum glutinosum Acacia laeta Prosopis juliflora Sclerocarya birrea Faidherbia albida Cordyla pinnata Sterculia setigera Résumé : Au Sénégal la salinisation des sols a atteint des proportions inquiétantes. Ce processus de dégradation des sols est accentué par le déficit pluviométrique qui ne cesse de perdurer. Il se manifeste soit par la migration des sels par remontées capillaires de la solution du sol ou de la nappe salée peu profonde sous l’action de l’évaporation, soit par l’avancée de la langue salée, soit par l’accumulation des limons salés transportés par le vent. Elle a occasionné la perte d’importantes superficies cultivables. Ces dernières seraient estimées au Sénégal à environ 1.700 000 ha et touchent les zones les plus « agricoles » de notre pays. Il s’agit du Delta de la vallée du fleuve Sénégal (Zone des aménagements hydro agricoles), la Casamance (zone forestière et agricole), le Sine – Saloum (Bassin arachidier) et les Niayes (zone de production maraichère). Les conséquences sont multiples mais les principales sont : le recul des couvert végétal avec ses corollaires, la baisse des revenus des paysans, la pauvreté qui gagne progressivement les campagnes et mêmes les villes. L’unique recours des populations pour améliorer leurs revenus est l‘exploitation abusive des ressources forestières, ce qui anéanti tous les efforts de reboisement entrepris. Pour inverser cette tendance, la valorisation de ces terres marginales s’impose. Plusieurs techniques furent expérimentées aussi bien par les producteurs que par le service forestier. De ces techniques, le reboisement fut privilégié. Les plantations enregistrèrent de bons taux de reprise et suscitèrent beaucoup d’espoir. Cependant quelques années après, le taux de mortalité a considérablement augmenté et l’espoir s’estompait. Le service forestier vue la complicité du milieu et des échecs enregistrés s’appuie sur la recherche forestière pour la mise en valeur de ces milieux. Plusieurs sites furent expérimentés de 1966 à 1968 dont celui de Keur Mactar, N’diaffate. Cette station est constituée de deux milieux différents, le milieu à Acacia seyal couvrant une superficie de 46 hectares et celui à Combretum glutinosum avec une superficie de 8 hectares, soit un total de 54 hectares et abritant plus de 70 essences locales et exotiques testées de 1971 à 1984. Les meilleurs taux de survie sont enregistrés sur les bourrelets argilo – sableux avec Acacia laeta, les bordures des bas – fonds avec Prosopis juliflora, les milieux à Acacia seyal ont donné de bons résultats surtout des espèces comme Sclerocarya birrea aussi bien en rosette qu’en barbatelles et les acacia sauf Faidherbia albida qui a disparu après quelques années. Dans le milieu Combretum les Acacia introduits n’ont pas donné de bons résultats. Cependant des espèces comme Cordyla pinnata et Sterculia setigera ont donne les meilleurs taux de réussite (30 à 40%). La régénération naturelle est variée avec Acacia laeta plus abondant suivi Acacia seyal et de Combretum glutinosum. Pour la fréquence des espèces, Acacia seyal a obtenu le meilleur taux confirmant ainsi que ce premier site est un milieu à Acacia seyal. En dehors et sous couvert ligneux, la biomasse herbacée connait un développement important assurant ainsi une couverture au sol. C’est un résultat intéressant cependant avec la défectuosité de la clôture la station est devenue un lieu de pâture. Les résultats obtenus ont permis de disposer une gamme variée et diversifiée de plants susceptibles de se développer sur terre salée, pouvant contribuer à la satisfaction des besoins des populations en bois d’énergie d’une part et d’autre part de réduire la pression sur les ressources forestières.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002953 F022 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible L’évaluation de l’état de la biodiversité végétale et du potentiel ligneux de la forêt de Sitaniaoulé sous aménagement participatif, après une période de rotation de huit (08) ans / Doumbouya, Serigne Abibou
Titre : L’évaluation de l’état de la biodiversité végétale et du potentiel ligneux de la forêt de Sitaniaoulé sous aménagement participatif, après une période de rotation de huit (08) ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Doumbouya, Serigne Abibou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2021 Importance : 26 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aménagement participatif, Biodiversité, Forêt, Potentiel ligneux, Sitaniaoulé Résumé : Les formations forestières du Sénégal sont confrontées à une dégradation dont les causes sont multiples, entrainant la récession de leur biodiversité ainsi que leur potentiel de production. C’est ainsi que l’État du Sénégal, dans le cadre de sa politique de décentralisation, encourage et renforce la participation et la responsabilisation des populations dans la gestion forestière, à travers l’aménagement forestier participatif, qui prône l’amélioration des revenus issus de la forêt et favorise l’émergence de nouvelles formes d’organisations socio-économiques, relativement bien structurées. C’est ainsi que nous nous sommes intéressé à l’évaluation de la biodiversité et du potentiel ligneux de la forêt communautaire de Sitaniaoulé, région de Tambacounda, mise sous un aménagement participatif depuis 2012. Pour réaliser ce travail, des enquêtes, suivis d’un inventaire forestier ont été effectués. La forêt de Sitaniaoulé occupe une superficie de 18 656 ha et découpée en 3 blocs d’aménagement. Chaque bloc est divisé en 8 parcelles. Les résultats ont montré qu’après 8 années de mise en œuvre de son plan d’aménagement, la forêt de Sitaniaoulé referme encore 19 espèces forestières contre 22 espèces recensées au début de la mise en œuvre du plan d’aménagement. L’espèce dominante est Combretum glutinosum. En ce qui concerne le potentiel ligneux, un volume de 1 187 232,075 m3 de bois soit 63,64 m3.ha-1 est disponible dans la forêt selon les résultats de l’inventaire contre 808 737 m3 soit 43,35 m3.ha-1 en 2012 coïncidant à la première année de mise en œuvre du plan d’aménagement de cette forêt. Cette potentialité biologique est valorisée par les populations locales à travers l’exploitation du bois énergie, du bois d’œuvre, mais aussi, plus directement, à travers l’alimentation et la pharmacopée traditionnelle.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10679 L’évaluation de l’état de la biodiversité végétale et du potentiel ligneux de la forêt de Sitaniaoulé sous aménagement participatif, après une période de rotation de huit (08) ans [texte imprimé] / Doumbouya, Serigne Abibou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 26 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aménagement participatif, Biodiversité, Forêt, Potentiel ligneux, Sitaniaoulé Résumé : Les formations forestières du Sénégal sont confrontées à une dégradation dont les causes sont multiples, entrainant la récession de leur biodiversité ainsi que leur potentiel de production. C’est ainsi que l’État du Sénégal, dans le cadre de sa politique de décentralisation, encourage et renforce la participation et la responsabilisation des populations dans la gestion forestière, à travers l’aménagement forestier participatif, qui prône l’amélioration des revenus issus de la forêt et favorise l’émergence de nouvelles formes d’organisations socio-économiques, relativement bien structurées. C’est ainsi que nous nous sommes intéressé à l’évaluation de la biodiversité et du potentiel ligneux de la forêt communautaire de Sitaniaoulé, région de Tambacounda, mise sous un aménagement participatif depuis 2012. Pour réaliser ce travail, des enquêtes, suivis d’un inventaire forestier ont été effectués. La forêt de Sitaniaoulé occupe une superficie de 18 656 ha et découpée en 3 blocs d’aménagement. Chaque bloc est divisé en 8 parcelles. Les résultats ont montré qu’après 8 années de mise en œuvre de son plan d’aménagement, la forêt de Sitaniaoulé referme encore 19 espèces forestières contre 22 espèces recensées au début de la mise en œuvre du plan d’aménagement. L’espèce dominante est Combretum glutinosum. En ce qui concerne le potentiel ligneux, un volume de 1 187 232,075 m3 de bois soit 63,64 m3.ha-1 est disponible dans la forêt selon les résultats de l’inventaire contre 808 737 m3 soit 43,35 m3.ha-1 en 2012 coïncidant à la première année de mise en œuvre du plan d’aménagement de cette forêt. Cette potentialité biologique est valorisée par les populations locales à travers l’exploitation du bois énergie, du bois d’œuvre, mais aussi, plus directement, à travers l’alimentation et la pharmacopée traditionnelle.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10679 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003917 a F030 DOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003917 b F030 DOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation de l’exploitation des oiseaux d’eau dans le delta du fleuve Sénégal / Pathé Baldé
Titre : Evaluation de l’exploitation des oiseaux d’eau dans le delta du fleuve Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pathé Baldé, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2004 Importance : 53 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2004 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Oiseaux d’eau Avifaune Zone amodiée Braconnage Impact écologique Migrateur paléactiques Habitat Delta du fleuve Sénégal Faune biodiversite Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7641 Evaluation de l’exploitation des oiseaux d’eau dans le delta du fleuve Sénégal [texte imprimé] / Pathé Baldé, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2004 . - 53 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2004 ]
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002497 F009 BAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation et gestion des ressources forestières urbaines dans la Commune de Diourbel : Opportunités et Contraintes / Ndoumbé Ndiaye
Titre : Évaluation et gestion des ressources forestières urbaines dans la Commune de Diourbel : Opportunités et Contraintes Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndoumbé Ndiaye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Foresterie urbaine Zones vertes Ressources forestières Diourbel Résumé : L’évaluation de la présence d’arbres et l’identification des écueils qui entravent le développement de la foresterie urbaine sont des actions prioritaires pour l’amélioration de la qualité environnementale urbaine. Avec l’accroissement démographique noté ces dernières années dans les zones urbaines, le couvert arboré ne cesse de régresser. La présente étude est réalisée dans la commune de Diourbel dans le but de faire la situation sur l’état du couvert arboré, déterminer la perception des populations sur l’utilité des arbres et les différentes contraintes liées à leur développement. L’approche méthodologique adoptée s’appuie sur une recherche documentaire et une collecte de données quantitatives et qualitatives au niveau des concessions, des services techniques et des acteurs de développement. L’enquête menée dans 93 concessions dans le périmètre communal a permis de faire l’état des lieux de la ressource. Il ressort des résultats de l’enquête que parmi les différents rôles que jouent les arbres, les populations de Diourbel placent l’aspect ombrage au premier niveau. La présence des arbres dans les concessions est liée au statut du résident ; l’étude a montré que le nombre d’arbres est plus important chez les propriétaires qu’au niveau des locataires. Et cela concerne plus les espèces forestières c’est-à-dire se sont ces espèces qui dominent. Par ailleurs bien que la plantation des arbres s’effectue ces dernières années, cette activité rencontre plusieurs écueils comme le problème de l’eau et la divagation des animaux. La participation des différents acteurs qui interviennent dans la gestion des ressources forestières reste encore très faible.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10282 Évaluation et gestion des ressources forestières urbaines dans la Commune de Diourbel : Opportunités et Contraintes [texte imprimé] / Ndoumbé Ndiaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Foresterie urbaine Zones vertes Ressources forestières Diourbel Résumé : L’évaluation de la présence d’arbres et l’identification des écueils qui entravent le développement de la foresterie urbaine sont des actions prioritaires pour l’amélioration de la qualité environnementale urbaine. Avec l’accroissement démographique noté ces dernières années dans les zones urbaines, le couvert arboré ne cesse de régresser. La présente étude est réalisée dans la commune de Diourbel dans le but de faire la situation sur l’état du couvert arboré, déterminer la perception des populations sur l’utilité des arbres et les différentes contraintes liées à leur développement. L’approche méthodologique adoptée s’appuie sur une recherche documentaire et une collecte de données quantitatives et qualitatives au niveau des concessions, des services techniques et des acteurs de développement. L’enquête menée dans 93 concessions dans le périmètre communal a permis de faire l’état des lieux de la ressource. Il ressort des résultats de l’enquête que parmi les différents rôles que jouent les arbres, les populations de Diourbel placent l’aspect ombrage au premier niveau. La présence des arbres dans les concessions est liée au statut du résident ; l’étude a montré que le nombre d’arbres est plus important chez les propriétaires qu’au niveau des locataires. Et cela concerne plus les espèces forestières c’est-à-dire se sont ces espèces qui dominent. Par ailleurs bien que la plantation des arbres s’effectue ces dernières années, cette activité rencontre plusieurs écueils comme le problème de l’eau et la divagation des animaux. La participation des différents acteurs qui interviennent dans la gestion des ressources forestières reste encore très faible.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10282 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003833 a F033 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003833 b F033 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation d’impacts socio-économique et écologique de l’aménagement forestier participatif de la forêt classée des Kalounayes dans la Commune de Coubalan / Sambou, Germain
Titre : Évaluation d’impacts socio-économique et écologique de l’aménagement forestier participatif de la forêt classée des Kalounayes dans la Commune de Coubalan Type de document : texte imprimé Auteurs : Sambou, Germain, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 40 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aménagement participatif Aménagement forestier Impacts socio-économiques Impacts écologiques Forêt classée Kalounayes Coubalan Résumé : Depuis les années 1990, la politique forestière du Sénégal s’inscrit dans une responsabilisation pleine et entière des populations et des collectivités locales dans le domaine de la gestion participative des ressources naturelles.Pour se conformer à cette démarche, le Sénégal s’est engagé dans une politique de décentralisation visant à responsabiliser les populations dans la gestion des affaires locales. La loi 96/07 du 22 mars 1996 portant transfert d’un premier lot de neuf (09) compétences aux collectivités locales que sont la région, la commune et la communauté rurale. Parmi les compétences transférées, figure « l’environnement et la gestion des ressources naturelles (GRN) ».Ainsi cette vision de la politique forestière, d’ici l’an 2025, se présente comme suit, contribuer à la réduction de la pauvreté grâce à la conservation et à la gestion durable du potentiel forestier et de la biodiversité, au maintien des équilibres socio-écologiques en vue de satisfaire les besoins des populations en produits ligneux et non ligneux à travers, notamment, la mise en œuvre cohérente de la politique de régionalisation/décentralisation. Pour atteindre cette vision, un certain nombre d’axes stratégiques ont été mis en place comme, l’aménagement et la gestion rationnelle des ressources forestières et fauniques. La FCK, bien qu’étant un patrimoine classésa gestion durable reste sous la coresponsabilitédes quatre Communesde Ouonck, Niamone, Tenghory et Coubalan, par un PAG. Notre étude tente de montrer qu’une gestion effective des forêts classées aménagées nécessite d’être confortée par des réformes institutionnelles qui favorisent le partage équitable des bénéfices qui en découlent et l’implication des parties prenantes dans les prises de décision dans toutes les phases de sa mise en œuvre. Pour cela, plusieurs activités ont été menées et qui ont consisté à faire une recherche bibliographique, une visite de prospection, des entretiens semi directs préétablis à l’aide de fiches, des rencontres par groupeet une restitution et analyse des résultats.L’étude sur l’évaluation d’impacts socioéconomique et écologiquede l’aménagement forestier de la forêt classée des Kalounayes, montre que la dynamique organisationnelle pour la mise en œuvre de la gestion à des défis à relever ; l’ implication des populations dans l’aménagement reste largement très faible ; les effets de cette forme de gestion sur les facteurs socio-économique et sur les ressources forestières n’étaient pas significatifs pour assurer à la fois une conservation durable des ressources forestières et un développement local. Pour ces raisons, le service forestier doit appuyer les populations concernées pour les aider à mieux s’outiller à gérer elles-mêmes et durablement les ressources forestières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6593 Évaluation d’impacts socio-économique et écologique de l’aménagement forestier participatif de la forêt classée des Kalounayes dans la Commune de Coubalan [texte imprimé] / Sambou, Germain, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 40 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aménagement participatif Aménagement forestier Impacts socio-économiques Impacts écologiques Forêt classée Kalounayes Coubalan Résumé : Depuis les années 1990, la politique forestière du Sénégal s’inscrit dans une responsabilisation pleine et entière des populations et des collectivités locales dans le domaine de la gestion participative des ressources naturelles.Pour se conformer à cette démarche, le Sénégal s’est engagé dans une politique de décentralisation visant à responsabiliser les populations dans la gestion des affaires locales. La loi 96/07 du 22 mars 1996 portant transfert d’un premier lot de neuf (09) compétences aux collectivités locales que sont la région, la commune et la communauté rurale. Parmi les compétences transférées, figure « l’environnement et la gestion des ressources naturelles (GRN) ».Ainsi cette vision de la politique forestière, d’ici l’an 2025, se présente comme suit, contribuer à la réduction de la pauvreté grâce à la conservation et à la gestion durable du potentiel forestier et de la biodiversité, au maintien des équilibres socio-écologiques en vue de satisfaire les besoins des populations en produits ligneux et non ligneux à travers, notamment, la mise en œuvre cohérente de la politique de régionalisation/décentralisation. Pour atteindre cette vision, un certain nombre d’axes stratégiques ont été mis en place comme, l’aménagement et la gestion rationnelle des ressources forestières et fauniques. La FCK, bien qu’étant un patrimoine classésa gestion durable reste sous la coresponsabilitédes quatre Communesde Ouonck, Niamone, Tenghory et Coubalan, par un PAG. Notre étude tente de montrer qu’une gestion effective des forêts classées aménagées nécessite d’être confortée par des réformes institutionnelles qui favorisent le partage équitable des bénéfices qui en découlent et l’implication des parties prenantes dans les prises de décision dans toutes les phases de sa mise en œuvre. Pour cela, plusieurs activités ont été menées et qui ont consisté à faire une recherche bibliographique, une visite de prospection, des entretiens semi directs préétablis à l’aide de fiches, des rencontres par groupeet une restitution et analyse des résultats.L’étude sur l’évaluation d’impacts socioéconomique et écologiquede l’aménagement forestier de la forêt classée des Kalounayes, montre que la dynamique organisationnelle pour la mise en œuvre de la gestion à des défis à relever ; l’ implication des populations dans l’aménagement reste largement très faible ; les effets de cette forme de gestion sur les facteurs socio-économique et sur les ressources forestières n’étaient pas significatifs pour assurer à la fois une conservation durable des ressources forestières et un développement local. Pour ces raisons, le service forestier doit appuyer les populations concernées pour les aider à mieux s’outiller à gérer elles-mêmes et durablement les ressources forestières.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003663 F004 SAM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003663 b F004 SAM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement forestier participatif de la forêt aménagée de Maka Yop dans le département de Koungheul (Sénégal) de 2016 à 2020 / BA, Sidy
Titre : Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement forestier participatif de la forêt aménagée de Maka Yop dans le département de Koungheul (Sénégal) de 2016 à 2020 Type de document : texte imprimé Auteurs : BA, Sidy, Auteur Editeur : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022 Année de publication : 2022 Importance : 35 p Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aménagement participatif, Evaluation socio-économique, Mise en œuvre, Aménagement forestier, Forêt, Maka Yop, Koungheul Résumé : La demande croissante du charbon de bois par les ménages, surtout urbains, fait de l’exploitation de ce produit une activité lucrative participant à la lutte contre la pauvreté en milieu rural. Pour pérenniser les ressources forestières, le service des eaux et forêts a mis en place le processus de rationalisation de l’exploitation forestière avec l’appui du PROGEDE2. Ce dernier s’appuie sur le processus de décentralisation avec le transfert de compétences aux collectivités territoriales. Dans cette étude, il s’agit d’évaluer l’impact de l’aménagement participatif de la forêt de Maka Yop sur le plan socio-économique. La démarche adoptée combine la collecte de données primaires au travers d’enquêtes, d’entretiens et d’observations sur le terrain et la collecte des données secondaires dans la recherche documentaire. En outre, le pan d’aménagement forestier (PAF) de Maka Yop promeut les producteurs locaux (PL). Ces derniers sont constitués par les populations riveraines des forêts. Ainsi, entre 2016 et 2020, le comité inter-villageois de gestion de la forêt (CIVGF) a généré 17 725 200 FCFA dont 8 862 600 FCFA dans le compte des collectivités territoriales hormis les recettes émanant des contentieux à l’aide du PAF. Aussi, les bénéfices tirés par producteur varient entre 270 268 FCFA et 458 696 FCFA par campagne. Ces revenus permettent aux populations d’acquérir des intrants pour préparer l’hivernage mais aussi faire face à la période de soudure. Toutefois, les feux de brousse, la carbonisation, l’expansion du front agricole constituent les limites à la pérennisation du PAF. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10887 Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement forestier participatif de la forêt aménagée de Maka Yop dans le département de Koungheul (Sénégal) de 2016 à 2020 [texte imprimé] / BA, Sidy, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 35 p : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forêts : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aménagement participatif, Evaluation socio-économique, Mise en œuvre, Aménagement forestier, Forêt, Maka Yop, Koungheul Résumé : La demande croissante du charbon de bois par les ménages, surtout urbains, fait de l’exploitation de ce produit une activité lucrative participant à la lutte contre la pauvreté en milieu rural. Pour pérenniser les ressources forestières, le service des eaux et forêts a mis en place le processus de rationalisation de l’exploitation forestière avec l’appui du PROGEDE2. Ce dernier s’appuie sur le processus de décentralisation avec le transfert de compétences aux collectivités territoriales. Dans cette étude, il s’agit d’évaluer l’impact de l’aménagement participatif de la forêt de Maka Yop sur le plan socio-économique. La démarche adoptée combine la collecte de données primaires au travers d’enquêtes, d’entretiens et d’observations sur le terrain et la collecte des données secondaires dans la recherche documentaire. En outre, le pan d’aménagement forestier (PAF) de Maka Yop promeut les producteurs locaux (PL). Ces derniers sont constitués par les populations riveraines des forêts. Ainsi, entre 2016 et 2020, le comité inter-villageois de gestion de la forêt (CIVGF) a généré 17 725 200 FCFA dont 8 862 600 FCFA dans le compte des collectivités territoriales hormis les recettes émanant des contentieux à l’aide du PAF. Aussi, les bénéfices tirés par producteur varient entre 270 268 FCFA et 458 696 FCFA par campagne. Ces revenus permettent aux populations d’acquérir des intrants pour préparer l’hivernage mais aussi faire face à la période de soudure. Toutefois, les feux de brousse, la carbonisation, l’expansion du front agricole constituent les limites à la pérennisation du PAF. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10887 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004005 a F004 BAS Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 004005 b F004 BAS Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement des forêts de Koar, Nettéboulou et Paniates sur le développement des communes de 2014 à 2017 / Diaw, Matar
Titre : Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement des forêts de Koar, Nettéboulou et Paniates sur le développement des communes de 2014 à 2017 Type de document : texte imprimé Auteurs : Diaw, Matar, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aménagement Forêt Évaluation Impacts socio-économiques Mise en œuvre Koar Nettéboulou Paniates Résumé : Au Sénégal, environ 80% de la population utilise de la biomasse pour cuisiner. Pour une meilleure préservation des ressources forestières, le Gouvernement a mis en place le processus de rationalisation de l’exploitation forestière tout en préservant les écosystèmes. C’est ainsi que les aménagements ont été initiés par le Gouvernement avec l’appui de la Banque Mondiale et de l’USAID dans les régions de Tambacounda et de Kolda. Ce processus de rationalisation est sous-tendu par le processus de décentralisation avec le transfert de compétences aux Collectivités territoriales, pour une prise en charge des aménagements forestiers. C’est dans ce cadre que cette étude a été réalisée, sur la base d’enquêtes, pour évaluer les impacts socio-économiques de l’aménagement dans les forêts de Koar, Nettéboulou et Paniates. Toutefois pour atteindre ce but, une approche méthodologique a été adoptée, il s’agit de la recherche documentaire, des enquêtes et des entretiens. Pour les 45 villages enquêtés, 90 exploitants sont interrogés, les producteurs sont organisés localement, les membres du Bureau Exécutif des Organisation communautaires de Base sont formés en gestion administrative et financière et 1 634 exploitants ont reçu la formation en techniques de coupe et de carbonisation. Les résultats ont révélé que les bénéfices tirés par exploitant du charbon de bois varient entre 142 500 FCFA et 3 212 500 FCFA/an et 3 790 875 FCFA proviennent des PFNL pour l’ensemble du massif de Koar ; A Nettéboulou le gain se situe entre 191 145 FCFA et 436 406 FCFA/an/producteur ; à Paniates les producteurs tirent une somme qui varie entre 187 362 FCFA et 3 382 500 FCFA/an/producteur et la contribution des PFNL s’élève à 3 032 450 FCFA. Ces revenus ont permis à ces villageois de mener une vie décente. Cependant de nombreuses contraintes comme le retard de l’ouverture de la Campagne d’Exploitation Forestière et la diminution du nombre de permis d’exploitation s’opposent à la mise en œuvre effective de l’aménagement.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6602 Evaluation des impacts socio-économiques de l’aménagement des forêts de Koar, Nettéboulou et Paniates sur le développement des communes de 2014 à 2017 [texte imprimé] / Diaw, Matar, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aménagement Forêt Évaluation Impacts socio-économiques Mise en œuvre Koar Nettéboulou Paniates Résumé : Au Sénégal, environ 80% de la population utilise de la biomasse pour cuisiner. Pour une meilleure préservation des ressources forestières, le Gouvernement a mis en place le processus de rationalisation de l’exploitation forestière tout en préservant les écosystèmes. C’est ainsi que les aménagements ont été initiés par le Gouvernement avec l’appui de la Banque Mondiale et de l’USAID dans les régions de Tambacounda et de Kolda. Ce processus de rationalisation est sous-tendu par le processus de décentralisation avec le transfert de compétences aux Collectivités territoriales, pour une prise en charge des aménagements forestiers. C’est dans ce cadre que cette étude a été réalisée, sur la base d’enquêtes, pour évaluer les impacts socio-économiques de l’aménagement dans les forêts de Koar, Nettéboulou et Paniates. Toutefois pour atteindre ce but, une approche méthodologique a été adoptée, il s’agit de la recherche documentaire, des enquêtes et des entretiens. Pour les 45 villages enquêtés, 90 exploitants sont interrogés, les producteurs sont organisés localement, les membres du Bureau Exécutif des Organisation communautaires de Base sont formés en gestion administrative et financière et 1 634 exploitants ont reçu la formation en techniques de coupe et de carbonisation. Les résultats ont révélé que les bénéfices tirés par exploitant du charbon de bois varient entre 142 500 FCFA et 3 212 500 FCFA/an et 3 790 875 FCFA proviennent des PFNL pour l’ensemble du massif de Koar ; A Nettéboulou le gain se situe entre 191 145 FCFA et 436 406 FCFA/an/producteur ; à Paniates les producteurs tirent une somme qui varie entre 187 362 FCFA et 3 382 500 FCFA/an/producteur et la contribution des PFNL s’élève à 3 032 450 FCFA. Ces revenus ont permis à ces villageois de mener une vie décente. Cependant de nombreuses contraintes comme le retard de l’ouverture de la Campagne d’Exploitation Forestière et la diminution du nombre de permis d’exploitation s’opposent à la mise en œuvre effective de l’aménagement.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6602 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003672 F004 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003672 b F004 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des performances agronomiques de onze (11) variétés de pomme de terre (Solanum tuberosum L) dans les conditions agropédoclimatiques de Bambey, Sénégal / Souaré, Bakary
Titre : Evaluation des performances agronomiques de onze (11) variétés de pomme de terre (Solanum tuberosum L) dans les conditions agropédoclimatiques de Bambey, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Souaré, Bakary, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2022 Importance : 53 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém.de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Agriculture : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pomme de terre, Variétés, Performances agronomiques, Diversification, Zones de production, Bambey. Résumé : La pomme, principale denrée alimentaire non céréalière du monde est classée comme étant la quatrième culture la plus importante dans le monde après le riz, le maïs et le blé. Au les besoins de consommation sont de l’ordre de 95 000 tonnes par an. Cette denrée alimentaire que l’on retrouve dans de la préparation de nombreux plats locaux, est le deuxième produit horticole du pays. Cependant, la culture de la pomme de terre est confrontée à de nombreuses contraintes allant des maladies jusqu’à la dégénérescence des variétés. Certaines variétés sont très sensibles aux maladies fongiques et bactériennes qui provoquent d’énormes pertes post-récoltes. Également l’inadaptation des variétés provoquées par les effets du changement climatique reste une contrainte majeure pour les producteurs qui ont un choix très limité par rapport à la gamme variétale proposée. Pour faire face à ce défi l’ISRA (Institut Sénégalaise Recherche Agricole), à travers le nouveau projet d’Intensification Eco-soutenable de l’Agriculture dans les Niayes (PIESAN), tente d’introduire de nouvelles variétés de pomme de terre dans les différentes zones agroécologiques du Sénégal avec comme finalité, le renforcement de la gamme de variétés performantes et la diversification des zones de production. C’est dans ce cadre que cette étude a été menée pour évaluer les performances et le comportement de onze (11) variétés de pomme de terre dans les conditions agropédoclimatiques de Bambey. A partir d’un dispositif expérimental en blocs aléatoires complets ou blocs de Fischer avec onze (11) traitements et quatre (4) répétitions, les paramètres physiologiques et les paramètres liés à la croissance des plantes, ont été évalués, de même que les composantes de rendements et la sensibilité des variétés. Les résultats obtenus de cette étude montrent que l’ensemble des variétés testées sont sensibles au mildiou, à l’alternariose et au rhizoctonia. Ces pathogènes ont été probablement catalysés par la température du site au moment de l’essai. Trois d’entre elles présentent un rendement supérieur à celui du témoin local (SAHEL) qui est de 2,23 t/ha. Il s’agit des variétés DAIFLA (9,39 t/ha), SIFRA (7,82 t/ha) et NAIMA (7,22 t/ha). Les autres variétés ont eu des rendements inférieurs à celui du témoin. De ces résultats, nous pouvons dire que les potentiels des variétés élites peuvent permettre de diversifier les zones de production, de la zone des Niayes au Bassin arachidier. Cependant, il serait intéressant de vérifier ces résultats dans des conditions expérimentales plus optimales et d’étudier leurs valeurs technologique et environnementale jusqu'à l’inscription des élites au catalogue national. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10876 Evaluation des performances agronomiques de onze (11) variétés de pomme de terre (Solanum tuberosum L) dans les conditions agropédoclimatiques de Bambey, Sénégal [texte imprimé] / Souaré, Bakary, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 53 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém.de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Agriculture : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pomme de terre, Variétés, Performances agronomiques, Diversification, Zones de production, Bambey. Résumé : La pomme, principale denrée alimentaire non céréalière du monde est classée comme étant la quatrième culture la plus importante dans le monde après le riz, le maïs et le blé. Au les besoins de consommation sont de l’ordre de 95 000 tonnes par an. Cette denrée alimentaire que l’on retrouve dans de la préparation de nombreux plats locaux, est le deuxième produit horticole du pays. Cependant, la culture de la pomme de terre est confrontée à de nombreuses contraintes allant des maladies jusqu’à la dégénérescence des variétés. Certaines variétés sont très sensibles aux maladies fongiques et bactériennes qui provoquent d’énormes pertes post-récoltes. Également l’inadaptation des variétés provoquées par les effets du changement climatique reste une contrainte majeure pour les producteurs qui ont un choix très limité par rapport à la gamme variétale proposée. Pour faire face à ce défi l’ISRA (Institut Sénégalaise Recherche Agricole), à travers le nouveau projet d’Intensification Eco-soutenable de l’Agriculture dans les Niayes (PIESAN), tente d’introduire de nouvelles variétés de pomme de terre dans les différentes zones agroécologiques du Sénégal avec comme finalité, le renforcement de la gamme de variétés performantes et la diversification des zones de production. C’est dans ce cadre que cette étude a été menée pour évaluer les performances et le comportement de onze (11) variétés de pomme de terre dans les conditions agropédoclimatiques de Bambey. A partir d’un dispositif expérimental en blocs aléatoires complets ou blocs de Fischer avec onze (11) traitements et quatre (4) répétitions, les paramètres physiologiques et les paramètres liés à la croissance des plantes, ont été évalués, de même que les composantes de rendements et la sensibilité des variétés. Les résultats obtenus de cette étude montrent que l’ensemble des variétés testées sont sensibles au mildiou, à l’alternariose et au rhizoctonia. Ces pathogènes ont été probablement catalysés par la température du site au moment de l’essai. Trois d’entre elles présentent un rendement supérieur à celui du témoin local (SAHEL) qui est de 2,23 t/ha. Il s’agit des variétés DAIFLA (9,39 t/ha), SIFRA (7,82 t/ha) et NAIMA (7,22 t/ha). Les autres variétés ont eu des rendements inférieurs à celui du témoin. De ces résultats, nous pouvons dire que les potentiels des variétés élites peuvent permettre de diversifier les zones de production, de la zone des Niayes au Bassin arachidier. Cependant, il serait intéressant de vérifier ces résultats dans des conditions expérimentales plus optimales et d’étudier leurs valeurs technologique et environnementale jusqu'à l’inscription des élites au catalogue national. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10876 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004063 a A011 SOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 004063 b A011 SOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack / Mouhamed Sarr
Titre : Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack Type de document : texte imprimé Auteurs : Mouhamed Sarr, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés Sols acides Tamarix aphylla (L.) Densité de plantation Croissance Régénération Salinisation Ndiafatte Kaolack Résumé : La salinisation croissante des terres constatée dans le bassin du Sine Saloum depuis des années, a pris une ampleur qui dépasse de loin les capacités actuelles de récupération et de valorisation de ces terres par les populations. Face à ce constat l’ISRA et l’Africare avec l’appui financier du CRDI ont mis en œuvre un Projet de Restauration Agronomique des Sols salés dans la région de Kaolack depuis 1998. Une espèce ligneuse exotique a été introduite dans le dispositif expérimental de ce projet, en milieu réel, pour servir principalement de pompe biologique dans le cadre d’une lutte biomécanique contre la salinisation des sols. Le dispositif expérimental est en blocs complet randomisés avec trois traitements, un témoin et cinq répétitions. Les traitements sont les trois niveaux de densité de plantation (3 x 4 m, 4 x 4 m et 4 x 5 m). Dix ans plus tard, il est important de faire le point sur le comportement de l’espèce et ses effets sur la salinité et l’acidité de ces sols. Un inventaire systématique des individus plantés a été conduit. Les variables suivies sont le diamètre, la hauteur, le nombre de tiges, la salinité et l’acidité des parcelles expérimentales. Les mesures ont été faites dans trois sites de la région de Kaolack : Khalambass, Kahone et Ndiaffate. L’analyse des données montre que la densité de plantation a des effets directs sur la croissance de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. et indirects sur la salinité et l’acidité des sols. Le traitement qui semble donner les meilleurs résultats en termes de réussite, de croissance et de lutte contre l’acidité et la salinité est le traitement 4 x 5 m. Une différence significative a été notée entre les traitements sur la croissance en hauteur et en diamètre et sur la régénération en générale. Cette croissance en milieu salé est de loin moins importante que celle observée en milieu non salé (Khalambass), 4 fois plus élevée. Une mesure des paramètres chimiques semble nécessaire à la fin de la saison sèche pour évaluer l’amplitude de leurs variations saisonnières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6778 Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack [texte imprimé] / Mouhamed Sarr, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés Sols acides Tamarix aphylla (L.) Densité de plantation Croissance Régénération Salinisation Ndiafatte Kaolack Résumé : La salinisation croissante des terres constatée dans le bassin du Sine Saloum depuis des années, a pris une ampleur qui dépasse de loin les capacités actuelles de récupération et de valorisation de ces terres par les populations. Face à ce constat l’ISRA et l’Africare avec l’appui financier du CRDI ont mis en œuvre un Projet de Restauration Agronomique des Sols salés dans la région de Kaolack depuis 1998. Une espèce ligneuse exotique a été introduite dans le dispositif expérimental de ce projet, en milieu réel, pour servir principalement de pompe biologique dans le cadre d’une lutte biomécanique contre la salinisation des sols. Le dispositif expérimental est en blocs complet randomisés avec trois traitements, un témoin et cinq répétitions. Les traitements sont les trois niveaux de densité de plantation (3 x 4 m, 4 x 4 m et 4 x 5 m). Dix ans plus tard, il est important de faire le point sur le comportement de l’espèce et ses effets sur la salinité et l’acidité de ces sols. Un inventaire systématique des individus plantés a été conduit. Les variables suivies sont le diamètre, la hauteur, le nombre de tiges, la salinité et l’acidité des parcelles expérimentales. Les mesures ont été faites dans trois sites de la région de Kaolack : Khalambass, Kahone et Ndiaffate. L’analyse des données montre que la densité de plantation a des effets directs sur la croissance de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. et indirects sur la salinité et l’acidité des sols. Le traitement qui semble donner les meilleurs résultats en termes de réussite, de croissance et de lutte contre l’acidité et la salinité est le traitement 4 x 5 m. Une différence significative a été notée entre les traitements sur la croissance en hauteur et en diamètre et sur la régénération en générale. Cette croissance en milieu salé est de loin moins importante que celle observée en milieu non salé (Khalambass), 4 fois plus élevée. Une mesure des paramètres chimiques semble nécessaire à la fin de la saison sèche pour évaluer l’amplitude de leurs variations saisonnières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6778 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002911 F022 SAR Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation du plan d’aménagement de 2015 de la forêt classée de Dankou : focus sur l’exploitation du charbon de bois (Kaffrine, Sénégal) / Ngagne Fall
Titre : Évaluation du plan d’aménagement de 2015 de la forêt classée de Dankou : focus sur l’exploitation du charbon de bois (Kaffrine, Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ngagne Fall, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2021 Importance : 30 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021] Langues : Français (fre) Mots-clés : Plan d'aménagement, Déforestation, Charbon de bois, Ressources forestières, Inventaire, Placette, Aménagement, Forêt, Exploitation forestière, Dankou, Kaffrine Résumé : Au Sénégal, la déforestation augmente de plus en plus, il serait donc important de réaliser une évaluation de la ressource forestière (superficie et potentiel). Nos travaux ont constitués à est évaluer l'exploitation du charbon de bois dans le plan de développement 2015 du Dankou FC. La méthodologie adoptée est un inventaire forestier aléatoire. Ainsi cinquante (50) carrés circulaires ont été inventoriés pour quantifier le potentiel ligneux et un transect a été réalisé pour évaluer l'état de dégradation et les causes. La forêt aménagée de Dankou est soumise à des empiètements répétés. En effet, il y a un village avec des commodités qui s'est installé dans la forêt ces dernières années. Le surpâturage, l'extraction frauduleuse de charbon de bois et les feux de brousse sont les principaux facteurs qui dégradent cette formation forestière. Les inventaires des essences candidates au développement du charbon de bois ont trouvé une légère baisse de potentiel dans certaines parcelles en l'an 7. En particulier, les parcelles 7.2 et 7.3 qui comptent actuellement 382 m3 et 568 m3 de bois énergie contre 579 m3 et 728 m3 en 2015 plan de développement. Alors que dans les deux autres blocs de la même année, moins impactés par les facteurs dégradants, le potentiel est clairement en augmentation. Les parcelles de l'an 8 suivent également la même dynamique. Les faibles densités constatées dans certaines parcelles sont dues à la forte présence du bétail en pâturage de régénérations naturelles, il y a aussi des feux de brousse. Compte tenu de tous ces résultats, la forêt aménagée de Dankou est très menacée par tous ces facteurs mentionnés en plus. Cependant, les résultats de nos travaux attestent que le plan d'aménagement continue de soutenir l'exploitation du charbon de bois, cependant des solutions doivent être trouvées pour préserver davantage cette formation forestière.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10680 Évaluation du plan d’aménagement de 2015 de la forêt classée de Dankou : focus sur l’exploitation du charbon de bois (Kaffrine, Sénégal) [texte imprimé] / Ngagne Fall, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2021 . - 30 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 2021]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plan d'aménagement, Déforestation, Charbon de bois, Ressources forestières, Inventaire, Placette, Aménagement, Forêt, Exploitation forestière, Dankou, Kaffrine Résumé : Au Sénégal, la déforestation augmente de plus en plus, il serait donc important de réaliser une évaluation de la ressource forestière (superficie et potentiel). Nos travaux ont constitués à est évaluer l'exploitation du charbon de bois dans le plan de développement 2015 du Dankou FC. La méthodologie adoptée est un inventaire forestier aléatoire. Ainsi cinquante (50) carrés circulaires ont été inventoriés pour quantifier le potentiel ligneux et un transect a été réalisé pour évaluer l'état de dégradation et les causes. La forêt aménagée de Dankou est soumise à des empiètements répétés. En effet, il y a un village avec des commodités qui s'est installé dans la forêt ces dernières années. Le surpâturage, l'extraction frauduleuse de charbon de bois et les feux de brousse sont les principaux facteurs qui dégradent cette formation forestière. Les inventaires des essences candidates au développement du charbon de bois ont trouvé une légère baisse de potentiel dans certaines parcelles en l'an 7. En particulier, les parcelles 7.2 et 7.3 qui comptent actuellement 382 m3 et 568 m3 de bois énergie contre 579 m3 et 728 m3 en 2015 plan de développement. Alors que dans les deux autres blocs de la même année, moins impactés par les facteurs dégradants, le potentiel est clairement en augmentation. Les parcelles de l'an 8 suivent également la même dynamique. Les faibles densités constatées dans certaines parcelles sont dues à la forte présence du bétail en pâturage de régénérations naturelles, il y a aussi des feux de brousse. Compte tenu de tous ces résultats, la forêt aménagée de Dankou est très menacée par tous ces facteurs mentionnés en plus. Cependant, les résultats de nos travaux attestent que le plan d'aménagement continue de soutenir l'exploitation du charbon de bois, cependant des solutions doivent être trouvées pour préserver davantage cette formation forestière.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10680 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003918 a F004 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003918 b F004 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation du plan de préservation et d’interprétation de la Réserve Naturelle Communautaire du Boundou (Espace Naturel Sensible Isérois). / Diop, Maniang Mamadoune
Titre : Évaluation du plan de préservation et d’interprétation de la Réserve Naturelle Communautaire du Boundou (Espace Naturel Sensible Isérois). Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Maniang Mamadoune, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 44 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Réserve naturelle, Biodiversité, Plan de préservation, Aire protégée, Espace naturel sensible, Développement durable Résumé : La réserve naturelle communautaire du Boundou a été créée en 2009 dans le cadre de la coopération décentralisée entre le Conseil Général de l’Isère et le Conseil Régional de Tambacounda. Elle couvre une superficie de 120 000 hectares comprenant plusieurs zones humides d’intérêt majeur et est labélisée « espace naturel sensible » grâce à la coopération décentralisée. Ainsi, un plan de préservation et d’interprétation de la Réserve Naturelle Communautaire pour la période 2009-2015 a été rédigé dans le but de préserver la biodiversité et de promouvoir le développement durable des activités des populations des villages périphériques de l’aire protégée. L’objectif de ce travail consistait à évaluer ce plan défini dans cinq thématiques majeurs notamment le maintien de la biodiversité, les études et suivis, l’interprétation du site, la communication et l’accompagnement et la gestion de la réserve par la méthode ATEN (Atelier Technique des Espaces Naturels) appliquée aux réserves naturelles. La méthode d’évaluation utilisée a permis d’apprécier l’atteinte des objectifs du plan pour chaque objectif à long terme et elle se décline en trois parties à savoir le calcul du taux de réalisation , le degré de prise en compte des indicateurs (suivi) et leur analyse et enfin la synthèse sur l’atteinte de l’objectif du plan.
Les résultats ont montré que le plan de gestion et d’interprétation a été bien suivi dans la mesure où tous les objectifs assignés à la gestion technique, à l’interprétation du site et à la communication et accompagnement ont été atteints. Par contre, pour le maintien de la biodiversité, nous avons enregistré deux objectifs atteints, trois partiellement atteints et un non atteint. Et enfin concernant l’étude et suivi, deux objectifs sont atteints et un partiellement atteint .
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6054 Évaluation du plan de préservation et d’interprétation de la Réserve Naturelle Communautaire du Boundou (Espace Naturel Sensible Isérois). [texte imprimé] / Diop, Maniang Mamadoune, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 44 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Réserve naturelle, Biodiversité, Plan de préservation, Aire protégée, Espace naturel sensible, Développement durable Résumé : La réserve naturelle communautaire du Boundou a été créée en 2009 dans le cadre de la coopération décentralisée entre le Conseil Général de l’Isère et le Conseil Régional de Tambacounda. Elle couvre une superficie de 120 000 hectares comprenant plusieurs zones humides d’intérêt majeur et est labélisée « espace naturel sensible » grâce à la coopération décentralisée. Ainsi, un plan de préservation et d’interprétation de la Réserve Naturelle Communautaire pour la période 2009-2015 a été rédigé dans le but de préserver la biodiversité et de promouvoir le développement durable des activités des populations des villages périphériques de l’aire protégée. L’objectif de ce travail consistait à évaluer ce plan défini dans cinq thématiques majeurs notamment le maintien de la biodiversité, les études et suivis, l’interprétation du site, la communication et l’accompagnement et la gestion de la réserve par la méthode ATEN (Atelier Technique des Espaces Naturels) appliquée aux réserves naturelles. La méthode d’évaluation utilisée a permis d’apprécier l’atteinte des objectifs du plan pour chaque objectif à long terme et elle se décline en trois parties à savoir le calcul du taux de réalisation , le degré de prise en compte des indicateurs (suivi) et leur analyse et enfin la synthèse sur l’atteinte de l’objectif du plan.
Les résultats ont montré que le plan de gestion et d’interprétation a été bien suivi dans la mesure où tous les objectifs assignés à la gestion technique, à l’interprétation du site et à la communication et accompagnement ont été atteints. Par contre, pour le maintien de la biodiversité, nous avons enregistré deux objectifs atteints, trois partiellement atteints et un non atteint. Et enfin concernant l’étude et suivi, deux objectifs sont atteints et un partiellement atteint .
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003441 F030 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des plantations de Eucalyptus dans la station de Keur Mactar Communauté Rurale de Ndiaffate (Kaolack) / Bonna, Ange Bernard Germain
Titre : Évaluation des plantations de Eucalyptus dans la station de Keur Mactar Communauté Rurale de Ndiaffate (Kaolack) Type de document : texte imprimé Auteurs : Bonna, Ange Bernard Germain, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 56 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 002944 Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Plantations d’eucalyptus Salinisation Eucalyptus Sols Salés Ndiaffate Keur Mactar Espèces halotolérantes Récupération des sols Résumé : La salinisation des terres est une réalité au Sénégal. Elle a pris de l’ampleur à partir de la sécheresse des années 1970. Dans la zone du Sine Saloum, ce phénomène s’est accentué dans les zones estuariennes, le long des principaux fleuves du Sine et du Saloum. L’une des principales manifestations est la destruction du couvert végétal naturel et la dégradation des sols cultivés. C’est dans ce contexte que la recherche forestière a entrepris depuis les années 1970 un important programme de sélection d’espèces halotolérantes destinées à la recolonisation et à la récupération des terres salées. Le genre Eucalyptus, auquel cinq essais ont été consacrés à la station expérimentale de Keur Mactar, a été très largement utilisé dans ce programme. La présente étude repose sur l’évaluation de ces plantations de Eucalyptus. La démarche adoptée est fondée sur la recherche bibliographique, l’inventaire et le traitement des données à travers la cartographie des dispositifs expérimentaux, les calculs de moyenne, de production et les analyses de variances. Les principaux résultats concernent la carte de distribution des essais de Eucalyptus, l’évaluation du potentiel des dispositifs et la production primaire. Le taux de réussite varie de 19,44 % à 55,37 % selon les années. La structure est en général déséquilibrée du fait de la faible fréquence de sujets adultes. La production volumétrique varie de 9 à 85 m3 à l’hectare de l’essai 1972 à l’essai 1980. La production de biomasse herbacée est différente suivant les essais et le couvert. Elle varie de 1,5 à 9,37 t.ha-1 sous couvert à 1,73 à 8,54 t.ha-1 hors couvert. La répartition du tapis herbacé est uniforme à l’intérieur des essais 1977 et 1980 alors que dans le reste des essais, une distribution irrégulière a été observée. Ces résultats contribuent à l’évaluation des plantations de Eucalyptus sur sols halomorphes de manière à définir des orientations de gestion et de suivi dans le but de protéger durablement les sols contre la remontée de la langue salée dans la station de Keur Mactar. Ces orientations concerneront la mise en place d’une nouvelle clôture pour parer à la divagation permanente du bétail et la réintroduction surtout de nouvelles essences susceptibles d’apporter des solutions aux besoins de bois d’énergie des populations locales.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6704 Évaluation des plantations de Eucalyptus dans la station de Keur Mactar Communauté Rurale de Ndiaffate (Kaolack) [texte imprimé] / Bonna, Ange Bernard Germain, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 56 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
ISSN : 002944
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plantations d’eucalyptus Salinisation Eucalyptus Sols Salés Ndiaffate Keur Mactar Espèces halotolérantes Récupération des sols Résumé : La salinisation des terres est une réalité au Sénégal. Elle a pris de l’ampleur à partir de la sécheresse des années 1970. Dans la zone du Sine Saloum, ce phénomène s’est accentué dans les zones estuariennes, le long des principaux fleuves du Sine et du Saloum. L’une des principales manifestations est la destruction du couvert végétal naturel et la dégradation des sols cultivés. C’est dans ce contexte que la recherche forestière a entrepris depuis les années 1970 un important programme de sélection d’espèces halotolérantes destinées à la recolonisation et à la récupération des terres salées. Le genre Eucalyptus, auquel cinq essais ont été consacrés à la station expérimentale de Keur Mactar, a été très largement utilisé dans ce programme. La présente étude repose sur l’évaluation de ces plantations de Eucalyptus. La démarche adoptée est fondée sur la recherche bibliographique, l’inventaire et le traitement des données à travers la cartographie des dispositifs expérimentaux, les calculs de moyenne, de production et les analyses de variances. Les principaux résultats concernent la carte de distribution des essais de Eucalyptus, l’évaluation du potentiel des dispositifs et la production primaire. Le taux de réussite varie de 19,44 % à 55,37 % selon les années. La structure est en général déséquilibrée du fait de la faible fréquence de sujets adultes. La production volumétrique varie de 9 à 85 m3 à l’hectare de l’essai 1972 à l’essai 1980. La production de biomasse herbacée est différente suivant les essais et le couvert. Elle varie de 1,5 à 9,37 t.ha-1 sous couvert à 1,73 à 8,54 t.ha-1 hors couvert. La répartition du tapis herbacé est uniforme à l’intérieur des essais 1977 et 1980 alors que dans le reste des essais, une distribution irrégulière a été observée. Ces résultats contribuent à l’évaluation des plantations de Eucalyptus sur sols halomorphes de manière à définir des orientations de gestion et de suivi dans le but de protéger durablement les sols contre la remontée de la langue salée dans la station de Keur Mactar. Ces orientations concerneront la mise en place d’une nouvelle clôture pour parer à la divagation permanente du bétail et la réintroduction surtout de nouvelles essences susceptibles d’apporter des solutions aux besoins de bois d’énergie des populations locales.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002944 F014 BON Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des pratiques des exploitations dans la forêt classée de Mbao: le cas des tradipraticiens / Gaye, Anta
Titre : Evaluation des pratiques des exploitations dans la forêt classée de Mbao: le cas des tradipraticiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaye, Anta, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 50 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tradipraticiens, Plantes médicinales, Forêt, Ressources végétales, Espèce, Mbao, Sénégal Résumé : La forêt classée de Mbao est l’un des poumons verts de la région de Dakar avec le parc zoologique et forestier de Hann. Depuis la nuit des temps l’homme a toujours utilisé les plantes médicinales pour se soigner. Au Burkina Faso la médecine traditionnelle est un héritage millénaire. Aujourd’hui, les produits pharmaceutiques plus coûteux sont remplacés de plus en plus par des plantes médicinales dont le coût financier est moindre. C’est la raison pour laquelle, la majorité des populations est devenue plus dépendante de ces récoltes. Cet état de fait explique la forte pression exercée sur le potentiel forestier qui, chaque année, subit une régression due à l’action anthropique particulièrement du fait des tradipraticiens. L’objectif général de ce travail est de contribuer à l’évaluation de pratique des tradipraticiens dans la forêt classée de Mbao. La démarche méthodologique comporte les phases suivantes : la recherche bibliographique, les inventaires, les enquêtes, le dépouillement et l’analyse des données. De l’analyse des résultats d’inventaire, il ressort qu’il y a quinze (15) espèces à usage médicinal dont les parties végétales exploitées sont les racines à hauteur de 40%, suivies des feuilles 32% et des écorces 28%. Selon le type de végétal, on note une prédominance des arbres avec 47%, suivis des arbustes 33% et des lianes 20%. Les espèces les plus abondantes sont Boscia senegalensis 31,34%, Leptadenia hastata 14,13% et Acacia albida 11,6%. Les espèces peu abondantes sont Euphorbia balsamifera 0,61%, Trachylobium verrucosum 0,31%, Anacardium occidentale 0,31%, et Adansonia digitata 0,41%. A l’issue des enquêtes, 102 espèces à usage médicinal ont été recensées au niveau des tradipraticiens, des vendeurs et des consommateurs, dont les plus utilisées sont au nombre de 44. Les parties les plus exploitées sont : les feuilles avec 39%, suivies des racines 34%, des écorces 16% et des fruits 11%. Les résultats obtenus montrent la pression exercée sur les ressources végétales par les tradipraticiens et les conséquences qu’ils occasionnent dans la FCM.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6049 Evaluation des pratiques des exploitations dans la forêt classée de Mbao: le cas des tradipraticiens [texte imprimé] / Gaye, Anta, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 50 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tradipraticiens, Plantes médicinales, Forêt, Ressources végétales, Espèce, Mbao, Sénégal Résumé : La forêt classée de Mbao est l’un des poumons verts de la région de Dakar avec le parc zoologique et forestier de Hann. Depuis la nuit des temps l’homme a toujours utilisé les plantes médicinales pour se soigner. Au Burkina Faso la médecine traditionnelle est un héritage millénaire. Aujourd’hui, les produits pharmaceutiques plus coûteux sont remplacés de plus en plus par des plantes médicinales dont le coût financier est moindre. C’est la raison pour laquelle, la majorité des populations est devenue plus dépendante de ces récoltes. Cet état de fait explique la forte pression exercée sur le potentiel forestier qui, chaque année, subit une régression due à l’action anthropique particulièrement du fait des tradipraticiens. L’objectif général de ce travail est de contribuer à l’évaluation de pratique des tradipraticiens dans la forêt classée de Mbao. La démarche méthodologique comporte les phases suivantes : la recherche bibliographique, les inventaires, les enquêtes, le dépouillement et l’analyse des données. De l’analyse des résultats d’inventaire, il ressort qu’il y a quinze (15) espèces à usage médicinal dont les parties végétales exploitées sont les racines à hauteur de 40%, suivies des feuilles 32% et des écorces 28%. Selon le type de végétal, on note une prédominance des arbres avec 47%, suivis des arbustes 33% et des lianes 20%. Les espèces les plus abondantes sont Boscia senegalensis 31,34%, Leptadenia hastata 14,13% et Acacia albida 11,6%. Les espèces peu abondantes sont Euphorbia balsamifera 0,61%, Trachylobium verrucosum 0,31%, Anacardium occidentale 0,31%, et Adansonia digitata 0,41%. A l’issue des enquêtes, 102 espèces à usage médicinal ont été recensées au niveau des tradipraticiens, des vendeurs et des consommateurs, dont les plus utilisées sont au nombre de 44. Les parties les plus exploitées sont : les feuilles avec 39%, suivies des racines 34%, des écorces 16% et des fruits 11%. Les résultats obtenus montrent la pression exercée sur les ressources végétales par les tradipraticiens et les conséquences qu’ils occasionnent dans la FCM.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6049 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003436 F005 GAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des premiers résultats de l’application de la diguette en cadre dans la défense et restauration des sols au niveau du terroir villageois de Pakane, Arrondissement et Communauté rurale de Médina Sabakh, Département de Nioro / Coly, Rodolphe
Titre : Évaluation des premiers résultats de l’application de la diguette en cadre dans la défense et restauration des sols au niveau du terroir villageois de Pakane, Arrondissement et Communauté rurale de Médina Sabakh, Département de Nioro Type de document : texte imprimé Auteurs : Coly, Rodolphe, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 47 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Diguette en cadre Défense des sols Ouvrages antiérosifs Restauration des sols Pakane Médina Sabakh Nioro PROGERT Résumé : La problématique de dégradation des terres dans le bassin versant de Pakane est devenue aujourd’hui une préoccupation majeure des autorités, partenaires au développement des populations concernées. Cette dégradation est principalement due aux multiples formes d’érosions (hydrique, éolienne) constatées sur le site étudié et qui ont entrainé une baisse de la production agricole et accentué progressivement la pauvreté et la précarité dans la zone.
Pour combattre ce phénomène, le Projet de Gestion et de Restauration des Terres dégradées du Bassin Arachidier (PROGERT) est en train d’y poursuivre l’initiative de l’ancien Projet Communautaire de Développement Forestier Intégré (PRODEFI) relative à la construction et à la mise en place d’ouvrages antiérosifs appelés diguettes en cadre. Aujourd’hui, ces ouvrages sont perçus dans la zone d’étude comme un début de solutions pour la Restauration des Sols et partant pour l’amélioration des conditions socio-économiques et écologiques des populations bénéficiaires.
L’objectif principal de la présente étude est de recenser et de décrire les premiers résultats de l’application de ces ouvrages en vue de mieux comprendre leur efficacité dans la DRS.
Des résultats concrets ont été observés in situ (sédimentation de 265 m 3 de sable aux abords immédiats des ouvrages) qui ont permis la récupération de plus de 2 ha de terres actuellement exploitées à des fins agricoles et pastorales. On y note également la recrudescence du couvert végétal, une bonne infiltration des eaux de pluie dans le sol, la disponibilité progressive de terres productives pour les exploitants agricoles, le rétablissement des voies de communication (routes et pistes de production), etc.
Les perspectives sont encourageantes car les besoins en équipement manifestés au niveau des paysans (besoins collectifs comme individuels) sont loin d’être tous satisfaits ; ce qui traduit l’intérêt accordé à cet ouvrage et son efficacité dans la DRS.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6764 Évaluation des premiers résultats de l’application de la diguette en cadre dans la défense et restauration des sols au niveau du terroir villageois de Pakane, Arrondissement et Communauté rurale de Médina Sabakh, Département de Nioro [texte imprimé] / Coly, Rodolphe, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 47 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Diguette en cadre Défense des sols Ouvrages antiérosifs Restauration des sols Pakane Médina Sabakh Nioro PROGERT Résumé : La problématique de dégradation des terres dans le bassin versant de Pakane est devenue aujourd’hui une préoccupation majeure des autorités, partenaires au développement des populations concernées. Cette dégradation est principalement due aux multiples formes d’érosions (hydrique, éolienne) constatées sur le site étudié et qui ont entrainé une baisse de la production agricole et accentué progressivement la pauvreté et la précarité dans la zone.
Pour combattre ce phénomène, le Projet de Gestion et de Restauration des Terres dégradées du Bassin Arachidier (PROGERT) est en train d’y poursuivre l’initiative de l’ancien Projet Communautaire de Développement Forestier Intégré (PRODEFI) relative à la construction et à la mise en place d’ouvrages antiérosifs appelés diguettes en cadre. Aujourd’hui, ces ouvrages sont perçus dans la zone d’étude comme un début de solutions pour la Restauration des Sols et partant pour l’amélioration des conditions socio-économiques et écologiques des populations bénéficiaires.
L’objectif principal de la présente étude est de recenser et de décrire les premiers résultats de l’application de ces ouvrages en vue de mieux comprendre leur efficacité dans la DRS.
Des résultats concrets ont été observés in situ (sédimentation de 265 m 3 de sable aux abords immédiats des ouvrages) qui ont permis la récupération de plus de 2 ha de terres actuellement exploitées à des fins agricoles et pastorales. On y note également la recrudescence du couvert végétal, une bonne infiltration des eaux de pluie dans le sol, la disponibilité progressive de terres productives pour les exploitants agricoles, le rétablissement des voies de communication (routes et pistes de production), etc.
Les perspectives sont encourageantes car les besoins en équipement manifestés au niveau des paysans (besoins collectifs comme individuels) sont loin d’être tous satisfaits ; ce qui traduit l’intérêt accordé à cet ouvrage et son efficacité dans la DRS.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6764 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002897 F024 COL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des productions (récoltes) et revenus tirés de l’exploitation de l’écosystème mangrove : cas de l’Aire Marine Communautaire Protégée (AMCP) de Bamboung (Toubacouta/Foundiougne/Sénégal) / Faye, Mamadou
Titre : Évaluation des productions (récoltes) et revenus tirés de l’exploitation de l’écosystème mangrove : cas de l’Aire Marine Communautaire Protégée (AMCP) de Bamboung (Toubacouta/Foundiougne/Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Mamadou, Auteur Editeur : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022 Année de publication : 2022 Importance : 40 p Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forets : 2022] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangrove, Ecosystème mangrove, Poisson, Mollusque, Aire Marine Communautaire, Aire Marine Protégée, AMCP, Bamboung, Toubacouta, Foundiougne, Sénégal Résumé : La conservation de la biodiversité a engendré l’émergence de nouvelles filières économiques à travers la valorisation des biens et services offerts par l’écosystème. La création de l’AMP de Bamboung a permis une remontée biologique objet de la valorisation socioéconomique. Ce travail se propose de contribuer à l’évaluation des productions (récoltes) et revenus tirés de l’exploitation de l’écosystème mangrove dans la réserve de biosphère du delta du Saloum. Cette évaluation devrait permettre de mieux appréhender, en termes de valeur monétaire, les avantages que procurent cet écosystème à la population afin de mieux sensibiliser les décideurs politiques sur la nécessité d’une prise en compte de l’environnement et de ses avantages dans les processus de politiques publiques. Pour ce faire, l’échantillonnage adopté représente 1/10 de l’effectif c’est-à-dire 100 personnes à enquêter sur dix (10) villages. Les résultats montrent que (60%) de la production halieutique est dominé par les poissons, suivis des mollusques (30%) et enfin les crustacées (10%). La production de poisson est plus importante à Missirah (637,5 kg) et à Sangako (250). Pour la production des mollusques, les huîtres (45%) suivis des arches (25%) ensuite les murex (20%) et en fin les Cymbium (10%). Pour les revenus tirés de la production de poissons, le village de Missirah génère plus de revenus (1 275 000 FCFA) suivi du village de Sangako (250 000 FCFA) et en fin Bani et Sourou ont le même revenu soit 75 000 FCFA chacun. Les revenus tirés de l’exploitation des mollusques varient de 6 300 à 75 000 FCFA. La conservation de la biodiversité a engendré d’importantes productions et des revenus tirés de la pêche et de l’exploitation des mollusques à travers la valorisation des biens et services offerts par l’écosystème. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10905 Évaluation des productions (récoltes) et revenus tirés de l’exploitation de l’écosystème mangrove : cas de l’Aire Marine Communautaire Protégée (AMCP) de Bamboung (Toubacouta/Foundiougne/Sénégal) [texte imprimé] / Faye, Mamadou, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 40 p : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Eaux et Forets : 2022]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangrove, Ecosystème mangrove, Poisson, Mollusque, Aire Marine Communautaire, Aire Marine Protégée, AMCP, Bamboung, Toubacouta, Foundiougne, Sénégal Résumé : La conservation de la biodiversité a engendré l’émergence de nouvelles filières économiques à travers la valorisation des biens et services offerts par l’écosystème. La création de l’AMP de Bamboung a permis une remontée biologique objet de la valorisation socioéconomique. Ce travail se propose de contribuer à l’évaluation des productions (récoltes) et revenus tirés de l’exploitation de l’écosystème mangrove dans la réserve de biosphère du delta du Saloum. Cette évaluation devrait permettre de mieux appréhender, en termes de valeur monétaire, les avantages que procurent cet écosystème à la population afin de mieux sensibiliser les décideurs politiques sur la nécessité d’une prise en compte de l’environnement et de ses avantages dans les processus de politiques publiques. Pour ce faire, l’échantillonnage adopté représente 1/10 de l’effectif c’est-à-dire 100 personnes à enquêter sur dix (10) villages. Les résultats montrent que (60%) de la production halieutique est dominé par les poissons, suivis des mollusques (30%) et enfin les crustacées (10%). La production de poisson est plus importante à Missirah (637,5 kg) et à Sangako (250). Pour la production des mollusques, les huîtres (45%) suivis des arches (25%) ensuite les murex (20%) et en fin les Cymbium (10%). Pour les revenus tirés de la production de poissons, le village de Missirah génère plus de revenus (1 275 000 FCFA) suivi du village de Sangako (250 000 FCFA) et en fin Bani et Sourou ont le même revenu soit 75 000 FCFA chacun. Les revenus tirés de l’exploitation des mollusques varient de 6 300 à 75 000 FCFA. La conservation de la biodiversité a engendré d’importantes productions et des revenus tirés de la pêche et de l’exploitation des mollusques à travers la valorisation des biens et services offerts par l’écosystème. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10905 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004017 a F015 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 004017 b F015 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation quantitative de la production ligneuse et non ligneuse des forêts communautaires dans le cadre des aménagements du PROGEDE : Cas des forêts communautaires de Nétéboulou et Tomboroncoto / Moussa Diémé
Titre : Evaluation quantitative de la production ligneuse et non ligneuse des forêts communautaires dans le cadre des aménagements du PROGEDE : Cas des forêts communautaires de Nétéboulou et Tomboroncoto Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussa Diémé, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2006 Importance : 40 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ENCR : 2006 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Production ligneuse Production non ligneuse Forêts communautaires Nétéboulou Tomboroncoto Exploitation forestiere Charbon Plan d’aménagement Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7491 Evaluation quantitative de la production ligneuse et non ligneuse des forêts communautaires dans le cadre des aménagements du PROGEDE : Cas des forêts communautaires de Nétéboulou et Tomboroncoto [texte imprimé] / Moussa Diémé, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2006 . - 40 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ENCR : 2006 ]
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002648 F031 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) / Faye, Papa Mor
Titre : Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Papa Mor, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 44 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Récupération de terres Vallée aménagée Sols salés Ndoff Stratification Salinité Végétation Régénération Valorisation agricole Résumé : Depuis la mise en place de la digue anti-sel en 2002 suivie de la plantation des espèces ligneuses de 2003 à 2004 suivant les unités morpho-pédologiques (UMP) dans les deux vallées de Ndoff, aucune évaluation globale n’a été faite sur l’effet de ces réalisations sur les sols, les eaux souterraines et la végétation. Aussi, sur la base d’une stratification selon les UMP, un échantillonnage des sols, des eaux et de la végétation a été entrepris. Pour ce faire, les coordonnées GPS de toutes les UMP ont été enregistrées et projetées sur Google Earth. Cela a permis de subdiviser les deux vallées en six (6) zones homogènes. Pour évaluer l’effet de ces aménagements sur la végétation, un inventaire statistique stratifié a été adopté. Ainsi, un taux de sondage de 1,5% est appliqué sur l’ensemble des zones, ce qui donne un total de deux cent vingt six (226) placettes carrées de dix mètres de côté (10 m). Et, pour chaque placette, les variables suivantes sont mesurées : (i) diamètre à hauteur de poitrine (cm), (ii) la hauteur des arbres (m) et (iii) le nombre de régénérations. En plus de ces variables mesurées, les coordonnées des plages de régénération séminale sont géo-référencées de même que leurs semenciers. L’aménagement mécanique (barrage anti-sel) des vallées permet la diminution de la salinité du sol et de la nappe phréatique. Il favorise la reconstitution de la végétation et des régénérations en tannes arbustives et à une moindre mesure en tannes herbeuses. Les aménagements mécanique et biologique (plantation d’espèces ligneuses) sont ainsi nécessaires dans le processus de récupération et de valorisation agricole des sols salés.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6056 Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) [texte imprimé] / Faye, Papa Mor, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 44 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Récupération de terres Vallée aménagée Sols salés Ndoff Stratification Salinité Végétation Régénération Valorisation agricole Résumé : Depuis la mise en place de la digue anti-sel en 2002 suivie de la plantation des espèces ligneuses de 2003 à 2004 suivant les unités morpho-pédologiques (UMP) dans les deux vallées de Ndoff, aucune évaluation globale n’a été faite sur l’effet de ces réalisations sur les sols, les eaux souterraines et la végétation. Aussi, sur la base d’une stratification selon les UMP, un échantillonnage des sols, des eaux et de la végétation a été entrepris. Pour ce faire, les coordonnées GPS de toutes les UMP ont été enregistrées et projetées sur Google Earth. Cela a permis de subdiviser les deux vallées en six (6) zones homogènes. Pour évaluer l’effet de ces aménagements sur la végétation, un inventaire statistique stratifié a été adopté. Ainsi, un taux de sondage de 1,5% est appliqué sur l’ensemble des zones, ce qui donne un total de deux cent vingt six (226) placettes carrées de dix mètres de côté (10 m). Et, pour chaque placette, les variables suivantes sont mesurées : (i) diamètre à hauteur de poitrine (cm), (ii) la hauteur des arbres (m) et (iii) le nombre de régénérations. En plus de ces variables mesurées, les coordonnées des plages de régénération séminale sont géo-référencées de même que leurs semenciers. L’aménagement mécanique (barrage anti-sel) des vallées permet la diminution de la salinité du sol et de la nappe phréatique. Il favorise la reconstitution de la végétation et des régénérations en tannes arbustives et à une moindre mesure en tannes herbeuses. Les aménagements mécanique et biologique (plantation d’espèces ligneuses) sont ainsi nécessaires dans le processus de récupération et de valorisation agricole des sols salés.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003443 F022 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des systèmes de production du miel dans le Département de Kolda dans une perspective de certification forestière : Cas de Saré Souma / Bocoum, Aly
Titre : Évaluation des systèmes de production du miel dans le Département de Kolda dans une perspective de certification forestière : Cas de Saré Souma Type de document : texte imprimé Auteurs : Bocoum, Aly, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 54 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Miel Filière apicole Saré Souma Traitement du miel Conditionnement Label Certification Marchés porteurs Apiculture Résumé : La filière apicole joue un rôle très important dans la politique forestière du Sénégal. Le chapitre II du code forestier (Décret 98-164 du 20 février 1998) dans sa partie réglementaire cite en son article R18 parlant des principes de l’exploitation forestière le miel comme un produit forestier. Selon la Direction de l’élevage (DIREL, 2000), le niveau de la production nationale de miel et de cire est estimé actuellement à 770 et 101,24 tonnes respectivement avec un accroissement annuel moyen de l’ordre de 13% pour le miel et de 2% pour la cire. Cependant seul un tiers du potentiel apicole sénégalais est exploité et la production apicole nationale peut être augmentée de manière soutenue à travers un meilleur encadrement avec un taux de croissance annuel de l’ordre de 25% pour le miel et de 20% pour la cire (Rapport UICN, 2005). Dans le département de Kolda, la filière apicole s’est beaucoup développée avec le soutien de l’ACDI à travers le Projet d’Appui à l’Entreprenariat Forestier (PAEFK) d’abord, ensuite du Programme d’Appui au Développement Économique de la Casamance (PADEC) dans l’organisation de la filière, le renforcement des capacités des acteurs , l’amélioration des techniques de production du miel par l’introduction de ruches modernes (Vautier, Langstroth et Kenyane), la mise en place et l’équipement d’une Unité de Traitement et de Conditionnement du miel de référence à Saré Souma. Les résultats de l’étude ont montré que cette unité a atteint un chiffre d’affaire en 2011 d’un montant de 7 872000 F CFA pour une production de 6936 kg de miel traité et 450 kg de cire obtenue. L’unité est située dans le village de Saré Souma, dans la communauté rurale de Bagadadji à 33 Km de la ville de Kolda. Elle polarise 37 sites apicoles composés de GIE comprenant 541 membres dont 295 femmes. Le miel produit sous anacarde est un label spécifique au département. Il représente 73% de l’échantillon étudiée. Les contraintes de la filière constatées sont le non-respect de l’intégralité des normes internationales de qualité du miel imposées par le commerce mondial, l’absence d’autorisation FRA obligatoire pour la vente de tous produits destinés à la consommation humaine ou animale au Sénégal, la ratification par le Sénégal de l’article 6 du protocole relatif à la notion de « produits originaires »des pays membres de la Communauté Économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Il s’y ajoute le manque de moyens de déplacement au niveau de l’UTC pour la collecte et le transport des gâteaux de miel ainsi que la disponibilité d’emballages et d’étiquettes de qualité. Les atouts majeurs portent sur la forte production (contrôlée) de miel qui se chiffre à 14 tonnes en moyenne pour le département Kolda (Service Régional de la Prévention et de la Statistique, 2004), l’engouement de la population surtout les femmes et enfin la possibilité d’une certification déjà enclenchée et qui à terme devrait permettre l’ouverture de circuits de commercialisation vers des marchés plus porteurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6703 Évaluation des systèmes de production du miel dans le Département de Kolda dans une perspective de certification forestière : Cas de Saré Souma [texte imprimé] / Bocoum, Aly, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 54 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Miel Filière apicole Saré Souma Traitement du miel Conditionnement Label Certification Marchés porteurs Apiculture Résumé : La filière apicole joue un rôle très important dans la politique forestière du Sénégal. Le chapitre II du code forestier (Décret 98-164 du 20 février 1998) dans sa partie réglementaire cite en son article R18 parlant des principes de l’exploitation forestière le miel comme un produit forestier. Selon la Direction de l’élevage (DIREL, 2000), le niveau de la production nationale de miel et de cire est estimé actuellement à 770 et 101,24 tonnes respectivement avec un accroissement annuel moyen de l’ordre de 13% pour le miel et de 2% pour la cire. Cependant seul un tiers du potentiel apicole sénégalais est exploité et la production apicole nationale peut être augmentée de manière soutenue à travers un meilleur encadrement avec un taux de croissance annuel de l’ordre de 25% pour le miel et de 20% pour la cire (Rapport UICN, 2005). Dans le département de Kolda, la filière apicole s’est beaucoup développée avec le soutien de l’ACDI à travers le Projet d’Appui à l’Entreprenariat Forestier (PAEFK) d’abord, ensuite du Programme d’Appui au Développement Économique de la Casamance (PADEC) dans l’organisation de la filière, le renforcement des capacités des acteurs , l’amélioration des techniques de production du miel par l’introduction de ruches modernes (Vautier, Langstroth et Kenyane), la mise en place et l’équipement d’une Unité de Traitement et de Conditionnement du miel de référence à Saré Souma. Les résultats de l’étude ont montré que cette unité a atteint un chiffre d’affaire en 2011 d’un montant de 7 872000 F CFA pour une production de 6936 kg de miel traité et 450 kg de cire obtenue. L’unité est située dans le village de Saré Souma, dans la communauté rurale de Bagadadji à 33 Km de la ville de Kolda. Elle polarise 37 sites apicoles composés de GIE comprenant 541 membres dont 295 femmes. Le miel produit sous anacarde est un label spécifique au département. Il représente 73% de l’échantillon étudiée. Les contraintes de la filière constatées sont le non-respect de l’intégralité des normes internationales de qualité du miel imposées par le commerce mondial, l’absence d’autorisation FRA obligatoire pour la vente de tous produits destinés à la consommation humaine ou animale au Sénégal, la ratification par le Sénégal de l’article 6 du protocole relatif à la notion de « produits originaires »des pays membres de la Communauté Économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Il s’y ajoute le manque de moyens de déplacement au niveau de l’UTC pour la collecte et le transport des gâteaux de miel ainsi que la disponibilité d’emballages et d’étiquettes de qualité. Les atouts majeurs portent sur la forte production (contrôlée) de miel qui se chiffre à 14 tonnes en moyenne pour le département Kolda (Service Régional de la Prévention et de la Statistique, 2004), l’engouement de la population surtout les femmes et enfin la possibilité d’une certification déjà enclenchée et qui à terme devrait permettre l’ouverture de circuits de commercialisation vers des marchés plus porteurs.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002943 F038 BOC Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des techniques de récupération des terres salées à Fadial dans la Région de Thiès (aménagement et reboisement) / Samb, Amdy
Titre : Evaluation des techniques de récupération des terres salées à Fadial dans la Région de Thiès (aménagement et reboisement) Type de document : texte imprimé Auteurs : Samb, Amdy, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 38 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Salinisation , Reboisements, Fadial, Espèces ligneuses , Espèces halotolérantes, Dispositif biomécanique, Variétés de mil, Terres salées, Thiès Résumé : La salinisation des terres est un processus d’enrichissement des sols en sels solubles. Le phénomène a pris de l’ampleur au Sénégal notamment sur le littoral du territoire national. Les causes de l’accélération de ce processus sont multiples. Elles sont d’ordre naturel et anthropique. La présente étude est réalisée sur les tannes du village de Fadial (région de Thiès). L’objectif est d’évaluer les reboisements, mais aussi de tester des variétés de mil en vue d’étudier leurs performances. Un inventaire intégral des espèces ligneuses halotolérantes, de même qu’un dispositif expérimental biomécanique et un questionnaire d’enquête ont été réalisés. Les résultats préliminaires montrent après douze (12) mois de plantation que Eucalyptus camaldulensis a un taux de survie de 73%, une hauteur de 100 cm pour les plants qui ont un diamètre au collet dans l’intervalle [2,4-2,6[sur les tannes enherbés. Melaleuca viridiflora a un taux de survie de 40%, une hauteur de 100 cm dans l’intervalle [2,8-3[en zone tampon avec les tannes nus et Acacia senegal introduite sur les tannes arbustifs a un taux de survie de 60%, sa hauteur est en dessous des 30cm et des diamètres au collet qui varient de [0,2-0,4[à [0,4-0,6[. Le volume sur pied du peuplement de Prosopis juliflora de l’an 2000 est de 16,22 m3. La surface terrière totale est de 1,94m2/ha. Pour ce qui est des résultats sur le mil, la variété Sosat C88 présente les épis les plus courts suivie des variétés Gawane et IBMV 8402. Le diamètre des épis est de 2,92 cm pour la Sosat ; 2,32 cm pour Gawane et 2,12 cm pour IBMV. La production de graine dépasse les 300 kg.ha-1 quelle que soit la variété de mil. La production de balle de mil dépasse les 250 kg.ha-1 quelle que soit la variété de mil considérée.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6048 Evaluation des techniques de récupération des terres salées à Fadial dans la Région de Thiès (aménagement et reboisement) [texte imprimé] / Samb, Amdy, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Salinisation , Reboisements, Fadial, Espèces ligneuses , Espèces halotolérantes, Dispositif biomécanique, Variétés de mil, Terres salées, Thiès Résumé : La salinisation des terres est un processus d’enrichissement des sols en sels solubles. Le phénomène a pris de l’ampleur au Sénégal notamment sur le littoral du territoire national. Les causes de l’accélération de ce processus sont multiples. Elles sont d’ordre naturel et anthropique. La présente étude est réalisée sur les tannes du village de Fadial (région de Thiès). L’objectif est d’évaluer les reboisements, mais aussi de tester des variétés de mil en vue d’étudier leurs performances. Un inventaire intégral des espèces ligneuses halotolérantes, de même qu’un dispositif expérimental biomécanique et un questionnaire d’enquête ont été réalisés. Les résultats préliminaires montrent après douze (12) mois de plantation que Eucalyptus camaldulensis a un taux de survie de 73%, une hauteur de 100 cm pour les plants qui ont un diamètre au collet dans l’intervalle [2,4-2,6[sur les tannes enherbés. Melaleuca viridiflora a un taux de survie de 40%, une hauteur de 100 cm dans l’intervalle [2,8-3[en zone tampon avec les tannes nus et Acacia senegal introduite sur les tannes arbustifs a un taux de survie de 60%, sa hauteur est en dessous des 30cm et des diamètres au collet qui varient de [0,2-0,4[à [0,4-0,6[. Le volume sur pied du peuplement de Prosopis juliflora de l’an 2000 est de 16,22 m3. La surface terrière totale est de 1,94m2/ha. Pour ce qui est des résultats sur le mil, la variété Sosat C88 présente les épis les plus courts suivie des variétés Gawane et IBMV 8402. Le diamètre des épis est de 2,92 cm pour la Sosat ; 2,32 cm pour Gawane et 2,12 cm pour IBMV. La production de graine dépasse les 300 kg.ha-1 quelle que soit la variété de mil. La production de balle de mil dépasse les 250 kg.ha-1 quelle que soit la variété de mil considérée.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003435 F022 SAM Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible L’évaluation des valeurs et des services écosystémiques des forêts de mangrove en zone insulaire : cas de la mangrove des îles du Gandoul au Sénégal / Ibrahima Thior
Titre : L’évaluation des valeurs et des services écosystémiques des forêts de mangrove en zone insulaire : cas de la mangrove des îles du Gandoul au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima Thior, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2019 Importance : 38 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangrove, Forêts de mangrove, Écosystème mangrove, Service écosystémique, Zone insulaire, Sécurité alimentaire, Îles du Gandoul. Résumé : Au Sénégal, les forêts de mangrove subissent d’importantes dégradations d’ordre naturel et anthropique. Ce dernier se manifeste par les prélèvements abusifs des ressources de l’écosystème occasionnant ainsi la régression des biens et des services écosystémiques. Dans le souci de comprendre la dynamique de la mangrove dans les îles du Gandoul nous avons étudié son écosystème pour une contribution à la politique de gestion des ressources naturelles. D’où l’intérêt d’évaluer la valeur économique des forêts de mangrove. Le but visé est d’évaluer la mangrove à travers les biens et les services écosystémiques pour connaitre la dynamique et les menaces qui pèsent sur la pérennité de ces ressources afin de mettre en place une stratégie d’alerte et d’adaptation face aux répercussions probables sur la sécurité alimentaire et le bien-être des populations. L’évaluation des services écosystémiques de la mangrove des îles du Saloum a révélé un écosystème très fragile soumis à des péjorations climatiques et d’intenses prélèvements. L’évaluation a montré que 55,71% de la valeur économique de la mangrove provient des services d’approvisionnement, 43,41% pour les services de régulation, 0,69% pour les services de soutien et seulement 0,18% pour les services culturels. La baisse considérable de la pluie et la pression démographique ont fortement entrainé la dégradation de la mangrove fragilisant ainsi l’économie locale. Cependant pour répondre à l’un de nos objectifs qui est d’assurer la pérennité des biens et des services écosystémiques afin d’assurer la survie des populations riveraines des mesures d’adaptation et de pérennisation sont prises. Pour restaurer les potentialités de la mangrove et tirer le maximum de profit de ses services, il est urgent de définir des stratégies de communication et de sensibilisation des acteurs par rapport aux risques actuel et futur des changements climatiques.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8415 L’évaluation des valeurs et des services écosystémiques des forêts de mangrove en zone insulaire : cas de la mangrove des îles du Gandoul au Sénégal [texte imprimé] / Ibrahima Thior, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2019 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangrove, Forêts de mangrove, Écosystème mangrove, Service écosystémique, Zone insulaire, Sécurité alimentaire, Îles du Gandoul. Résumé : Au Sénégal, les forêts de mangrove subissent d’importantes dégradations d’ordre naturel et anthropique. Ce dernier se manifeste par les prélèvements abusifs des ressources de l’écosystème occasionnant ainsi la régression des biens et des services écosystémiques. Dans le souci de comprendre la dynamique de la mangrove dans les îles du Gandoul nous avons étudié son écosystème pour une contribution à la politique de gestion des ressources naturelles. D’où l’intérêt d’évaluer la valeur économique des forêts de mangrove. Le but visé est d’évaluer la mangrove à travers les biens et les services écosystémiques pour connaitre la dynamique et les menaces qui pèsent sur la pérennité de ces ressources afin de mettre en place une stratégie d’alerte et d’adaptation face aux répercussions probables sur la sécurité alimentaire et le bien-être des populations. L’évaluation des services écosystémiques de la mangrove des îles du Saloum a révélé un écosystème très fragile soumis à des péjorations climatiques et d’intenses prélèvements. L’évaluation a montré que 55,71% de la valeur économique de la mangrove provient des services d’approvisionnement, 43,41% pour les services de régulation, 0,69% pour les services de soutien et seulement 0,18% pour les services culturels. La baisse considérable de la pluie et la pression démographique ont fortement entrainé la dégradation de la mangrove fragilisant ainsi l’économie locale. Cependant pour répondre à l’un de nos objectifs qui est d’assurer la pérennité des biens et des services écosystémiques afin d’assurer la survie des populations riveraines des mesures d’adaptation et de pérennisation sont prises. Pour restaurer les potentialités de la mangrove et tirer le maximum de profit de ses services, il est urgent de définir des stratégies de communication et de sensibilisation des acteurs par rapport aux risques actuel et futur des changements climatiques.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003764 F015 THI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003764 b F015 THI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation de la variabilité spatiale des stocks de carbone aériens des parcs agroforestiers à Faidherbia albida (Del. Ch) du Bassin arachidier Nord / Faye, Adama
Titre : Evaluation de la variabilité spatiale des stocks de carbone aériens des parcs agroforestiers à Faidherbia albida (Del. Ch) du Bassin arachidier Nord Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Adama, Auteur Editeur : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022 Année de publication : 2022 Importance : 36 p Présentation : : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : [Mém.de fin d'études : ISFAR ex ENCR Eaux et Forets] Langues : Français (fre) Mots-clés : Stock de carbone, Variabilité spatiale, Bassin arachidier, Biomasse aérienne, Faidherbia albida, Parcs agroforestiers Résumé : Le réchauffement climatique est un problème urgent dont la cause principale est la concentration croissante de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Grâce à leur capacité d’absorption du carbone, les arbres contribuent au ralentissement de ce phénomène planétaire. Toutefois connaissant le rôle prépondérant de la végétation arborée dans le piégeage de gaz à effet de serre atmosphérique, le Sénégal juge pertinent d’intégrer les arbres hors-forêts dans sa politique d’atténuation du changement climatique. C’est dans cette dynamique que deux sites localisés dans la zone Khombole (Département de Thiès) et dans la commune de Thiakhar (département de Bambey) ont fait l’objet d’étude. A cet effet, les données ont été collectées à travers 40 placettes circulaires de tailles variables (20m, 25m ou 30m) au niveau des deux sites soit 20 unités d’échantillonnage par site. Les équations allométriques spécifiques des espèces dominantes telles Faidherbia albida et Balanites aegyptiaca ont permis d’estimer les potentialités en stocks de carbone total de chacun de ces deux sites. Le stock de carbone pour Faidherbia albida est de 27,15tC largement supérieur à celui de Balanites aegyptiaca qui est de 2,43tC. Le stock moyen du site de Khombole est 6,34tc/ha contre 1,17 tC/ha à Thiakhar. Ce qui fait que les deux sites stockent au total 7,51tC/ha dans leur biomasse aérienne. Il serait intéressant d’étudier l’évolution des stocks de carbone pour évaluer leurs capacités d’atténuation. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10901 Evaluation de la variabilité spatiale des stocks de carbone aériens des parcs agroforestiers à Faidherbia albida (Del. Ch) du Bassin arachidier Nord [texte imprimé] / Faye, Adama, Auteur . - [S.l.] : Bambey : ISFAR ex ENCR, 2022, 2022 . - 36 p : : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
[Mém.de fin d'études : ISFAR ex ENCR Eaux et Forets]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Stock de carbone, Variabilité spatiale, Bassin arachidier, Biomasse aérienne, Faidherbia albida, Parcs agroforestiers Résumé : Le réchauffement climatique est un problème urgent dont la cause principale est la concentration croissante de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Grâce à leur capacité d’absorption du carbone, les arbres contribuent au ralentissement de ce phénomène planétaire. Toutefois connaissant le rôle prépondérant de la végétation arborée dans le piégeage de gaz à effet de serre atmosphérique, le Sénégal juge pertinent d’intégrer les arbres hors-forêts dans sa politique d’atténuation du changement climatique. C’est dans cette dynamique que deux sites localisés dans la zone Khombole (Département de Thiès) et dans la commune de Thiakhar (département de Bambey) ont fait l’objet d’étude. A cet effet, les données ont été collectées à travers 40 placettes circulaires de tailles variables (20m, 25m ou 30m) au niveau des deux sites soit 20 unités d’échantillonnage par site. Les équations allométriques spécifiques des espèces dominantes telles Faidherbia albida et Balanites aegyptiaca ont permis d’estimer les potentialités en stocks de carbone total de chacun de ces deux sites. Le stock de carbone pour Faidherbia albida est de 27,15tC largement supérieur à celui de Balanites aegyptiaca qui est de 2,43tC. Le stock moyen du site de Khombole est 6,34tc/ha contre 1,17 tC/ha à Thiakhar. Ce qui fait que les deux sites stockent au total 7,51tC/ha dans leur biomasse aérienne. Il serait intéressant d’étudier l’évolution des stocks de carbone pour évaluer leurs capacités d’atténuation. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10901 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004015 a F037 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 004015 b F037 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evolution des structures de gestion des forets aménagées au Sénégal : Cas des forêts de KOUSSANAR (Wula Nafaa), KOAR (PROGEDE) et SAMBANDE (PERACOD) / Faye, Ousmane
Titre : Evolution des structures de gestion des forets aménagées au Sénégal : Cas des forêts de KOUSSANAR (Wula Nafaa), KOAR (PROGEDE) et SAMBANDE (PERACOD) Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Ousmane, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 47 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Gestion forestière Forêts Ressources forestières Décentralisation Approches Changement climatique. Résumé : Au cours des dernières décennies, le changement climatique a influé sur les systèmes naturels et humains de tous les continents et sur tous les océans. Les preuves les plus flagrantes et les mieux étayées des incidences du changement climatique ont trait aux systèmes naturels. Pour inverser la tendance de plus en plus dégradante du système naturel notamment celle des forêts et assurer la gestion pérenne des ressources, plusieurs pays ont opté depuis les années 1990 pour la formulation de véritables politiques de décentralisation reconnaissant des droits et devoirs aux collectivités locales et aux populations environnantes dans la gestion des ressources forestières. Ainsi, L’objectif global de cette étude est de contribuer à la connaissance de l’évolution des approches et des politiques de l’Etat en matière de gestion des ressources forestières. Toutefois pour atteindre ce but, la méthodologie adoptée est fondée sur des outils et techniques à la fois quantitatives et qualitatives qui commencent par une revue documentaire, ensuite, effectué des entretiens individuels et enfin effectuer l’analyse et l’exploitation des données. Au Sénégal, on a assisté à l’avènement de grands projets et programmes enclenchés dans divers zones du pays ainsi qu’à l’application de l’approche participative pour la lutte contre la désertification et une meilleure gestion des ressources naturelles et de l’environnement. C’est pourquoi, en collaboration avec les institutions et les autres acteurs de développement, les programmes Wula Nafaa et le PERACOD ainsi que le PROGEDE II ont signé des contrats de collaboration avec les structures décentralisées pour les appuyer dans l’organisation et la gestion des ressources naturelles relevant de leurs compétences. Au terme, il est important de comprendre, une bonne gestion forestière constitue une réponse pertinente à cette problématique de dégradation des ressources forestières en même temps qu’elle s’avère comme une opportunité pour la promotion du développement local.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6605 Evolution des structures de gestion des forets aménagées au Sénégal : Cas des forêts de KOUSSANAR (Wula Nafaa), KOAR (PROGEDE) et SAMBANDE (PERACOD) [texte imprimé] / Faye, Ousmane, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 47 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et Forêts: ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Gestion forestière Forêts Ressources forestières Décentralisation Approches Changement climatique. Résumé : Au cours des dernières décennies, le changement climatique a influé sur les systèmes naturels et humains de tous les continents et sur tous les océans. Les preuves les plus flagrantes et les mieux étayées des incidences du changement climatique ont trait aux systèmes naturels. Pour inverser la tendance de plus en plus dégradante du système naturel notamment celle des forêts et assurer la gestion pérenne des ressources, plusieurs pays ont opté depuis les années 1990 pour la formulation de véritables politiques de décentralisation reconnaissant des droits et devoirs aux collectivités locales et aux populations environnantes dans la gestion des ressources forestières. Ainsi, L’objectif global de cette étude est de contribuer à la connaissance de l’évolution des approches et des politiques de l’Etat en matière de gestion des ressources forestières. Toutefois pour atteindre ce but, la méthodologie adoptée est fondée sur des outils et techniques à la fois quantitatives et qualitatives qui commencent par une revue documentaire, ensuite, effectué des entretiens individuels et enfin effectuer l’analyse et l’exploitation des données. Au Sénégal, on a assisté à l’avènement de grands projets et programmes enclenchés dans divers zones du pays ainsi qu’à l’application de l’approche participative pour la lutte contre la désertification et une meilleure gestion des ressources naturelles et de l’environnement. C’est pourquoi, en collaboration avec les institutions et les autres acteurs de développement, les programmes Wula Nafaa et le PERACOD ainsi que le PROGEDE II ont signé des contrats de collaboration avec les structures décentralisées pour les appuyer dans l’organisation et la gestion des ressources naturelles relevant de leurs compétences. Au terme, il est important de comprendre, une bonne gestion forestière constitue une réponse pertinente à cette problématique de dégradation des ressources forestières en même temps qu’elle s’avère comme une opportunité pour la promotion du développement local.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003675 F002 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003675 b F002 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible L’exploitation forestère au Sénégal : élément économique et écologiques de la politique des quotas / Mamadou Fall
Titre : L’exploitation forestère au Sénégal : élément économique et écologiques de la politique des quotas Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Fall, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1986 Importance : 50 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1986 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9452 L’exploitation forestère au Sénégal : élément économique et écologiques de la politique des quotas [texte imprimé] / Mamadou Fall, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1986 . - 50 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1986
Langues : Français (fre)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01534 b F014 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible L’ exploitation forestière, instrument de lutte contre la pauvreté : Cas de la communauté rurale de Koussanar, région de Tambacounda / Adiouma Diop
Titre : L’ exploitation forestière, instrument de lutte contre la pauvreté : Cas de la communauté rurale de Koussanar, région de Tambacounda Type de document : texte imprimé Auteurs : Adiouma Diop, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2006 Importance : 69 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études :Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Exploitation forestière pauvreté Produits ligneux Production forestière Produits de cueillette Produits forestiers Koussanar Tambacounda Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7489 L’ exploitation forestière, instrument de lutte contre la pauvreté : Cas de la communauté rurale de Koussanar, région de Tambacounda [texte imprimé] / Adiouma Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2006 . - 69 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études :Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ]
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002646 F014 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Exclu du prêt Les facteurs de dégradation de la réserve de biosphère de Keur Samba DIA et les défis de la gestion communautaire / Sira Diallo
Titre : Les facteurs de dégradation de la réserve de biosphère de Keur Samba DIA et les défis de la gestion communautaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sira Diallo, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2019 Importance : 38 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Réserve de Biosphère, Borassus aethiopum Mart., Samba DIA, Facteurs de dégradation, Enquêtes, Inventaire forestier, Gestion communautaire Résumé : La Réserve de biosphère de Samba Dia (RBSD) regorge d’importantes ressources végétales. Ces dernières font qu’elle est confrontée à de nombreuses menaces. L’espèce la plus visée par les populations est le rônier (Borassus aethiopum Mart.). La présente étude vise à apporter une contribution à une meilleure connaissance de l’état actuel de la réserve afin de développer des stratégies de gestion durables. Pour réaliser ce travail, des enquêtes ont été réalisées puis complétées par un inventaire forestier de la végétation ligneuse. A cet effet, un questionnaire a été administré à cent quarante-cinq (145) ménages sur les 1469 ménages, soit un échantillonnage stratifié de 10%. La méthodologie d’inventaire est l’échantillonnage stratifié aléatoire analysant 216 placettes de 50 m x 50 m, 48 dans la zone clôturée et 168 dans la zone périphérique. Les résultats de l’enquête ont montré que les facteurs de dégradation sont : les coupes (87%), suivie de la salinisation des terres (43,2%), la divagation des animaux (41,8%), la secheresse (30,8%), la pression démographique (24,7%), la baisse pluviométrique (15,8%), le braconnage (12,3%), et enfin les feux de brousses (5,5%). Les résultats de l’inventaire ont montré que les plus fortes densités sont observées au niveau de la zone clôturée (87 tiges ha-1) comparée à la zone périphérique (11 tiges ha-1). La régénération naturelle suit la même dynamique avec des densités de 663 tiges ha-1 dans la zone clôturée et 75 tiges ha-1 dans la zone périphérique. La densité de Borassus aethiopum Mart. adulte est de 29 tiges ha-1 en zone clôturée et 7 pieds ha-1 en zone périphérique. Le nombre de jeunes varie suivant les zones. Les plus fortes valeurs ont été enregistrées dans la zone clôturée (302 tiges ha-1) et en zone périphérique (33 tiges ha-1). Ces résultats attestent que la zone périphérique est plus menacée. Toutefois, une baisse des rôniers adultes a été constatée. Pour inverser la tendance, un renforcement technique de capacité des parties prenantes est nécessaire.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8509 Les facteurs de dégradation de la réserve de biosphère de Keur Samba DIA et les défis de la gestion communautaire [texte imprimé] / Sira Diallo, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2019 . - 38 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Réserve de Biosphère, Borassus aethiopum Mart., Samba DIA, Facteurs de dégradation, Enquêtes, Inventaire forestier, Gestion communautaire Résumé : La Réserve de biosphère de Samba Dia (RBSD) regorge d’importantes ressources végétales. Ces dernières font qu’elle est confrontée à de nombreuses menaces. L’espèce la plus visée par les populations est le rônier (Borassus aethiopum Mart.). La présente étude vise à apporter une contribution à une meilleure connaissance de l’état actuel de la réserve afin de développer des stratégies de gestion durables. Pour réaliser ce travail, des enquêtes ont été réalisées puis complétées par un inventaire forestier de la végétation ligneuse. A cet effet, un questionnaire a été administré à cent quarante-cinq (145) ménages sur les 1469 ménages, soit un échantillonnage stratifié de 10%. La méthodologie d’inventaire est l’échantillonnage stratifié aléatoire analysant 216 placettes de 50 m x 50 m, 48 dans la zone clôturée et 168 dans la zone périphérique. Les résultats de l’enquête ont montré que les facteurs de dégradation sont : les coupes (87%), suivie de la salinisation des terres (43,2%), la divagation des animaux (41,8%), la secheresse (30,8%), la pression démographique (24,7%), la baisse pluviométrique (15,8%), le braconnage (12,3%), et enfin les feux de brousses (5,5%). Les résultats de l’inventaire ont montré que les plus fortes densités sont observées au niveau de la zone clôturée (87 tiges ha-1) comparée à la zone périphérique (11 tiges ha-1). La régénération naturelle suit la même dynamique avec des densités de 663 tiges ha-1 dans la zone clôturée et 75 tiges ha-1 dans la zone périphérique. La densité de Borassus aethiopum Mart. adulte est de 29 tiges ha-1 en zone clôturée et 7 pieds ha-1 en zone périphérique. Le nombre de jeunes varie suivant les zones. Les plus fortes valeurs ont été enregistrées dans la zone clôturée (302 tiges ha-1) et en zone périphérique (33 tiges ha-1). Ces résultats attestent que la zone périphérique est plus menacée. Toutefois, une baisse des rôniers adultes a été constatée. Pour inverser la tendance, un renforcement technique de capacité des parties prenantes est nécessaire.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003778 F034 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003778 b F034 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Les feux de brousse : propositions d’action de lutte en région sahélienne : exemple du département de Linguère (Séngal) / Moctar Diphane
Titre : Les feux de brousse : propositions d’action de lutte en région sahélienne : exemple du département de Linguère (Séngal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Moctar Diphane, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1989 Importance : 80 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9459 Les feux de brousse : propositions d’action de lutte en région sahélienne : exemple du département de Linguère (Séngal) [texte imprimé] / Moctar Diphane, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1989 . - 80 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01541 b F010 DIP Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible La foresterie rurale dans le centre – Est : bilan et perspective du projet d’aménagement et de reboisemet des forêts du centre – Est (PARCE) : Kaffrine / Bournabé Chanyabo Yaddou
Titre : La foresterie rurale dans le centre – Est : bilan et perspective du projet d’aménagement et de reboisemet des forêts du centre – Est (PARCE) : Kaffrine Type de document : texte imprimé Auteurs : Bournabé Chanyabo Yaddou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1989 Importance : 55 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9424 La foresterie rurale dans le centre – Est : bilan et perspective du projet d’aménagement et de reboisemet des forêts du centre – Est (PARCE) : Kaffrine [texte imprimé] / Bournabé Chanyabo Yaddou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1989 . - 55 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1989
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01506 b F004 YAD Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible La Forêt péri – urbaine de Mbao doit – elle disparaitre ? / Mahmoudane Fall
Titre : La Forêt péri – urbaine de Mbao doit – elle disparaitre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Mahmoudane Fall, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1982 Importance : 41 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1982 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9434 La Forêt péri – urbaine de Mbao doit – elle disparaitre ? [texte imprimé] / Mahmoudane Fall, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1982 . - 41 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1982
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01516 b F004 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Forêts communautaires dans le bassin arachidier : Quelles stratégies locales pour une gestion réussie ? / Gotte Dieng
Titre : Forêts communautaires dans le bassin arachidier : Quelles stratégies locales pour une gestion réussie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Gotte Dieng, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2008 Importance : 57 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études :Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2008 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Forêt communautaire Gestion forestière Gouvernance locale Approche participative Ressources naturelles Gestion participative Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7367 Forêts communautaires dans le bassin arachidier : Quelles stratégies locales pour une gestion réussie ? [texte imprimé] / Gotte Dieng, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2008 . - 57 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études :Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2008 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002766 F002 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Forêts régionales, innovation majeure pour le reverdissement des terres. Enjeux / Bilan et perspectives : Cas de la région de Diourbel / Serigne Mourtalla Seck
Titre : Forêts régionales, innovation majeure pour le reverdissement des terres. Enjeux / Bilan et perspectives : Cas de la région de Diourbel Type de document : texte imprimé Auteurs : Serigne Mourtalla Seck, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2006 Importance : 42 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Forêts régionales Désertification Diversité biologique Régénération naturelle activités socio - économiques Environnement Diourbel Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7487 Forêts régionales, innovation majeure pour le reverdissement des terres. Enjeux / Bilan et perspectives : Cas de la région de Diourbel [texte imprimé] / Serigne Mourtalla Seck, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2006 . - 42 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2006 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002644 F002 SEC Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Genre et gestion des ressources naturelles dans le bassin arachidier : rôle et place de la femme dans la gestion du terroir de keur Diogou Ndiaye – Thiès / Siré Dabo
Titre : Genre et gestion des ressources naturelles dans le bassin arachidier : rôle et place de la femme dans la gestion du terroir de keur Diogou Ndiaye – Thiès Type de document : texte imprimé Auteurs : Siré Dabo, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1997 Importance : 70 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1997 ]
Langues : Français (fre) Mots-clés : Genre Gestion des ressources naturelles Bassin arachidier Femme Gestion des terroirs Keur Diogou Ndiaye Thiès Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7220 Genre et gestion des ressources naturelles dans le bassin arachidier : rôle et place de la femme dans la gestion du terroir de keur Diogou Ndiaye – Thiès [texte imprimé] / Siré Dabo, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1997 . - 70 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Eaux et forêts : ISFAR ex ENCR : 1997 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 001831 F026 DAB Livre ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Genre et impact des foyers améliorés sur la gestion des ressources naturelles des terroirs villageois de la communauté rurale de Ngohé / Soulé Baoro, Gildas Serge Kévin
Titre : Genre et impact des foyers améliorés sur la gestion des ressources naturelles des terroirs villageois de la communauté rurale de Ngohé Type de document : texte imprimé Auteurs : Soulé Baoro, Gildas Serge Kévin, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2005 Importance : 57 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2005 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Foyers améliorés Genre Ressources naturelles Impact social Terroir villageois Ngohé Diourbel PAGF2 Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7592 Genre et impact des foyers améliorés sur la gestion des ressources naturelles des terroirs villageois de la communauté rurale de Ngohé [texte imprimé] / Soulé Baoro, Gildas Serge Kévin, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2005 . - 57 p. : ill. couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2005 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002548 F026 SOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible