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Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes / Fatou Anna Sylla
Titre : Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes Type de document : texte imprimé Auteurs : Fatou Anna Sylla, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 43 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangue Chaîne de valeur Verger Variété Kent Commercialisation Transformation de lamangue Résumé : A travers cette étude nous nous sommes assignés comme objectif de faire une analyse de la chaîne de valeur mangue dans la zone des Niayes afin de proposer un schéma stratégique pour améliorer sa compétitivité. Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des acteurs de la chaîne. Les résultats de l’étude montrent que les vergers sont relativement jeunes, l’âge de plantation moyenne est de 11 ans. On note une forte prédominance des variétés améliorées plus de 38% des vergers. La variété Kent fortement représentée atteint la maturité en fin de pleine saison. La production de mangue qui s’étale de Mai à octobre constitue un atout pour les exportations. Dans la zone, la commercialisation se fait bord champ, les principaux acheteurs (les commerçants grossistes, banabana et les exportateurs) assurent la récolte et le conditionnement. Le producteur ou un membre de sa famille peut assurer la vente directe aux consommateurs. La mangue fraiche connait un autre circuit, celle de la transformation qui est assurée par les femmes. Elles s’activent dans la transformation de produits de confiseries tels que les confitures 36% et les marmelades 7%, les boissons jus 21% et sirop 29% et les produits séchés : mangues séchés 7%. L’analyse financière de la chaine de valeur montre que les marges nettes au kilogramme obtenus sont : producteur : 187,79 F CFA ; exportateurs : 767,73 F CFA ; Commerçants : 106,5 F CFA et transformatrices 1038,47 FCFA. L’analyse SWOT a montré que la chaîne de valeur a des contraintes telles que : les pertes post récoltes, les problèmes phytosanitaires (mouches…), l’absence d’unités de transformation … . Les stratégies d’amélioration préconisées sont : valorisation des sous-produits ; installation de centres de conditionnement et d’unités de transformation au niveau local. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6324 Analyse de la Chaine de valeur de la mangue dans la zone des Niayes [texte imprimé] / Fatou Anna Sylla, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 43 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangue Chaîne de valeur Verger Variété Kent Commercialisation Transformation de lamangue Résumé : A travers cette étude nous nous sommes assignés comme objectif de faire une analyse de la chaîne de valeur mangue dans la zone des Niayes afin de proposer un schéma stratégique pour améliorer sa compétitivité. Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des acteurs de la chaîne. Les résultats de l’étude montrent que les vergers sont relativement jeunes, l’âge de plantation moyenne est de 11 ans. On note une forte prédominance des variétés améliorées plus de 38% des vergers. La variété Kent fortement représentée atteint la maturité en fin de pleine saison. La production de mangue qui s’étale de Mai à octobre constitue un atout pour les exportations. Dans la zone, la commercialisation se fait bord champ, les principaux acheteurs (les commerçants grossistes, banabana et les exportateurs) assurent la récolte et le conditionnement. Le producteur ou un membre de sa famille peut assurer la vente directe aux consommateurs. La mangue fraiche connait un autre circuit, celle de la transformation qui est assurée par les femmes. Elles s’activent dans la transformation de produits de confiseries tels que les confitures 36% et les marmelades 7%, les boissons jus 21% et sirop 29% et les produits séchés : mangues séchés 7%. L’analyse financière de la chaine de valeur montre que les marges nettes au kilogramme obtenus sont : producteur : 187,79 F CFA ; exportateurs : 767,73 F CFA ; Commerçants : 106,5 F CFA et transformatrices 1038,47 FCFA. L’analyse SWOT a montré que la chaîne de valeur a des contraintes telles que : les pertes post récoltes, les problèmes phytosanitaires (mouches…), l’absence d’unités de transformation … . Les stratégies d’amélioration préconisées sont : valorisation des sous-produits ; installation de centres de conditionnement et d’unités de transformation au niveau local. Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6324 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003166 A011 SYL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Analyse de la chaine de valeur des semences certifiées de riz dans le Delta du fleuve Sénégal / Bâ, Oumar
Titre : Analyse de la chaine de valeur des semences certifiées de riz dans le Delta du fleuve Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Bâ, Oumar, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2014 Importance : 42 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Chaîne de valeur Semences certifiées Riz OPS Vallée du fleuve Sénégal Oryza sativa Production de semences Résumé : La production de semences occupe une place importante dans le programme national d’autosuffisance en riz (PNAR). L’objectif principal de cette étude est de faire l’analyse de la chaine de valeur des semences certifiées de riz dans le Delta du fleuve Sénégal. Pour cela, l’étude a été centrée sur la traçabilité des semences de riz, l’analyse financière de la production et l’identification du type d’opérateur à promouvoir afin de rentabiliser la production de la semence de riz.
Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des multiplicateurs contractuels, des producteurs (ISRA production, opérateurs privés semenciers de UNIS, des distributeurs de semences etc.) ont été consulté.
Sur la base des échantillons, on a tenté de reconstituer les itinéraires techniques, les coûts de production et d’appréhender l’organisation et la commercialisation de semences certifiées. Les résultats ont montré que la production de semence de riz dans le Delta est très développée et caractérisée par une forte consommation d’intrants (engrais, semences, produits phytosanitaires) et par l’usage de la mécanisation (offsettage pour la préparation du sol, moissonneuse-batteuse pour la récolte, etc.). On note une forte prédominance de la variété sahel 108 et de la catégorie R1. L’analyse financière de la production de semence montre que les marges nettes à l’hectare obtenues sont : GIE Privés : 547 722 F CFA avec un rendement de 5,01T/ha ; union : 234 844 F CFA avec un rendement de 4,14T/ha ; contractuels : 575 892 F CFA avec un rendement de 5,66T/ha.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6246 Analyse de la chaine de valeur des semences certifiées de riz dans le Delta du fleuve Sénégal [texte imprimé] / Bâ, Oumar, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2014 . - 42 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chaîne de valeur Semences certifiées Riz OPS Vallée du fleuve Sénégal Oryza sativa Production de semences Résumé : La production de semences occupe une place importante dans le programme national d’autosuffisance en riz (PNAR). L’objectif principal de cette étude est de faire l’analyse de la chaine de valeur des semences certifiées de riz dans le Delta du fleuve Sénégal. Pour cela, l’étude a été centrée sur la traçabilité des semences de riz, l’analyse financière de la production et l’identification du type d’opérateur à promouvoir afin de rentabiliser la production de la semence de riz.
Les outils de collectes utilisés (questionnaires et guides d’entretien) ont permis d’avoir des informations auprès des multiplicateurs contractuels, des producteurs (ISRA production, opérateurs privés semenciers de UNIS, des distributeurs de semences etc.) ont été consulté.
Sur la base des échantillons, on a tenté de reconstituer les itinéraires techniques, les coûts de production et d’appréhender l’organisation et la commercialisation de semences certifiées. Les résultats ont montré que la production de semence de riz dans le Delta est très développée et caractérisée par une forte consommation d’intrants (engrais, semences, produits phytosanitaires) et par l’usage de la mécanisation (offsettage pour la préparation du sol, moissonneuse-batteuse pour la récolte, etc.). On note une forte prédominance de la variété sahel 108 et de la catégorie R1. L’analyse financière de la production de semence montre que les marges nettes à l’hectare obtenues sont : GIE Privés : 547 722 F CFA avec un rendement de 5,01T/ha ; union : 234 844 F CFA avec un rendement de 4,14T/ha ; contractuels : 575 892 F CFA avec un rendement de 5,66T/ha.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003227 A002 BAO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003227 b A002 BAO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Le rôle des organisations de productrices dans les chaînes de valeur des produits agricoles. Enseignements pratiques très d’expériences en Afrique et en Inde / Aziz Elbehri
Titre : Le rôle des organisations de productrices dans les chaînes de valeur des produits agricoles. Enseignements pratiques très d’expériences en Afrique et en Inde Type de document : texte imprimé Auteurs : Aziz Elbehri, Auteur ; Maria Lee, Auteur Editeur : Rome [Italie] : FAO Année de publication : 2011 Importance : 64 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 25 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Chaîne de valeur Produit agricole Producteur Culture vivrière Organisation féminine SEWA Marché agricole Potentiel agricole Afrique Inde Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9585 Le rôle des organisations de productrices dans les chaînes de valeur des produits agricoles. Enseignements pratiques très d’expériences en Afrique et en Inde [texte imprimé] / Aziz Elbehri, Auteur ; Maria Lee, Auteur . - Rome (Italie) : FAO, 2011 . - 64 p. : ill. couv. ill. en coul ; 25 cm.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02935 304 ELB Livre ISFAR Agriculture Disponible La gestion des opérations post-récolte et la commercialisation du maïs dans le département de Nioro / Diouf, Rose Diambogne
Titre : La gestion des opérations post-récolte et la commercialisation du maïs dans le département de Nioro Type de document : texte imprimé Auteurs : Diouf, Rose Diambogne, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 63 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maïs Chaîne de valeur Opération post-récoltes Gestion des opérations Commercialisation du maïs Marketing Contraintes à la commercialisation Nioro PCE Résumé : Le Programme d’amélioration de la compétitivité de la chaîne de valeur maïs est initié par le Projet Croissance Economique. Il vise à augmenter la production et la productivité du maïs de qualité, à développer un marché d’approvisionnement en matières premières des industries et PME locales, à faciliter le développement d’un dispositif professionnel pour la production et la distribution de semences de qualité et un système de services et d’information pour appuyer et améliorer les performances de la chaîne. C’est dans cette perceptive que la présente étude a été commanditée par le Projet Croissance Economique (PCE) de l’USAID pour cerner "La gestion des opérations post-récolte et la commercialisation du maïs dans le département de Nioro" . Ainsi, les objectifs visés par ce travail étaient d’identifier les opérations post- récoltes du maïs et leurs contraintes, de connaître le schéma effectué pour la réalisation de chaque opération et d’analyser les contraintes liées à la commercialisation. Pour ce faire un échantillon de 35 producteurs répartis entre les communautés rurales de Taïba Niasséne, Paoskoto, Prokhane et Nioro a été effectué. En effet, les résultats de notre enquête révèlent que La récolte s’effectue manuellement avec 26 personnes en moyenne par exploitation pour une durée de 4heures par jours. Cependant, les contraintes soulignées sont : la non qualification de la main d’oeuvre ; la pénibilité de la récolte due aux manques de matériels modernes et le coût de la main d’oeuvre élevé. Le séchage au champ est plus pratiqué. Les raisons de ce choix sont entre autre, le manque d’espace dans les concessions et le manque de séchoirs modernes. Le maïs est égrainé avec des égraineuses mécaniques. La durée moyenne d’égrainage est de 3heures/ tonne. La contrainte principale est : l’insuffisance des égraineuses. Le traitement s’effectue au champ et en magasins. Les moyens de transports utilisés sont la charrette, le camion et le tracteur ; en effet, les contraintes soulevées sont : La mauvaise qualité des routes causant des pertes de poids et La cherté de la location des tracteurs (17000FCFA / ha) ; Le mode de stockage le plus utilisé est le magasin. Le manque de magasin personnel car, certains producteurs conservent leur production dans des magasins collectifs, Le manque d’équipement de ces magasins en palettes et en bâches sont les contraintes les plus retrouvées au niveau du stockage ; La date de commercialisation s’étale du 23 novembre au 28 février ; Les producteurs ciblés dans notre échantillon ont signé un contrat avec la SODEFITEX avec l’appui du PCE ; Le maïs est vendu à 125 FCFA le kilogramme ; Les contraintes soulevées dans la commercialisation sont entre autre, insuffisance des points de collectes et le prix de 125 FCFA jugé faible.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6783 La gestion des opérations post-récolte et la commercialisation du maïs dans le département de Nioro [texte imprimé] / Diouf, Rose Diambogne, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 63 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Maïs Chaîne de valeur Opération post-récoltes Gestion des opérations Commercialisation du maïs Marketing Contraintes à la commercialisation Nioro PCE Résumé : Le Programme d’amélioration de la compétitivité de la chaîne de valeur maïs est initié par le Projet Croissance Economique. Il vise à augmenter la production et la productivité du maïs de qualité, à développer un marché d’approvisionnement en matières premières des industries et PME locales, à faciliter le développement d’un dispositif professionnel pour la production et la distribution de semences de qualité et un système de services et d’information pour appuyer et améliorer les performances de la chaîne. C’est dans cette perceptive que la présente étude a été commanditée par le Projet Croissance Economique (PCE) de l’USAID pour cerner "La gestion des opérations post-récolte et la commercialisation du maïs dans le département de Nioro" . Ainsi, les objectifs visés par ce travail étaient d’identifier les opérations post- récoltes du maïs et leurs contraintes, de connaître le schéma effectué pour la réalisation de chaque opération et d’analyser les contraintes liées à la commercialisation. Pour ce faire un échantillon de 35 producteurs répartis entre les communautés rurales de Taïba Niasséne, Paoskoto, Prokhane et Nioro a été effectué. En effet, les résultats de notre enquête révèlent que La récolte s’effectue manuellement avec 26 personnes en moyenne par exploitation pour une durée de 4heures par jours. Cependant, les contraintes soulignées sont : la non qualification de la main d’oeuvre ; la pénibilité de la récolte due aux manques de matériels modernes et le coût de la main d’oeuvre élevé. Le séchage au champ est plus pratiqué. Les raisons de ce choix sont entre autre, le manque d’espace dans les concessions et le manque de séchoirs modernes. Le maïs est égrainé avec des égraineuses mécaniques. La durée moyenne d’égrainage est de 3heures/ tonne. La contrainte principale est : l’insuffisance des égraineuses. Le traitement s’effectue au champ et en magasins. Les moyens de transports utilisés sont la charrette, le camion et le tracteur ; en effet, les contraintes soulevées sont : La mauvaise qualité des routes causant des pertes de poids et La cherté de la location des tracteurs (17000FCFA / ha) ; Le mode de stockage le plus utilisé est le magasin. Le manque de magasin personnel car, certains producteurs conservent leur production dans des magasins collectifs, Le manque d’équipement de ces magasins en palettes et en bâches sont les contraintes les plus retrouvées au niveau du stockage ; La date de commercialisation s’étale du 23 novembre au 28 février ; Les producteurs ciblés dans notre échantillon ont signé un contrat avec la SODEFITEX avec l’appui du PCE ; Le maïs est vendu à 125 FCFA le kilogramme ; Les contraintes soulevées dans la commercialisation sont entre autre, insuffisance des points de collectes et le prix de 125 FCFA jugé faible.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002877 A034 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible La gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs dans le Département de Tambacounda / Ndoye, Ndéye Astou
Titre : La gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs dans le Département de Tambacounda Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndoye, Ndéye Astou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 49 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Maïs Opérations post-récolte Commercialisation Maïsiculteurs Chaîne de valeur Producteurs Tambacounda Résumé : Cette étude, réalisée avec le concours du PCE, de la BAMTAARE et de l’ISFAR dans le département de Tambacounda, a pour objectif de déterminer la gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs, de donner leurs contraintes et de formuler des recommandations allant dans le sens de l’amélioration de la chaine de valeur maïs. Elle a concernée 38 producteurs du département de Tambacounda. Le choix des unités statistiques à été fait suivant un échantillonnage aléatoire. Les résultats montrent que les différentes opérations post-récolte effectuées par l’ensemble des producteurs enquêtés sont les suivants : transport, séchage, égrainage, traitement et stockage. Le transport se fait dans la plupart du temps par charrette équine ou asine avec un pourcentage de 44,74% pour chacun. Le séchage au carré est effectué par plus de la moitié de la population enquêtée (68,42%).86, 84% de la population enquêtée effectuent l’égrainage manuel et seulement 13,16% font l’égrenage mécanique. Pour ce qui est du traitement, Il est pratiqué par seulement 28,95% de notre population enquêté. Et le stockage qui vient en dernier lieu est effectué dans les cases par la majorité de la population soit 67,57%.Rares sont ceux qui ont des magasins. Cependant les contraintes liées aux opérations post-récolte sont surtout le manque de main d’œuvre et d’outillage. Au niveau de l’égrainage le manque d’égraineuses constitue un problème majeur.
Ce qui fait que c’est une opération lente et dure qui nécessite beaucoup de force physique. En ce qui concerne la commercialisation les producteurs ont signé des contrats de production avec la SODEFITEX. Cette dernière leur fourni de la semence et des engrais sous forme de crédit. Et au retour les producteurs remboursent le montant dû en quantité de maïs. Mais elle rencontre d’énormes problèmes liés au non remboursement du crédit, le détournement des intrants de la culture du maïs en faveur d’autres cultures qui ne disposent pas de système d’approvisionnement organisé en intrants. Cependant le choix de bons maïsiculteurs au sein des GIE, l’appui des producteurs dans l’acquisition d’égreneuses, l’organisation de la commercialisation dans les meilleurs délais aiderait à améliorer la gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6789 La gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs dans le Département de Tambacounda [texte imprimé] / Ndoye, Ndéye Astou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 49 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
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Mots-clés : Maïs Opérations post-récolte Commercialisation Maïsiculteurs Chaîne de valeur Producteurs Tambacounda Résumé : Cette étude, réalisée avec le concours du PCE, de la BAMTAARE et de l’ISFAR dans le département de Tambacounda, a pour objectif de déterminer la gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs, de donner leurs contraintes et de formuler des recommandations allant dans le sens de l’amélioration de la chaine de valeur maïs. Elle a concernée 38 producteurs du département de Tambacounda. Le choix des unités statistiques à été fait suivant un échantillonnage aléatoire. Les résultats montrent que les différentes opérations post-récolte effectuées par l’ensemble des producteurs enquêtés sont les suivants : transport, séchage, égrainage, traitement et stockage. Le transport se fait dans la plupart du temps par charrette équine ou asine avec un pourcentage de 44,74% pour chacun. Le séchage au carré est effectué par plus de la moitié de la population enquêtée (68,42%).86, 84% de la population enquêtée effectuent l’égrainage manuel et seulement 13,16% font l’égrenage mécanique. Pour ce qui est du traitement, Il est pratiqué par seulement 28,95% de notre population enquêté. Et le stockage qui vient en dernier lieu est effectué dans les cases par la majorité de la population soit 67,57%.Rares sont ceux qui ont des magasins. Cependant les contraintes liées aux opérations post-récolte sont surtout le manque de main d’œuvre et d’outillage. Au niveau de l’égrainage le manque d’égraineuses constitue un problème majeur.
Ce qui fait que c’est une opération lente et dure qui nécessite beaucoup de force physique. En ce qui concerne la commercialisation les producteurs ont signé des contrats de production avec la SODEFITEX. Cette dernière leur fourni de la semence et des engrais sous forme de crédit. Et au retour les producteurs remboursent le montant dû en quantité de maïs. Mais elle rencontre d’énormes problèmes liés au non remboursement du crédit, le détournement des intrants de la culture du maïs en faveur d’autres cultures qui ne disposent pas de système d’approvisionnement organisé en intrants. Cependant le choix de bons maïsiculteurs au sein des GIE, l’appui des producteurs dans l’acquisition d’égreneuses, l’organisation de la commercialisation dans les meilleurs délais aiderait à améliorer la gestion des opérations post-récolte et de commercialisation du maïs.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6789 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002882 A034 NDO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible