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Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes / Fatou Anna Sylla
Titre : Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes Type de document : texte imprimé Auteurs : Fatou Anna Sylla, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 43 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangue Chaîne de valeur Verger Variété Kent Commercialisation Transformation de lamangue Résumé : A travers cette étude nous nous sommes assignés comme objectif de faire une analyse de la chaîne de valeur mangue dans la zone des Niayes afin de proposer un schéma stratégique pour améliorer sa compétitivité. Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des acteurs de la chaîne. Les résultats de l’étude montrent que les vergers sont relativement jeunes, l’âge de plantation moyenne est de 11 ans. On note une forte prédominance des variétés améliorées plus de 38% des vergers. La variété Kent fortement représentée atteint la maturité en fin de pleine saison. La production de mangue qui s’étale de Mai à octobre constitue un atout pour les exportations. Dans la zone, la commercialisation se fait bord champ, les principaux acheteurs (les commerçants grossistes, banabana et les exportateurs) assurent la récolte et le conditionnement. Le producteur ou un membre de sa famille peut assurer la vente directe aux consommateurs. La mangue fraiche connait un autre circuit, celle de la transformation qui est assurée par les femmes. Elles s’activent dans la transformation de produits de confiseries tels que les confitures 36% et les marmelades 7%, les boissons jus 21% et sirop 29% et les produits séchés : mangues séchés 7%. L’analyse financière de la chaine de valeur montre que les marges nettes au kilogramme obtenus sont : producteur : 187,79 F CFA ; exportateurs : 767,73 F CFA ; Commerçants : 106,5 F CFA et transformatrices 1038,47 FCFA. L’analyse SWOT a montré que la chaîne de valeur a des contraintes telles que : les pertes post récoltes, les problèmes phytosanitaires (mouches…), l’absence d’unités de transformation … . Les stratégies d’amélioration préconisées sont : valorisation des sous-produits ; installation de centres de conditionnement et d’unités de transformation au niveau local. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6324 Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes [texte imprimé] / Fatou Anna Sylla, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 43 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangue Chaîne de valeur Verger Variété Kent Commercialisation Transformation de lamangue Résumé : A travers cette étude nous nous sommes assignés comme objectif de faire une analyse de la chaîne de valeur mangue dans la zone des Niayes afin de proposer un schéma stratégique pour améliorer sa compétitivité. Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des acteurs de la chaîne. Les résultats de l’étude montrent que les vergers sont relativement jeunes, l’âge de plantation moyenne est de 11 ans. On note une forte prédominance des variétés améliorées plus de 38% des vergers. La variété Kent fortement représentée atteint la maturité en fin de pleine saison. La production de mangue qui s’étale de Mai à octobre constitue un atout pour les exportations. Dans la zone, la commercialisation se fait bord champ, les principaux acheteurs (les commerçants grossistes, banabana et les exportateurs) assurent la récolte et le conditionnement. Le producteur ou un membre de sa famille peut assurer la vente directe aux consommateurs. La mangue fraiche connait un autre circuit, celle de la transformation qui est assurée par les femmes. Elles s’activent dans la transformation de produits de confiseries tels que les confitures 36% et les marmelades 7%, les boissons jus 21% et sirop 29% et les produits séchés : mangues séchés 7%. L’analyse financière de la chaine de valeur montre que les marges nettes au kilogramme obtenus sont : producteur : 187,79 F CFA ; exportateurs : 767,73 F CFA ; Commerçants : 106,5 F CFA et transformatrices 1038,47 FCFA. L’analyse SWOT a montré que la chaîne de valeur a des contraintes telles que : les pertes post récoltes, les problèmes phytosanitaires (mouches…), l’absence d’unités de transformation … . Les stratégies d’amélioration préconisées sont : valorisation des sous-produits ; installation de centres de conditionnement et d’unités de transformation au niveau local. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6324 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003166 A011 SYL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Préférence de la ponte de Ceratitis capitata sur trois types de fruits d’importance économique cultivés au Sénégal : la mangue (Mangifera indica L), la papaye (Carica papaya L.) et la banane (Musa sp) / Coundoul, Alioune
Titre : Préférence de la ponte de Ceratitis capitata sur trois types de fruits d’importance économique cultivés au Sénégal : la mangue (Mangifera indica L), la papaye (Carica papaya L.) et la banane (Musa sp) Type de document : texte imprimé Auteurs : Coundoul, Alioune, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2014 Importance : 27 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Préférence de ponte Ceratitis capitata Mouche des fruits Mangue Papaye Banane Importance économique Commercialisation des fruits Ravageurs Résumé : Les mouches des fruits de l’ordre des Diptères et de la famille des Tephritidae sont de nos jours, une des principales contraintes à la production et la commercialisation des fruits en Afrique Sub-saharienne en général et au Sénégal en particulier. C. capitata s’attaque à des fruits appartenant à de nombreuses familles botaniques dont plusieurs ont une grande importance économique. La connaissance de sa biologie et de son écologie constitue des préalables pour la mise en place de programmes de gestion agro écologique durable contre ce ravageur. La préférence de ponte selon les principaux cultivars horticoles contribuera à optimiser l’élevage en laboratoire pour la reproduction des parasitoïdes dans le cadre du programme de lutte biologique au Sénégal. Les œufs récupérés à partir des dômes de mangue, de banane et de papaye sont d’une densité diverse. Les populations juvéniles ont des niveaux d’émergences différentes. C. capitata dans une situation de choix multiples de fruits cultivés dans notre agro écosystème préfère déposer ses œufs sur la mangue pour 68%, suivi de la papaye 19% et seulement 13% sur la banane. Les œufs déposés par C. capitata éclosent et survivent de la même proportion en larves jusqu’à l’émergence des imagos. C. capitata est en mesure de reconnaitre le substrat de choix pour sa progéniture quand bien même que les substrats sont équidistant de moins de 20 cm les uns des autres
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6250 Préférence de la ponte de Ceratitis capitata sur trois types de fruits d’importance économique cultivés au Sénégal : la mangue (Mangifera indica L), la papaye (Carica papaya L.) et la banane (Musa sp) [texte imprimé] / Coundoul, Alioune, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2014 . - 27 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
: [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Préférence de ponte Ceratitis capitata Mouche des fruits Mangue Papaye Banane Importance économique Commercialisation des fruits Ravageurs Résumé : Les mouches des fruits de l’ordre des Diptères et de la famille des Tephritidae sont de nos jours, une des principales contraintes à la production et la commercialisation des fruits en Afrique Sub-saharienne en général et au Sénégal en particulier. C. capitata s’attaque à des fruits appartenant à de nombreuses familles botaniques dont plusieurs ont une grande importance économique. La connaissance de sa biologie et de son écologie constitue des préalables pour la mise en place de programmes de gestion agro écologique durable contre ce ravageur. La préférence de ponte selon les principaux cultivars horticoles contribuera à optimiser l’élevage en laboratoire pour la reproduction des parasitoïdes dans le cadre du programme de lutte biologique au Sénégal. Les œufs récupérés à partir des dômes de mangue, de banane et de papaye sont d’une densité diverse. Les populations juvéniles ont des niveaux d’émergences différentes. C. capitata dans une situation de choix multiples de fruits cultivés dans notre agro écosystème préfère déposer ses œufs sur la mangue pour 68%, suivi de la papaye 19% et seulement 13% sur la banane. Les œufs déposés par C. capitata éclosent et survivent de la même proportion en larves jusqu’à l’émergence des imagos. C. capitata est en mesure de reconnaitre le substrat de choix pour sa progéniture quand bien même que les substrats sont équidistant de moins de 20 cm les uns des autres
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003230 A005 COU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003230 b A005 COU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs / Sana Sagna
Titre : Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Sana Sagna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 51 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangifera indica Mangue Bactrocera invadens Mouches des fruits Plantes hôtes alternatifs Djibélor Lutte contre les mouches Piégeage Pertes de production Casamance Ravageurs Maladies Résumé : La mangue est très riche en vitamines A et C, elle contribue à la diversité alimentaire des sénégalais et participe dans la lutte contre la famine en milieu rural. Il faut noter tout de même que sa production est principalement orientée vers la commercialisation. Elle est cependant confrontée à diverses contraintes, d’ordre édaphique, climatique et surtout phytosanitaire.
En effet, depuis 2002-2003 les plantations de mangues enregistrent de grosses pertes dues aux mouches des fruits. Une étude diagnostique menée par la DPV en 2004 a révélé l’espèce de mouches des fruits Bactrocera- invadens Drew qui provoque des pertes allant de 60 à 80% (Mbaye, 2006). Cette mouche d’origine Sri Lankaise considérée comme insecte de quarantaine a freiné de facto l’exportation de mangues. Sur 7070 T de mangues exportées vers l’U.E. en 2006, 2800 tonnes ont été interceptées et détruites par les services de la protection des végétaux de l’U.E. (COLCEACP, 2007).
Plus de 3000 mouches de cette nouvelle espèce ont été capturées à Djibélor dans un verger en une semaine de piégeage, alors que le seuil pour prévenir les pertes économiques significatives est de 25 mouches par semaine par piège (Djiba, 2004 résultats non publiés).
La Casamance est restée la première productrice de mangues au Sénégal jusqu’en 1997 (selon les estimations de DHORT, 2007) mais Bactrocera invadens est devenue une véritable difficulté au point que certains planteurs de la Casamance ont pensé abandonner la production de mangues.
Dans cette région meurtrie par deux décennies d’insécurité et qui est en phase de reconstruction, il est important d’adopter une stratégie de lutte contre les mouches des fruits pour la sauvegarde du patrimoine mangues existant dans la région. Cela passera par une maîtrise des ravageurs et maladies.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6809 Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs [texte imprimé] / Sana Sagna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 51 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangifera indica Mangue Bactrocera invadens Mouches des fruits Plantes hôtes alternatifs Djibélor Lutte contre les mouches Piégeage Pertes de production Casamance Ravageurs Maladies Résumé : La mangue est très riche en vitamines A et C, elle contribue à la diversité alimentaire des sénégalais et participe dans la lutte contre la famine en milieu rural. Il faut noter tout de même que sa production est principalement orientée vers la commercialisation. Elle est cependant confrontée à diverses contraintes, d’ordre édaphique, climatique et surtout phytosanitaire.
En effet, depuis 2002-2003 les plantations de mangues enregistrent de grosses pertes dues aux mouches des fruits. Une étude diagnostique menée par la DPV en 2004 a révélé l’espèce de mouches des fruits Bactrocera- invadens Drew qui provoque des pertes allant de 60 à 80% (Mbaye, 2006). Cette mouche d’origine Sri Lankaise considérée comme insecte de quarantaine a freiné de facto l’exportation de mangues. Sur 7070 T de mangues exportées vers l’U.E. en 2006, 2800 tonnes ont été interceptées et détruites par les services de la protection des végétaux de l’U.E. (COLCEACP, 2007).
Plus de 3000 mouches de cette nouvelle espèce ont été capturées à Djibélor dans un verger en une semaine de piégeage, alors que le seuil pour prévenir les pertes économiques significatives est de 25 mouches par semaine par piège (Djiba, 2004 résultats non publiés).
La Casamance est restée la première productrice de mangues au Sénégal jusqu’en 1997 (selon les estimations de DHORT, 2007) mais Bactrocera invadens est devenue une véritable difficulté au point que certains planteurs de la Casamance ont pensé abandonner la production de mangues.
Dans cette région meurtrie par deux décennies d’insécurité et qui est en phase de reconstruction, il est important d’adopter une stratégie de lutte contre les mouches des fruits pour la sauvegarde du patrimoine mangues existant dans la région. Cela passera par une maîtrise des ravageurs et maladies.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6809 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002838 A005 SAG Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Evaluation de la dynamique de populations de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et de Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère tephritidae) dans les zones de production de mangues du Département de Ziguinchor / Youssouph Sonko
Titre : Evaluation de la dynamique de populations de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et de Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère tephritidae) dans les zones de production de mangues du Département de Ziguinchor Type de document : texte imprimé Auteurs : Youssouph Sonko, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 67 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Dynamique des populations Mangue Mangifera indica Ziguinchor Zones de production Résumé : L’évaluation de la dynamique des populations de Bactrocera. invadens et de Ceratitis. Cosyra par piégeage à l’aide du Méthyle eugénol (MET) et du Terpinyl acétate (TER), a été conduite dans le département de Ziguinchor, au niveau de quatre différents agro écosystèmes principaux producteurs de mangues que sont Dar Salam, Djibélor, Kenya et Sindone. Ces deux para phéromones spécifiques aux genres Bactrocera et Ceratitis ont été utilisées dans des pièges Tephritrap. Les résultats de l’étude ont permis de déterminer le mode de fluctuation de leurs populations du 08mai au 30 octobre 2009 au niveau de ces sites. La quantification des captures corrélée aux connaissances de la biologie et de l’écologie de ces deux espèces ont permis de déceler que la période de pullulation de B. invadens se situe en période humide (mi- juillet et fin septembre), alors que leur niveau décroît largement en période sèche (mai).
Contrairement, la population de C. cosyra est en forte résurgence en période sèche (Mai à mi- juillet) et atteint son minimum durant la période humide (mi-juillet à septembre). Ces résultats permettent d’esquisser un programme saisonnier d’alerte et de lutte précoce contre les mouches des fruits, grâce à une meilleure connaissance des fluctuations des populations. Pour mieux contrôler ces ravageurs, cette étude nécessite d’être approfondie et étendue à d’autres agro écosystèmes de la mangue afin d’asseoir un système d’alerte plus vaste et mieux efficient à travers une approche intégrée respectueuse de l’environnement et des consommateurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6834 Evaluation de la dynamique de populations de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et de Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère tephritidae) dans les zones de production de mangues du Département de Ziguinchor [texte imprimé] / Youssouph Sonko, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 67 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Dynamique des populations Mangue Mangifera indica Ziguinchor Zones de production Résumé : L’évaluation de la dynamique des populations de Bactrocera. invadens et de Ceratitis. Cosyra par piégeage à l’aide du Méthyle eugénol (MET) et du Terpinyl acétate (TER), a été conduite dans le département de Ziguinchor, au niveau de quatre différents agro écosystèmes principaux producteurs de mangues que sont Dar Salam, Djibélor, Kenya et Sindone. Ces deux para phéromones spécifiques aux genres Bactrocera et Ceratitis ont été utilisées dans des pièges Tephritrap. Les résultats de l’étude ont permis de déterminer le mode de fluctuation de leurs populations du 08mai au 30 octobre 2009 au niveau de ces sites. La quantification des captures corrélée aux connaissances de la biologie et de l’écologie de ces deux espèces ont permis de déceler que la période de pullulation de B. invadens se situe en période humide (mi- juillet et fin septembre), alors que leur niveau décroît largement en période sèche (mai).
Contrairement, la population de C. cosyra est en forte résurgence en période sèche (Mai à mi- juillet) et atteint son minimum durant la période humide (mi-juillet à septembre). Ces résultats permettent d’esquisser un programme saisonnier d’alerte et de lutte précoce contre les mouches des fruits, grâce à une meilleure connaissance des fluctuations des populations. Pour mieux contrôler ces ravageurs, cette étude nécessite d’être approfondie et étendue à d’autres agro écosystèmes de la mangue afin d’asseoir un système d’alerte plus vaste et mieux efficient à travers une approche intégrée respectueuse de l’environnement et des consommateurs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6834 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002839 A005 SON Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Évaluation en milieu réel de l’efficacité biologique de Metarhizium acridum (Driver et Milner) chez les populations sauvages de la mouche des fruits Bactrocera dorsalis (Hendel) à Sindia / Sall, Moussa
Titre : Évaluation en milieu réel de l’efficacité biologique de Metarhizium acridum (Driver et Milner) chez les populations sauvages de la mouche des fruits Bactrocera dorsalis (Hendel) à Sindia Type de document : texte imprimé Auteurs : Sall, Moussa, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mouche des fruits Mangue Bactrocera dorsalis Metarhizium acridum Diptera Arboriculture Auto-contamination Auto-dissémination Sénégal Résumé : Au Sénégal, la mouche des fruits Bactrocera dorsalis (Hendel) (Diptera : Tephritidae) constitue un véritable fléau pour certaines filières de l’arboriculture notamment la mangue et les agrumes. Face à cette situation, plusieurs méthodes de luttes ont été adoptées notamment la lutte chimique qui non seulement n’a pas limité les dégâts dus à l’insecte mais a créé de nombreux problèmes environnementaux. Ainsi pour contribuer à la mise en œuvre d’une gestion durable de B. dorsalis, cette étude visait à évaluer l’efficacité en milieu réel d’une densité de 50 pièges attractifs contaminants à base de Metarhizium acridum associée à 10 pièges de recaptures à base de Timaye® (Méthyl eugénol + Deltaméthrine) par hectare. Le dispositif a été installé dans un verger d’agrumes de 12,5 hectares où, 4 blocs traités et un bloc témoin d’1 hectare chacun ont été délimités et suivis durant 12 jours .Les résultats ont montré que cette densité était suffisante pour l’autocontamination des mouches mâles de B. dorsalis avec une moyenne de 85,7 ± 3,34 % pour les blocs traités contre 34,2 ± 3,34 % pour le bloc témoin. Les pièges à attractifs contaminants à base de M. acridum peuvent être ajoutés, par le mécanisme de l’auto-dissémination, à la lutte biologique pour une gestion intégrée des populations de mouches des fruits.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6661 Évaluation en milieu réel de l’efficacité biologique de Metarhizium acridum (Driver et Milner) chez les populations sauvages de la mouche des fruits Bactrocera dorsalis (Hendel) à Sindia [texte imprimé] / Sall, Moussa, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mouche des fruits Mangue Bactrocera dorsalis Metarhizium acridum Diptera Arboriculture Auto-contamination Auto-dissémination Sénégal Résumé : Au Sénégal, la mouche des fruits Bactrocera dorsalis (Hendel) (Diptera : Tephritidae) constitue un véritable fléau pour certaines filières de l’arboriculture notamment la mangue et les agrumes. Face à cette situation, plusieurs méthodes de luttes ont été adoptées notamment la lutte chimique qui non seulement n’a pas limité les dégâts dus à l’insecte mais a créé de nombreux problèmes environnementaux. Ainsi pour contribuer à la mise en œuvre d’une gestion durable de B. dorsalis, cette étude visait à évaluer l’efficacité en milieu réel d’une densité de 50 pièges attractifs contaminants à base de Metarhizium acridum associée à 10 pièges de recaptures à base de Timaye® (Méthyl eugénol + Deltaméthrine) par hectare. Le dispositif a été installé dans un verger d’agrumes de 12,5 hectares où, 4 blocs traités et un bloc témoin d’1 hectare chacun ont été délimités et suivis durant 12 jours .Les résultats ont montré que cette densité était suffisante pour l’autocontamination des mouches mâles de B. dorsalis avec une moyenne de 85,7 ± 3,34 % pour les blocs traités contre 34,2 ± 3,34 % pour le bloc témoin. Les pièges à attractifs contaminants à base de M. acridum peuvent être ajoutés, par le mécanisme de l’auto-dissémination, à la lutte biologique pour une gestion intégrée des populations de mouches des fruits.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6661 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003700 A005 SAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003700 b A005 SAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Compatibilité entre lutte chimique et lutte biologique dans la protection du manguier, mangifera indica linneaus contre la cochenille farineuse, Rastroccus invadens Williams / Waly Séne
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