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Analyse des propositions de valorisation agronomique des sols salés : Cas du PRASS II et du PAGERNA / Diop, Mamadou
Titre : Analyse des propositions de valorisation agronomique des sols salés : Cas du PRASS II et du PAGERNA Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Mamadou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2001 Importance : 69 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [ Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2001 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols salés Valorisation des terres Analyse des propositions Valorisation agronomique PRASS II PAGERNA Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6942 Analyse des propositions de valorisation agronomique des sols salés : Cas du PRASS II et du PAGERNA [texte imprimé] / Diop, Mamadou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2001 . - 69 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[ Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2001 ]
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002254 A009 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack / Mouhamed Sarr
Titre : Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack Type de document : texte imprimé Auteurs : Mouhamed Sarr, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés Sols acides Tamarix aphylla (L.) Densité de plantation Croissance Régénération Salinisation Ndiafatte Kaolack Résumé : La salinisation croissante des terres constatée dans le bassin du Sine Saloum depuis des années, a pris une ampleur qui dépasse de loin les capacités actuelles de récupération et de valorisation de ces terres par les populations. Face à ce constat l’ISRA et l’Africare avec l’appui financier du CRDI ont mis en œuvre un Projet de Restauration Agronomique des Sols salés dans la région de Kaolack depuis 1998. Une espèce ligneuse exotique a été introduite dans le dispositif expérimental de ce projet, en milieu réel, pour servir principalement de pompe biologique dans le cadre d’une lutte biomécanique contre la salinisation des sols. Le dispositif expérimental est en blocs complet randomisés avec trois traitements, un témoin et cinq répétitions. Les traitements sont les trois niveaux de densité de plantation (3 x 4 m, 4 x 4 m et 4 x 5 m). Dix ans plus tard, il est important de faire le point sur le comportement de l’espèce et ses effets sur la salinité et l’acidité de ces sols. Un inventaire systématique des individus plantés a été conduit. Les variables suivies sont le diamètre, la hauteur, le nombre de tiges, la salinité et l’acidité des parcelles expérimentales. Les mesures ont été faites dans trois sites de la région de Kaolack : Khalambass, Kahone et Ndiaffate. L’analyse des données montre que la densité de plantation a des effets directs sur la croissance de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. et indirects sur la salinité et l’acidité des sols. Le traitement qui semble donner les meilleurs résultats en termes de réussite, de croissance et de lutte contre l’acidité et la salinité est le traitement 4 x 5 m. Une différence significative a été notée entre les traitements sur la croissance en hauteur et en diamètre et sur la régénération en générale. Cette croissance en milieu salé est de loin moins importante que celle observée en milieu non salé (Khalambass), 4 fois plus élevée. Une mesure des paramètres chimiques semble nécessaire à la fin de la saison sèche pour évaluer l’amplitude de leurs variations saisonnières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6778 Évaluation des performances de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. sur sols salés sulfatés acides du terroir de Ndiaffate, Kaolack [texte imprimé] / Mouhamed Sarr, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
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Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés Sols acides Tamarix aphylla (L.) Densité de plantation Croissance Régénération Salinisation Ndiafatte Kaolack Résumé : La salinisation croissante des terres constatée dans le bassin du Sine Saloum depuis des années, a pris une ampleur qui dépasse de loin les capacités actuelles de récupération et de valorisation de ces terres par les populations. Face à ce constat l’ISRA et l’Africare avec l’appui financier du CRDI ont mis en œuvre un Projet de Restauration Agronomique des Sols salés dans la région de Kaolack depuis 1998. Une espèce ligneuse exotique a été introduite dans le dispositif expérimental de ce projet, en milieu réel, pour servir principalement de pompe biologique dans le cadre d’une lutte biomécanique contre la salinisation des sols. Le dispositif expérimental est en blocs complet randomisés avec trois traitements, un témoin et cinq répétitions. Les traitements sont les trois niveaux de densité de plantation (3 x 4 m, 4 x 4 m et 4 x 5 m). Dix ans plus tard, il est important de faire le point sur le comportement de l’espèce et ses effets sur la salinité et l’acidité de ces sols. Un inventaire systématique des individus plantés a été conduit. Les variables suivies sont le diamètre, la hauteur, le nombre de tiges, la salinité et l’acidité des parcelles expérimentales. Les mesures ont été faites dans trois sites de la région de Kaolack : Khalambass, Kahone et Ndiaffate. L’analyse des données montre que la densité de plantation a des effets directs sur la croissance de Tamarix aphylla (L.) H.Karst. et indirects sur la salinité et l’acidité des sols. Le traitement qui semble donner les meilleurs résultats en termes de réussite, de croissance et de lutte contre l’acidité et la salinité est le traitement 4 x 5 m. Une différence significative a été notée entre les traitements sur la croissance en hauteur et en diamètre et sur la régénération en générale. Cette croissance en milieu salé est de loin moins importante que celle observée en milieu non salé (Khalambass), 4 fois plus élevée. Une mesure des paramètres chimiques semble nécessaire à la fin de la saison sèche pour évaluer l’amplitude de leurs variations saisonnières.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002911 F022 SAR Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate / Younousse Diédhiou
Titre : Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate Type de document : texte imprimé Auteurs : Younousse Diédhiou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés acides Recherche forestière Espèces locales Keur Mactar N’diaffate Acacia seyal Combretum glutinosum Acacia laeta Prosopis juliflora Sclerocarya birrea Faidherbia albida Cordyla pinnata Sterculia setigera Résumé : Au Sénégal la salinisation des sols a atteint des proportions inquiétantes. Ce processus de dégradation des sols est accentué par le déficit pluviométrique qui ne cesse de perdurer. Il se manifeste soit par la migration des sels par remontées capillaires de la solution du sol ou de la nappe salée peu profonde sous l’action de l’évaporation, soit par l’avancée de la langue salée, soit par l’accumulation des limons salés transportés par le vent. Elle a occasionné la perte d’importantes superficies cultivables. Ces dernières seraient estimées au Sénégal à environ 1.700 000 ha et touchent les zones les plus « agricoles » de notre pays. Il s’agit du Delta de la vallée du fleuve Sénégal (Zone des aménagements hydro agricoles), la Casamance (zone forestière et agricole), le Sine – Saloum (Bassin arachidier) et les Niayes (zone de production maraichère). Les conséquences sont multiples mais les principales sont : le recul des couvert végétal avec ses corollaires, la baisse des revenus des paysans, la pauvreté qui gagne progressivement les campagnes et mêmes les villes. L’unique recours des populations pour améliorer leurs revenus est l‘exploitation abusive des ressources forestières, ce qui anéanti tous les efforts de reboisement entrepris. Pour inverser cette tendance, la valorisation de ces terres marginales s’impose. Plusieurs techniques furent expérimentées aussi bien par les producteurs que par le service forestier. De ces techniques, le reboisement fut privilégié. Les plantations enregistrèrent de bons taux de reprise et suscitèrent beaucoup d’espoir. Cependant quelques années après, le taux de mortalité a considérablement augmenté et l’espoir s’estompait. Le service forestier vue la complicité du milieu et des échecs enregistrés s’appuie sur la recherche forestière pour la mise en valeur de ces milieux. Plusieurs sites furent expérimentés de 1966 à 1968 dont celui de Keur Mactar, N’diaffate. Cette station est constituée de deux milieux différents, le milieu à Acacia seyal couvrant une superficie de 46 hectares et celui à Combretum glutinosum avec une superficie de 8 hectares, soit un total de 54 hectares et abritant plus de 70 essences locales et exotiques testées de 1971 à 1984. Les meilleurs taux de survie sont enregistrés sur les bourrelets argilo – sableux avec Acacia laeta, les bordures des bas – fonds avec Prosopis juliflora, les milieux à Acacia seyal ont donné de bons résultats surtout des espèces comme Sclerocarya birrea aussi bien en rosette qu’en barbatelles et les acacia sauf Faidherbia albida qui a disparu après quelques années. Dans le milieu Combretum les Acacia introduits n’ont pas donné de bons résultats. Cependant des espèces comme Cordyla pinnata et Sterculia setigera ont donne les meilleurs taux de réussite (30 à 40%). La régénération naturelle est variée avec Acacia laeta plus abondant suivi Acacia seyal et de Combretum glutinosum. Pour la fréquence des espèces, Acacia seyal a obtenu le meilleur taux confirmant ainsi que ce premier site est un milieu à Acacia seyal. En dehors et sous couvert ligneux, la biomasse herbacée connait un développement important assurant ainsi une couverture au sol. C’est un résultat intéressant cependant avec la défectuosité de la clôture la station est devenue un lieu de pâture. Les résultats obtenus ont permis de disposer une gamme variée et diversifiée de plants susceptibles de se développer sur terre salée, pouvant contribuer à la satisfaction des besoins des populations en bois d’énergie d’une part et d’autre part de réduire la pression sur les ressources forestières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6713 Évaluation des espèces locales introduites en milieu salé. Cas de la station de Keur-Matar Communauté Rurale de Ndiaffate [texte imprimé] / Younousse Diédhiou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sols salés Sols sulfatés acides Recherche forestière Espèces locales Keur Mactar N’diaffate Acacia seyal Combretum glutinosum Acacia laeta Prosopis juliflora Sclerocarya birrea Faidherbia albida Cordyla pinnata Sterculia setigera Résumé : Au Sénégal la salinisation des sols a atteint des proportions inquiétantes. Ce processus de dégradation des sols est accentué par le déficit pluviométrique qui ne cesse de perdurer. Il se manifeste soit par la migration des sels par remontées capillaires de la solution du sol ou de la nappe salée peu profonde sous l’action de l’évaporation, soit par l’avancée de la langue salée, soit par l’accumulation des limons salés transportés par le vent. Elle a occasionné la perte d’importantes superficies cultivables. Ces dernières seraient estimées au Sénégal à environ 1.700 000 ha et touchent les zones les plus « agricoles » de notre pays. Il s’agit du Delta de la vallée du fleuve Sénégal (Zone des aménagements hydro agricoles), la Casamance (zone forestière et agricole), le Sine – Saloum (Bassin arachidier) et les Niayes (zone de production maraichère). Les conséquences sont multiples mais les principales sont : le recul des couvert végétal avec ses corollaires, la baisse des revenus des paysans, la pauvreté qui gagne progressivement les campagnes et mêmes les villes. L’unique recours des populations pour améliorer leurs revenus est l‘exploitation abusive des ressources forestières, ce qui anéanti tous les efforts de reboisement entrepris. Pour inverser cette tendance, la valorisation de ces terres marginales s’impose. Plusieurs techniques furent expérimentées aussi bien par les producteurs que par le service forestier. De ces techniques, le reboisement fut privilégié. Les plantations enregistrèrent de bons taux de reprise et suscitèrent beaucoup d’espoir. Cependant quelques années après, le taux de mortalité a considérablement augmenté et l’espoir s’estompait. Le service forestier vue la complicité du milieu et des échecs enregistrés s’appuie sur la recherche forestière pour la mise en valeur de ces milieux. Plusieurs sites furent expérimentés de 1966 à 1968 dont celui de Keur Mactar, N’diaffate. Cette station est constituée de deux milieux différents, le milieu à Acacia seyal couvrant une superficie de 46 hectares et celui à Combretum glutinosum avec une superficie de 8 hectares, soit un total de 54 hectares et abritant plus de 70 essences locales et exotiques testées de 1971 à 1984. Les meilleurs taux de survie sont enregistrés sur les bourrelets argilo – sableux avec Acacia laeta, les bordures des bas – fonds avec Prosopis juliflora, les milieux à Acacia seyal ont donné de bons résultats surtout des espèces comme Sclerocarya birrea aussi bien en rosette qu’en barbatelles et les acacia sauf Faidherbia albida qui a disparu après quelques années. Dans le milieu Combretum les Acacia introduits n’ont pas donné de bons résultats. Cependant des espèces comme Cordyla pinnata et Sterculia setigera ont donne les meilleurs taux de réussite (30 à 40%). La régénération naturelle est variée avec Acacia laeta plus abondant suivi Acacia seyal et de Combretum glutinosum. Pour la fréquence des espèces, Acacia seyal a obtenu le meilleur taux confirmant ainsi que ce premier site est un milieu à Acacia seyal. En dehors et sous couvert ligneux, la biomasse herbacée connait un développement important assurant ainsi une couverture au sol. C’est un résultat intéressant cependant avec la défectuosité de la clôture la station est devenue un lieu de pâture. Les résultats obtenus ont permis de disposer une gamme variée et diversifiée de plants susceptibles de se développer sur terre salée, pouvant contribuer à la satisfaction des besoins des populations en bois d’énergie d’une part et d’autre part de réduire la pression sur les ressources forestières.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002953 F022 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) / Faye, Papa Mor
Titre : Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) Type de document : texte imprimé Auteurs : Faye, Papa Mor, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 44 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Récupération de terres Vallée aménagée Sols salés Ndoff Stratification Salinité Végétation Régénération Valorisation agricole Résumé : Depuis la mise en place de la digue anti-sel en 2002 suivie de la plantation des espèces ligneuses de 2003 à 2004 suivant les unités morpho-pédologiques (UMP) dans les deux vallées de Ndoff, aucune évaluation globale n’a été faite sur l’effet de ces réalisations sur les sols, les eaux souterraines et la végétation. Aussi, sur la base d’une stratification selon les UMP, un échantillonnage des sols, des eaux et de la végétation a été entrepris. Pour ce faire, les coordonnées GPS de toutes les UMP ont été enregistrées et projetées sur Google Earth. Cela a permis de subdiviser les deux vallées en six (6) zones homogènes. Pour évaluer l’effet de ces aménagements sur la végétation, un inventaire statistique stratifié a été adopté. Ainsi, un taux de sondage de 1,5% est appliqué sur l’ensemble des zones, ce qui donne un total de deux cent vingt six (226) placettes carrées de dix mètres de côté (10 m). Et, pour chaque placette, les variables suivantes sont mesurées : (i) diamètre à hauteur de poitrine (cm), (ii) la hauteur des arbres (m) et (iii) le nombre de régénérations. En plus de ces variables mesurées, les coordonnées des plages de régénération séminale sont géo-référencées de même que leurs semenciers. L’aménagement mécanique (barrage anti-sel) des vallées permet la diminution de la salinité du sol et de la nappe phréatique. Il favorise la reconstitution de la végétation et des régénérations en tannes arbustives et à une moindre mesure en tannes herbeuses. Les aménagements mécanique et biologique (plantation d’espèces ligneuses) sont ainsi nécessaires dans le processus de récupération et de valorisation agricole des sols salés.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6056 Evaluation des reboisements sur tannes arbustives et herbeuses des vallées aménagée et non aménagée de Ndoff (Fatick) [texte imprimé] / Faye, Papa Mor, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 44 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Récupération de terres Vallée aménagée Sols salés Ndoff Stratification Salinité Végétation Régénération Valorisation agricole Résumé : Depuis la mise en place de la digue anti-sel en 2002 suivie de la plantation des espèces ligneuses de 2003 à 2004 suivant les unités morpho-pédologiques (UMP) dans les deux vallées de Ndoff, aucune évaluation globale n’a été faite sur l’effet de ces réalisations sur les sols, les eaux souterraines et la végétation. Aussi, sur la base d’une stratification selon les UMP, un échantillonnage des sols, des eaux et de la végétation a été entrepris. Pour ce faire, les coordonnées GPS de toutes les UMP ont été enregistrées et projetées sur Google Earth. Cela a permis de subdiviser les deux vallées en six (6) zones homogènes. Pour évaluer l’effet de ces aménagements sur la végétation, un inventaire statistique stratifié a été adopté. Ainsi, un taux de sondage de 1,5% est appliqué sur l’ensemble des zones, ce qui donne un total de deux cent vingt six (226) placettes carrées de dix mètres de côté (10 m). Et, pour chaque placette, les variables suivantes sont mesurées : (i) diamètre à hauteur de poitrine (cm), (ii) la hauteur des arbres (m) et (iii) le nombre de régénérations. En plus de ces variables mesurées, les coordonnées des plages de régénération séminale sont géo-référencées de même que leurs semenciers. L’aménagement mécanique (barrage anti-sel) des vallées permet la diminution de la salinité du sol et de la nappe phréatique. Il favorise la reconstitution de la végétation et des régénérations en tannes arbustives et à une moindre mesure en tannes herbeuses. Les aménagements mécanique et biologique (plantation d’espèces ligneuses) sont ainsi nécessaires dans le processus de récupération et de valorisation agricole des sols salés.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003443 F022 FAY Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Effets du stress salin sur la germination des graines de Gossypium hirsutum L. / Ndiaye, Adama
Titre : Effets du stress salin sur la germination des graines de Gossypium hirsutum L. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Adama, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 52 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Germination Gossypium hirsutum Salinité Sols salés Salinisation Fatick Bambey NaCl Résumé : Au Sénégal, la superficie des sols affectés par la salinité ne cesse d’augmenter d’année en année. Cette salinisation particulièrement importante dans les régions tropicales et méditerranéennes est liée aux conditions pédoclimatiques et à l’activité humaine. Pour valoriser ces terres, des actions de recherche ont contribué à améliorer les stratégies de récupération en associant la lutte mécanique (barrage anti-sel, digues et diguettes) à la lutte biologique (amendements organiques et introduction d’espèces halophiles). La présente étude est réalisée dans l’objectif d’expérimenter le milieu le plus favorable et l’effet du stress salin sur la germination des graines de Gossypium hirsutum en milieu contrôlé (laboratoire) et en milieu réel (tannes). Les graines de Gossypium hirsutum sont semées dans des bacs de germination et arrosées avec de l’eau salée dont la concentration varie de 0 à 11,68 g.l-1 et suivie pendant 15 jours avant de faire des semis directs sur les tannes du village de Ndoff (Fatick). Les résultats préliminaires montrent que la germination est plus favorable sur le substrat. L’application des doses de sel montre que la germination des graines de Gossypium hirsutum est inhibée en fonction des doses croissantes de NaCl. La germination est évaluée par le taux cumulé de graines germées durant une période de 15 jours. En outre, le taux de germination est calculé journaliérement ou tous les deux jours. La germination est maximale
dans le témoin (0 g.l-1) et diminue avec l’augmentation de la concentration en sel du milieu expérimental.
L’augmentation de la concentration en sel ne retarde pas la germination bien qu’elle diminue le taux de germination et réduit le pourcentage final de germination. La concentration de sel varie entre 0,34 et 1,38 g.l-1 pour les tannes arbustives, 1,38 et 2,76 g.l-1 pour les tannes herbeuses et supérieures à 2,76 g.l-1 pour les tannes vives.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6307 Effets du stress salin sur la germination des graines de Gossypium hirsutum L. [texte imprimé] / Ndiaye, Adama, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 52 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Germination Gossypium hirsutum Salinité Sols salés Salinisation Fatick Bambey NaCl Résumé : Au Sénégal, la superficie des sols affectés par la salinité ne cesse d’augmenter d’année en année. Cette salinisation particulièrement importante dans les régions tropicales et méditerranéennes est liée aux conditions pédoclimatiques et à l’activité humaine. Pour valoriser ces terres, des actions de recherche ont contribué à améliorer les stratégies de récupération en associant la lutte mécanique (barrage anti-sel, digues et diguettes) à la lutte biologique (amendements organiques et introduction d’espèces halophiles). La présente étude est réalisée dans l’objectif d’expérimenter le milieu le plus favorable et l’effet du stress salin sur la germination des graines de Gossypium hirsutum en milieu contrôlé (laboratoire) et en milieu réel (tannes). Les graines de Gossypium hirsutum sont semées dans des bacs de germination et arrosées avec de l’eau salée dont la concentration varie de 0 à 11,68 g.l-1 et suivie pendant 15 jours avant de faire des semis directs sur les tannes du village de Ndoff (Fatick). Les résultats préliminaires montrent que la germination est plus favorable sur le substrat. L’application des doses de sel montre que la germination des graines de Gossypium hirsutum est inhibée en fonction des doses croissantes de NaCl. La germination est évaluée par le taux cumulé de graines germées durant une période de 15 jours. En outre, le taux de germination est calculé journaliérement ou tous les deux jours. La germination est maximale
dans le témoin (0 g.l-1) et diminue avec l’augmentation de la concentration en sel du milieu expérimental.
L’augmentation de la concentration en sel ne retarde pas la germination bien qu’elle diminue le taux de germination et réduit le pourcentage final de germination. La concentration de sel varie entre 0,34 et 1,38 g.l-1 pour les tannes arbustives, 1,38 et 2,76 g.l-1 pour les tannes herbeuses et supérieures à 2,76 g.l-1 pour les tannes vives.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6307 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003138 F022 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Évaluation des plantations de Eucalyptus dans la station de Keur Mactar Communauté Rurale de Ndiaffate (Kaolack) / Bonna, Ange Bernard Germain
PermalinkContribution au suivi de la population d’ oedaleus senegalensis pour le calibrage du bio-modèle Sahel Eco à Ouadiour, Kaffrine et Mbacké / Mamadou Cellou Sadio Touré
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