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Bilan sanitaire et zootechnique des chèvres laitières de race Majorera, élevées à la station ISRA de Sangalkam / Bâ, Pape Djiby
Titre : Bilan sanitaire et zootechnique des chèvres laitières de race Majorera, élevées à la station ISRA de Sangalkam Type de document : texte imprimé Auteurs : Bâ, Pape Djiby, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 71 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bilan sanitaire Bilan zootechnique Chèvres laitières Stabulation ISRA Sangalkam Tropismes multiples Prévalence Majorera Résumé : Le Sénégal à l’instar de la plupart des pays en développement connait un déficit en lait et produits laitiers. Ainsi, l’Etat sénégalais souhaite améliorer la production de lait avec implication de la recherche représentée par les institutions comme l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles(ISRA) et les Universités. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’acquisition de chèvres laitières de race Majorera en 2011 pour leur introduction au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le Sénégal et l’Espagne à travers des institutions comme l’ISRA et l’Université de Thiès. La présente étude, fait un premier bilan de cette introduction après une année d’élevage, à travers la situation sanitaire et les performances reproductives, pondérales et laitières de la race en question. Les animaux sont vaccinés contre la peste des petits ruminants (PPR), la chlamydiose, la salmonellose, l’entérotoxémie et la clostridiose. Les animaux sont déparasités avec le TRYPAMIDIUM ND, le FENBENDAZOLE ND, le VECTOCIDE ND, le SURVIDIN ND, le DIPACXON ND et l’IVOMEC D ND. Les animaux sont élevés en stabulation libre. Ainsi, 7 jeunes composés 5 chevreaux et 2 chevrettes dont l’âge moyen est de 6 mois constituent lot 1. Le lot 2 est composé de 10 chèvres dont l’âge moyen est de 18 mois. Le lot 3 est composé de 4 boucs dont l’âge moyen est de 20 mois. La ration journalière moyenne est constituée d’un concentré distribué à 750g/chèvre/jour, 500g/jeune/jour et de 700g/bouc/jour, de fane d’arachide en raison de 600g/chèvre/jour, 500g/jeune/jour et 600g/bouc/jour et de paille de riz à volonté. Le type de reproduction utilisé est la saillie naturelle avec l’introduction d’un bouc dans le lot des chèvres adultes. Les premiers résultats montrent que les maladies digestives ou métaboliques et celles à tropismes multiples (l’Acidose métabolique et la mycoplasmose) sont les dominantes avec respectivement en moyenne un taux de 40,9% et 27,27%. La production laitière moyenne par jour et par chèvre s’élève à 1,75 ± 0, 25 litres. Les chevreaux Majorera pèsent en moyenne 2,6 kg à la naissance, mais ce poids est très variables, notamment selon le sexe. Le poids à la naissance est légèrement supérieur chez le male avec 2,6 ± 0,7 kg contre 1,8 ± 0,6 kg chez la femelle. Depuis l’arrivée des animaux en décembre 2011, 10 naissances viables ont été enregistrées composées de 7 mâles et 3 femelles. Le poids vif moyen à l’âge adulte est de 55 ± 5 kg pour un mâle et 38 ± 2 kg pour une femelle. La hauteur au garrot est de 90 ± 5 cm pour un mâle et 78 ± 3 cm pour une femelle. La longueur du corps est de 134 ± 6 cm pour un mâle et 125 ± 5 cm pour une femelle. Le tour de poitrine est de 96 ± 5 cm pour un mâle et 88 ± 3 cm pour une femelle. Les pesées effectués sur les animaux adultes donnent en moyen un gain de Poids quotidien de 130 ± 30g/jours et varie selon le sexe, l’individu et l’état physiologique. Le nombre de mise bas est égal à 14 dont 10 naissances vivantes. Le nombre de mortalité adultes est égal à 2 femelles adultes. Le troupeau actuel compte 14 adultes vivants et 10 jeunes.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6697 Bilan sanitaire et zootechnique des chèvres laitières de race Majorera, élevées à la station ISRA de Sangalkam [texte imprimé] / Bâ, Pape Djiby, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 71 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bilan sanitaire Bilan zootechnique Chèvres laitières Stabulation ISRA Sangalkam Tropismes multiples Prévalence Majorera Résumé : Le Sénégal à l’instar de la plupart des pays en développement connait un déficit en lait et produits laitiers. Ainsi, l’Etat sénégalais souhaite améliorer la production de lait avec implication de la recherche représentée par les institutions comme l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles(ISRA) et les Universités. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’acquisition de chèvres laitières de race Majorera en 2011 pour leur introduction au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le Sénégal et l’Espagne à travers des institutions comme l’ISRA et l’Université de Thiès. La présente étude, fait un premier bilan de cette introduction après une année d’élevage, à travers la situation sanitaire et les performances reproductives, pondérales et laitières de la race en question. Les animaux sont vaccinés contre la peste des petits ruminants (PPR), la chlamydiose, la salmonellose, l’entérotoxémie et la clostridiose. Les animaux sont déparasités avec le TRYPAMIDIUM ND, le FENBENDAZOLE ND, le VECTOCIDE ND, le SURVIDIN ND, le DIPACXON ND et l’IVOMEC D ND. Les animaux sont élevés en stabulation libre. Ainsi, 7 jeunes composés 5 chevreaux et 2 chevrettes dont l’âge moyen est de 6 mois constituent lot 1. Le lot 2 est composé de 10 chèvres dont l’âge moyen est de 18 mois. Le lot 3 est composé de 4 boucs dont l’âge moyen est de 20 mois. La ration journalière moyenne est constituée d’un concentré distribué à 750g/chèvre/jour, 500g/jeune/jour et de 700g/bouc/jour, de fane d’arachide en raison de 600g/chèvre/jour, 500g/jeune/jour et 600g/bouc/jour et de paille de riz à volonté. Le type de reproduction utilisé est la saillie naturelle avec l’introduction d’un bouc dans le lot des chèvres adultes. Les premiers résultats montrent que les maladies digestives ou métaboliques et celles à tropismes multiples (l’Acidose métabolique et la mycoplasmose) sont les dominantes avec respectivement en moyenne un taux de 40,9% et 27,27%. La production laitière moyenne par jour et par chèvre s’élève à 1,75 ± 0, 25 litres. Les chevreaux Majorera pèsent en moyenne 2,6 kg à la naissance, mais ce poids est très variables, notamment selon le sexe. Le poids à la naissance est légèrement supérieur chez le male avec 2,6 ± 0,7 kg contre 1,8 ± 0,6 kg chez la femelle. Depuis l’arrivée des animaux en décembre 2011, 10 naissances viables ont été enregistrées composées de 7 mâles et 3 femelles. Le poids vif moyen à l’âge adulte est de 55 ± 5 kg pour un mâle et 38 ± 2 kg pour une femelle. La hauteur au garrot est de 90 ± 5 cm pour un mâle et 78 ± 3 cm pour une femelle. La longueur du corps est de 134 ± 6 cm pour un mâle et 125 ± 5 cm pour une femelle. Le tour de poitrine est de 96 ± 5 cm pour un mâle et 88 ± 3 cm pour une femelle. Les pesées effectués sur les animaux adultes donnent en moyen un gain de Poids quotidien de 130 ± 30g/jours et varie selon le sexe, l’individu et l’état physiologique. Le nombre de mise bas est égal à 14 dont 10 naissances vivantes. Le nombre de mortalité adultes est égal à 2 femelles adultes. Le troupeau actuel compte 14 adultes vivants et 10 jeunes.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002938 E006 BAP Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Détermination de la dose optimale d'engrais minéral 10-10-20 sur cinq (05) variétés de Bissap (Hibiscus sabdariffa L.), pour la production de calices et de feuilles, dans la zone des Niayes de Sangalkam / Cheikh Ndiaye
Titre : Détermination de la dose optimale d'engrais minéral 10-10-20 sur cinq (05) variétés de Bissap (Hibiscus sabdariffa L.), pour la production de calices et de feuilles, dans la zone des Niayes de Sangalkam Type de document : texte imprimé Auteurs : Cheikh Ndiaye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 44 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hibiscus sabdariffa L. Bissap Fumure minérale Sangalkam Bloc de Fisher Calices Semences Fertilisation Variétés de bissap Résumé : Le Bissap (Hibiscus sabdariffa L.) occupe une place de choix dans l’économie rurale au Sénégal. Dans un souci d’améliorer la production de cette plante avec un minimum d’intrants. Un essai de fertilisation a été mise en place. Notre expérimentation vise à évaluer l’efficacité de trois doses différentes la fumure minérale 10 - 10 - 20 pour augmenter le rendement en feuilles, calices et semences de cinq (05) variétés de Bissap dont de types vert (VERT CDH , L22 ,L24) et rouge (KOOR CDH,VIMTO) : normale DN (300kg/ha) , DN-25%(225kg/ha) et DN+25%(375kg/ha) dans les conditions usuelles de production au champ. Notre essai a été effectué à la station de Sangalkam suivant un dispositif en Bloc de Fisher. Quatorze(14) variables sont mesurées. Globalement nos résultats ont montré que le Bissap répond bien à la fertilisation minérale et ont permis d’identifier que la DN+25% était optimale pour la variété rouge VIMTO en production de calices rouges , la variété KOOR CDH en feuilles à 30 JAS, la DN pour la variété verte L22 en production de calices verts et feuilles à 30 JAS .La variété VERT CDH a donné la plus grande quantité de semences de type vert à la dose de DN, suivie de la variété L24 avec la dose DN+25%.Pour les semences de type rouge ,la variété KOOR CDH en a fourni la meilleure production à la dose DN-25%.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6788 Détermination de la dose optimale d'engrais minéral 10-10-20 sur cinq (05) variétés de Bissap (Hibiscus sabdariffa L.), pour la production de calices et de feuilles, dans la zone des Niayes de Sangalkam [texte imprimé] / Cheikh Ndiaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 44 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hibiscus sabdariffa L. Bissap Fumure minérale Sangalkam Bloc de Fisher Calices Semences Fertilisation Variétés de bissap Résumé : Le Bissap (Hibiscus sabdariffa L.) occupe une place de choix dans l’économie rurale au Sénégal. Dans un souci d’améliorer la production de cette plante avec un minimum d’intrants. Un essai de fertilisation a été mise en place. Notre expérimentation vise à évaluer l’efficacité de trois doses différentes la fumure minérale 10 - 10 - 20 pour augmenter le rendement en feuilles, calices et semences de cinq (05) variétés de Bissap dont de types vert (VERT CDH , L22 ,L24) et rouge (KOOR CDH,VIMTO) : normale DN (300kg/ha) , DN-25%(225kg/ha) et DN+25%(375kg/ha) dans les conditions usuelles de production au champ. Notre essai a été effectué à la station de Sangalkam suivant un dispositif en Bloc de Fisher. Quatorze(14) variables sont mesurées. Globalement nos résultats ont montré que le Bissap répond bien à la fertilisation minérale et ont permis d’identifier que la DN+25% était optimale pour la variété rouge VIMTO en production de calices rouges , la variété KOOR CDH en feuilles à 30 JAS, la DN pour la variété verte L22 en production de calices verts et feuilles à 30 JAS .La variété VERT CDH a donné la plus grande quantité de semences de type vert à la dose de DN, suivie de la variété L24 avec la dose DN+25%.Pour les semences de type rouge ,la variété KOOR CDH en a fourni la meilleure production à la dose DN-25%.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002881 A010 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Problématique de l’aviculture semi-industrielle autour de Sangalkam : Etat des lieux et besoins en recherche-développement / Séga Ndao
Titre : Problématique de l’aviculture semi-industrielle autour de Sangalkam : Etat des lieux et besoins en recherche-développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Séga Ndao, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 61 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aviculture périurbaine Formation Conseil Encadrement Filière avicole ISRA Sangalkam LNERV Aviculture semi-industrielle Résumé : L’aviculture dite moderne revêt une importance capitale. En effet, l’élevage des races exotiques (dans des conditions intensives ou semi-intensives), participa à la satisfaction de la demande en protéines d’origines animales d’une population en forte croissance. Cependant, son épanouissement est retardé par des facteurs tels que le manque d’encadrement rapproché et la formation des éleveurs. Ceci peut induire des conséquences préjudiciables pour la filière avicole. Cette étude initiée par le Laboratoire National de l’Elevage et de Recherches Vétérinaires (LNERV) de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), a pour objectif de faire le diagnostic de l’aviculture semi-industrielle menée dans la communauté rurale de Sangalkam, afin d’estimer les besoins en formation, conseil et encadrement. Plus spécifiquement, il s’agit d’identifier les aviculteurs modernes dans la zone d’étude et leurs méthodes de conduite, de connaître leur niveau de formation et d’organisation, d’apprécier leurs besoins en formation, suivi et conseil. Les enquêtes montrent que 61% des fermes font l’élevage des poulets de chair, le tiers (30%) élève des poules pondeuses et 9% s’adonnent à l’élevage mixte. L’âge d’abattage des poulets de chair est de 45±6 jours pour un poids moyen de 1,85±0,13 kg. Quant à la spéculation de poule pondeuse, la production d’œufs de consommation est en moyenne de 246±52 œufs par poule et par an, avec un effectif moyen de 1023±677 poules de l’échantillon étudié.
L’orientation des bâtiments au gré de l’exploitant, représente 23% alors que 28% des producteurs ont recouru au service d’un technicien d’élevage. Le suivi des bandes est confié à un ouvrier dans 81% des cas, contre 18% par le propriétaire. Globalement, tous les élevages enquêtés ont une prophylaxie médicale. Parmi ces ouvriers qui assurent le rappel de vaccination, 96% n’ont subi aucune formation en aviculture. Ce qui pourrait expliquer la recrudescence des pathologies telles que le Gumboro et les coccidioses dans la presque totalité des fermes. Les services vétérinaires procurent l’encadrement à 75% des producteurs tandis que le quart (25%) ne bénéficie pas de la prestation des techniciens.
Néanmoins, l’ambition de faire une formation est nourrie par 90% des enquêtés contre 10% qui désirent continuer à être encadrés. Au regard des ces résultats, il peut être admis que l’aviculture périurbaine ne souffre pas seulement d’un manque de contrôle de la qualité des produits ou bien d’une absence d’abattoir moderne etc., mais aussi, d’un manque de professionnalisme des acteurs. En effet, pour un développement harmonieux de la filière avicole moderne en vue d’une bonne productivité, il faut une formation des acteurs à la pratique hygiénique, à la conception des locaux d’élevage, et aux techniques de vaccination.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6829 Problématique de l’aviculture semi-industrielle autour de Sangalkam : Etat des lieux et besoins en recherche-développement [texte imprimé] / Séga Ndao, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 61 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aviculture périurbaine Formation Conseil Encadrement Filière avicole ISRA Sangalkam LNERV Aviculture semi-industrielle Résumé : L’aviculture dite moderne revêt une importance capitale. En effet, l’élevage des races exotiques (dans des conditions intensives ou semi-intensives), participa à la satisfaction de la demande en protéines d’origines animales d’une population en forte croissance. Cependant, son épanouissement est retardé par des facteurs tels que le manque d’encadrement rapproché et la formation des éleveurs. Ceci peut induire des conséquences préjudiciables pour la filière avicole. Cette étude initiée par le Laboratoire National de l’Elevage et de Recherches Vétérinaires (LNERV) de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), a pour objectif de faire le diagnostic de l’aviculture semi-industrielle menée dans la communauté rurale de Sangalkam, afin d’estimer les besoins en formation, conseil et encadrement. Plus spécifiquement, il s’agit d’identifier les aviculteurs modernes dans la zone d’étude et leurs méthodes de conduite, de connaître leur niveau de formation et d’organisation, d’apprécier leurs besoins en formation, suivi et conseil. Les enquêtes montrent que 61% des fermes font l’élevage des poulets de chair, le tiers (30%) élève des poules pondeuses et 9% s’adonnent à l’élevage mixte. L’âge d’abattage des poulets de chair est de 45±6 jours pour un poids moyen de 1,85±0,13 kg. Quant à la spéculation de poule pondeuse, la production d’œufs de consommation est en moyenne de 246±52 œufs par poule et par an, avec un effectif moyen de 1023±677 poules de l’échantillon étudié.
L’orientation des bâtiments au gré de l’exploitant, représente 23% alors que 28% des producteurs ont recouru au service d’un technicien d’élevage. Le suivi des bandes est confié à un ouvrier dans 81% des cas, contre 18% par le propriétaire. Globalement, tous les élevages enquêtés ont une prophylaxie médicale. Parmi ces ouvriers qui assurent le rappel de vaccination, 96% n’ont subi aucune formation en aviculture. Ce qui pourrait expliquer la recrudescence des pathologies telles que le Gumboro et les coccidioses dans la presque totalité des fermes. Les services vétérinaires procurent l’encadrement à 75% des producteurs tandis que le quart (25%) ne bénéficie pas de la prestation des techniciens.
Néanmoins, l’ambition de faire une formation est nourrie par 90% des enquêtés contre 10% qui désirent continuer à être encadrés. Au regard des ces résultats, il peut être admis que l’aviculture périurbaine ne souffre pas seulement d’un manque de contrôle de la qualité des produits ou bien d’une absence d’abattoir moderne etc., mais aussi, d’un manque de professionnalisme des acteurs. En effet, pour un développement harmonieux de la filière avicole moderne en vue d’une bonne productivité, il faut une formation des acteurs à la pratique hygiénique, à la conception des locaux d’élevage, et aux techniques de vaccination.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002802 E003 NDA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Reproduction et production laitière des chèvres Majorera élevées a la Station ISRA de Sangalkam (Sénégal) / Bâ, Demba
Titre : Reproduction et production laitière des chèvres Majorera élevées a la Station ISRA de Sangalkam (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Bâ, Demba, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 41 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Chèvre Lait Majorera Production laitière Reproduction ISRA Sangalkam Résumé : Le Sénégal à l’instar de la plupart des pays en développement connait un déficit en lait et produits laitiers. Ainsi, l’Etat sénégalais souhaite améliorer la production de lait avec implication de la recherche représentée par les institutions comme l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles(ISRA) et les Universités. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’acquisition de chèvres laitières de race Majorera en 2011 pour leur introduction au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le Sénégal et l’Espagne à travers des institutions comme l’ISRA et l’Université de Thiès. La présente étude, sur la reproduction et la production laitière des chèvres Majorera est effectuée à la station ISRA de Sangalkam, dans la zone des Niayes de Dakar (Sénégal). Les paramètres de reproduction et de production laitière y sont analysés. L'âge des chèvres à la première mise bas est de 19 mois en moyenne, l'intervalle entre mises bas est de 9 mois en moyenne avec 40% qui sont en dessous de cette moyenne. Les quantités de lait mesurées en 10 semaines avec deux femelles en lactation sont estimées en moyenne 0,94 litre par jour et par chèvre avec des pics de 1,55 litre. La production caprine joue un rôle socio-économique important en procurant des revenus assez substantiels et en participant à la couverture des besoins en protéines animales.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6278 Reproduction et production laitière des chèvres Majorera élevées a la Station ISRA de Sangalkam (Sénégal) [texte imprimé] / Bâ, Demba, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 41 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chèvre Lait Majorera Production laitière Reproduction ISRA Sangalkam Résumé : Le Sénégal à l’instar de la plupart des pays en développement connait un déficit en lait et produits laitiers. Ainsi, l’Etat sénégalais souhaite améliorer la production de lait avec implication de la recherche représentée par les institutions comme l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles(ISRA) et les Universités. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’acquisition de chèvres laitières de race Majorera en 2011 pour leur introduction au Sénégal, fruit d’un partenariat entre le Sénégal et l’Espagne à travers des institutions comme l’ISRA et l’Université de Thiès. La présente étude, sur la reproduction et la production laitière des chèvres Majorera est effectuée à la station ISRA de Sangalkam, dans la zone des Niayes de Dakar (Sénégal). Les paramètres de reproduction et de production laitière y sont analysés. L'âge des chèvres à la première mise bas est de 19 mois en moyenne, l'intervalle entre mises bas est de 9 mois en moyenne avec 40% qui sont en dessous de cette moyenne. Les quantités de lait mesurées en 10 semaines avec deux femelles en lactation sont estimées en moyenne 0,94 litre par jour et par chèvre avec des pics de 1,55 litre. La production caprine joue un rôle socio-économique important en procurant des revenus assez substantiels et en participant à la couverture des besoins en protéines animales.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003114 E008 BAD Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible L’utilisation des semences sexées en insémination artificielle bovine dans deux fermes de la commune de Sangalkam (Sénégal) : résultats et évaluation financière / Ndiaye, Khadim
Titre : L’utilisation des semences sexées en insémination artificielle bovine dans deux fermes de la commune de Sangalkam (Sénégal) : résultats et évaluation financière Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Khadim, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 48 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Insémination artificielle Femelle Mâle Semence sexée Sex-ratio Veaux Gestation Sangalkam Sénégal Résumé : Au Sénégal, l’élevage est la deuxième activité du secteur primaire après l’agriculture. Il contribue pour 35% au PIB. La production laitière nationale reste cependant très faible. Elle est estimée en 2004 à 114, 2 millions de litres et ne peut répondre aux besoins nationaux en produits laitiers. Ainsi l’accroissement de notre cheptel laitier semble être une parmi tant d’autres solutions pour pallier à ce déficit de production. Pour atteindre cet objectif, d’accroitre le cheptel laitier, l’utilisation des semences sexées demeure l’une des solutions car elle engendre de manière efficace une inflexion du sex-ratio en faveur des femelles. La méthodologie utilisée consiste avant tout en une recherche bibliographique, puis sur le terrain à une sélection et à la synchronisation des vaches pour induire les chaleurs avant de passer à l’insémination artificielle. Les résultats de notre étude montrent que sur les 66 vaches inséminées, 29 vaches sont diagnostiquées gestantes, soit un pourcentage de 43, 94. Les résultats de la mise bas ne concernent que les deux lots de la ferme A et le premier lot de la ferme B, aucune mortalité embryonnaire n’a été enregistrée. Ainsi sur les 29 vaches diagnostiquées gestantes, 27 vaches ont vêlé et 2 vaches n’ont pas encore mis bas. Une seule naissance gémellaire est enregistrée, ce qui fait qu’on a 28 veaux. Pour le sex-ratio, le taux de femelles est de 82% contre 18% de mâles.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6289 L’utilisation des semences sexées en insémination artificielle bovine dans deux fermes de la commune de Sangalkam (Sénégal) : résultats et évaluation financière [texte imprimé] / Ndiaye, Khadim, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 48 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Insémination artificielle Femelle Mâle Semence sexée Sex-ratio Veaux Gestation Sangalkam Sénégal Résumé : Au Sénégal, l’élevage est la deuxième activité du secteur primaire après l’agriculture. Il contribue pour 35% au PIB. La production laitière nationale reste cependant très faible. Elle est estimée en 2004 à 114, 2 millions de litres et ne peut répondre aux besoins nationaux en produits laitiers. Ainsi l’accroissement de notre cheptel laitier semble être une parmi tant d’autres solutions pour pallier à ce déficit de production. Pour atteindre cet objectif, d’accroitre le cheptel laitier, l’utilisation des semences sexées demeure l’une des solutions car elle engendre de manière efficace une inflexion du sex-ratio en faveur des femelles. La méthodologie utilisée consiste avant tout en une recherche bibliographique, puis sur le terrain à une sélection et à la synchronisation des vaches pour induire les chaleurs avant de passer à l’insémination artificielle. Les résultats de notre étude montrent que sur les 66 vaches inséminées, 29 vaches sont diagnostiquées gestantes, soit un pourcentage de 43, 94. Les résultats de la mise bas ne concernent que les deux lots de la ferme A et le premier lot de la ferme B, aucune mortalité embryonnaire n’a été enregistrée. Ainsi sur les 29 vaches diagnostiquées gestantes, 27 vaches ont vêlé et 2 vaches n’ont pas encore mis bas. Une seule naissance gémellaire est enregistrée, ce qui fait qu’on a 28 veaux. Pour le sex-ratio, le taux de femelles est de 82% contre 18% de mâles.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6289 Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003122 E017 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003122 b E017 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Détermination de la densité optimale de semis de cinq (05) variétés de maïs doux (Zea mays L.ssp saccharata) / ANTOINE, Jean René
PermalinkDétermination de la dose optimale d’engrais minéral 15-15-15 sur cinq (05) variétés de maïs doux (Zea mays L.ssp.saccaharata) / Delsoin, Fabrina Laken-Thomisme
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