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Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs / Sana Sagna
Titre : Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Sana Sagna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 51 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangifera indica Mangue Bactrocera invadens Mouches des fruits Plantes hôtes alternatifs Djibélor Lutte contre les mouches Piégeage Pertes de production Casamance Ravageurs Maladies Résumé : La mangue est très riche en vitamines A et C, elle contribue à la diversité alimentaire des sénégalais et participe dans la lutte contre la famine en milieu rural. Il faut noter tout de même que sa production est principalement orientée vers la commercialisation. Elle est cependant confrontée à diverses contraintes, d’ordre édaphique, climatique et surtout phytosanitaire.
En effet, depuis 2002-2003 les plantations de mangues enregistrent de grosses pertes dues aux mouches des fruits. Une étude diagnostique menée par la DPV en 2004 a révélé l’espèce de mouches des fruits Bactrocera- invadens Drew qui provoque des pertes allant de 60 à 80% (Mbaye, 2006). Cette mouche d’origine Sri Lankaise considérée comme insecte de quarantaine a freiné de facto l’exportation de mangues. Sur 7070 T de mangues exportées vers l’U.E. en 2006, 2800 tonnes ont été interceptées et détruites par les services de la protection des végétaux de l’U.E. (COLCEACP, 2007).
Plus de 3000 mouches de cette nouvelle espèce ont été capturées à Djibélor dans un verger en une semaine de piégeage, alors que le seuil pour prévenir les pertes économiques significatives est de 25 mouches par semaine par piège (Djiba, 2004 résultats non publiés).
La Casamance est restée la première productrice de mangues au Sénégal jusqu’en 1997 (selon les estimations de DHORT, 2007) mais Bactrocera invadens est devenue une véritable difficulté au point que certains planteurs de la Casamance ont pensé abandonner la production de mangues.
Dans cette région meurtrie par deux décennies d’insécurité et qui est en phase de reconstruction, il est important d’adopter une stratégie de lutte contre les mouches des fruits pour la sauvegarde du patrimoine mangues existant dans la région. Cela passera par une maîtrise des ravageurs et maladies.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6809 Dynamique de Bactrocera invadens dans les plantations de Mangifera indica à Djibélor et plantes hôtes alternatifs [texte imprimé] / Sana Sagna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 51 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangifera indica Mangue Bactrocera invadens Mouches des fruits Plantes hôtes alternatifs Djibélor Lutte contre les mouches Piégeage Pertes de production Casamance Ravageurs Maladies Résumé : La mangue est très riche en vitamines A et C, elle contribue à la diversité alimentaire des sénégalais et participe dans la lutte contre la famine en milieu rural. Il faut noter tout de même que sa production est principalement orientée vers la commercialisation. Elle est cependant confrontée à diverses contraintes, d’ordre édaphique, climatique et surtout phytosanitaire.
En effet, depuis 2002-2003 les plantations de mangues enregistrent de grosses pertes dues aux mouches des fruits. Une étude diagnostique menée par la DPV en 2004 a révélé l’espèce de mouches des fruits Bactrocera- invadens Drew qui provoque des pertes allant de 60 à 80% (Mbaye, 2006). Cette mouche d’origine Sri Lankaise considérée comme insecte de quarantaine a freiné de facto l’exportation de mangues. Sur 7070 T de mangues exportées vers l’U.E. en 2006, 2800 tonnes ont été interceptées et détruites par les services de la protection des végétaux de l’U.E. (COLCEACP, 2007).
Plus de 3000 mouches de cette nouvelle espèce ont été capturées à Djibélor dans un verger en une semaine de piégeage, alors que le seuil pour prévenir les pertes économiques significatives est de 25 mouches par semaine par piège (Djiba, 2004 résultats non publiés).
La Casamance est restée la première productrice de mangues au Sénégal jusqu’en 1997 (selon les estimations de DHORT, 2007) mais Bactrocera invadens est devenue une véritable difficulté au point que certains planteurs de la Casamance ont pensé abandonner la production de mangues.
Dans cette région meurtrie par deux décennies d’insécurité et qui est en phase de reconstruction, il est important d’adopter une stratégie de lutte contre les mouches des fruits pour la sauvegarde du patrimoine mangues existant dans la région. Cela passera par une maîtrise des ravageurs et maladies.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002838 A005 SAG Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Plantes-hôtes et parasitoïdes de Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra : suivi des lâchers de Fopius arisanus dans la région de Ziguinchor / Abdoulaye Sagna
Titre : Plantes-hôtes et parasitoïdes de Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra : suivi des lâchers de Fopius arisanus dans la région de Ziguinchor Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoulaye Sagna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 25 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Tephritidae Fopius arisanus Braconidae Parasitoïdes Casamance Lutte biologique Résumé : La forte prolifération des ravageurs surtout Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra ont causé des pertes la production de l’ordre de 30 à 60% dans la zone des Niayes voire 80% dans la région de Ziguinchor. C’est ainsi que des investigations ont été menées de juillet à septembre dans les zones de vergers et de forêts pour étudier les plantes hôtes et les parasitoïdes de B. invadens et C. cosyra en basse Casamance. Ces investigations ont concerné également le suivi des lâchers de F. arisanus dans les zones d’essais. Cette étude a permis de constater des niveaux des émergences de Tephritidae et de parasitoïdes importants en période hivernage et faible au sortir de la saison des pluies. Des spécimens de C. cosyra ont émergé de 4 plantes hôtes telles que Sarcocephalius latifolius, Annona senegalensis, Icacina senegalensis et Mangifera indica. L’espèce B. invadens a émergé des fruits de M. indica, A. senegalensis, S. latifolius. Le ravageur C. punctata a aussi infesté les fruits de M. indica, S. senegalensis et Citrus aurantium. A l’instar des Tephritidae, 8 parasitoïdes dont 7 Braconidae (Diachasmimorpha fullawayii, D. carinata, Fopius silvestrii, F. caudatus, F. desideratus, F. arisanus et Psyttalia cosyrae) et un Pteromalidae (Pteromalus sp) ont été notés. La découverte de F. arisanus dans les émergences issues des fruits collectés des zones de lâchers est un fait encourageant pour les tests d’introduction de ce parasitoïde en vue de développer la lutte biologique contre B. invadens. Toute fois l’introduction d’un parasitoïde larvaire comme D. longicaudata pour renforcer l’action parasitoïde ovopupal F. arisanus.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6743 Plantes-hôtes et parasitoïdes de Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra : suivi des lâchers de Fopius arisanus dans la région de Ziguinchor [texte imprimé] / Abdoulaye Sagna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 25 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Tephritidae Fopius arisanus Braconidae Parasitoïdes Casamance Lutte biologique Résumé : La forte prolifération des ravageurs surtout Bactrocera invadens et Ceratitis cosyra ont causé des pertes la production de l’ordre de 30 à 60% dans la zone des Niayes voire 80% dans la région de Ziguinchor. C’est ainsi que des investigations ont été menées de juillet à septembre dans les zones de vergers et de forêts pour étudier les plantes hôtes et les parasitoïdes de B. invadens et C. cosyra en basse Casamance. Ces investigations ont concerné également le suivi des lâchers de F. arisanus dans les zones d’essais. Cette étude a permis de constater des niveaux des émergences de Tephritidae et de parasitoïdes importants en période hivernage et faible au sortir de la saison des pluies. Des spécimens de C. cosyra ont émergé de 4 plantes hôtes telles que Sarcocephalius latifolius, Annona senegalensis, Icacina senegalensis et Mangifera indica. L’espèce B. invadens a émergé des fruits de M. indica, A. senegalensis, S. latifolius. Le ravageur C. punctata a aussi infesté les fruits de M. indica, S. senegalensis et Citrus aurantium. A l’instar des Tephritidae, 8 parasitoïdes dont 7 Braconidae (Diachasmimorpha fullawayii, D. carinata, Fopius silvestrii, F. caudatus, F. desideratus, F. arisanus et Psyttalia cosyrae) et un Pteromalidae (Pteromalus sp) ont été notés. La découverte de F. arisanus dans les émergences issues des fruits collectés des zones de lâchers est un fait encourageant pour les tests d’introduction de ce parasitoïde en vue de développer la lutte biologique contre B. invadens. Toute fois l’introduction d’un parasitoïde larvaire comme D. longicaudata pour renforcer l’action parasitoïde ovopupal F. arisanus.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002985 A005 SAG Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Proportion de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère Tephritidae) dans des fruits de quelques plantes-hôtes de la zone périurbaine de Ziguinchor : cas de Sarcocephalus latifolius, Psidium guajava d’Uvaria chamae et de Spondias mombin / Dramé, Solo Ibrahima
Titre : Proportion de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère Tephritidae) dans des fruits de quelques plantes-hôtes de la zone périurbaine de Ziguinchor : cas de Sarcocephalus latifolius, Psidium guajava d’Uvaria chamae et de Spondias mombin Type de document : texte imprimé Auteurs : Dramé, Solo Ibrahima, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 34 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Insectes Ravageurs Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Pullulation Plante hôte Zones périurbaines Dynamique des populations Facteurs climatiques Djibélor Ziguinchor Résumé : L’histogramme de comparaison de toutes les émergences de B.invadens et de C.cosyra montre que les populations des deux ravageurs ont été constatées durant toute la saison. La population de C.cosyra domine pendant toute la saison et que la zone de Djibelor reste toujours une zone de forte pullulation de C.cosyra à cause de l’établissement des pluies et la maturation des espèces sauvages comme l’Uvaria chamae et le Sarcocephalus latifolius .Cette augmentation de la population de C.cosyra pourrait s’expliquer par le fait que cette espèce est plus présente beaucoup plus sur les plantes hôtes sauvages de celles cultivée .Le ravageur C.cosyra y est l’espèce la plus importante avec une représentativité moyenne de 65,60% des populations des deux espèces de Tephritidae de la zone et B.invadens34,40% .
La comparaison de la dynamique de C. cosyra et de B .invadens s montre une interaction négative entre les deux espèces en faveur de C. cosyra, car au moment ou les populations de B. invadens baissent , celles de C. cosyra ont augmenté et ont commencé à prendre de l’ampleur.
La coïncidence entre ses fortes pullulations et l’établissement de conditions de pluviométrie et d’humidité importantes révèle l’importance de ces facteurs climatiques sur la dynamique des populations de cette espèce .Plus on s’éloigne de l’hivernage plus la population de B .invadens diminue au profit de celle de C. cosyra à cause de la longue période du Sarcocephalus latifolius et de l’Uvaria chamae surtout dans la zone de Djibelor ou le pic de l’insecte a été dans le temps ,alors qu’au niveau des autres localités cette période a été brève.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6738 Proportion de Bactrocera invadens (Drew Tsuruta & White) et Ceratitis cosyra (Walker) (Diptère Tephritidae) dans des fruits de quelques plantes-hôtes de la zone périurbaine de Ziguinchor : cas de Sarcocephalus latifolius, Psidium guajava d’Uvaria chamae et de Spondias mombin [texte imprimé] / Dramé, Solo Ibrahima, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 34 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Insectes Ravageurs Bactrocera invadens Ceratitis cosyra Pullulation Plante hôte Zones périurbaines Dynamique des populations Facteurs climatiques Djibélor Ziguinchor Résumé : L’histogramme de comparaison de toutes les émergences de B.invadens et de C.cosyra montre que les populations des deux ravageurs ont été constatées durant toute la saison. La population de C.cosyra domine pendant toute la saison et que la zone de Djibelor reste toujours une zone de forte pullulation de C.cosyra à cause de l’établissement des pluies et la maturation des espèces sauvages comme l’Uvaria chamae et le Sarcocephalus latifolius .Cette augmentation de la population de C.cosyra pourrait s’expliquer par le fait que cette espèce est plus présente beaucoup plus sur les plantes hôtes sauvages de celles cultivée .Le ravageur C.cosyra y est l’espèce la plus importante avec une représentativité moyenne de 65,60% des populations des deux espèces de Tephritidae de la zone et B.invadens34,40% .
La comparaison de la dynamique de C. cosyra et de B .invadens s montre une interaction négative entre les deux espèces en faveur de C. cosyra, car au moment ou les populations de B. invadens baissent , celles de C. cosyra ont augmenté et ont commencé à prendre de l’ampleur.
La coïncidence entre ses fortes pullulations et l’établissement de conditions de pluviométrie et d’humidité importantes révèle l’importance de ces facteurs climatiques sur la dynamique des populations de cette espèce .Plus on s’éloigne de l’hivernage plus la population de B .invadens diminue au profit de celle de C. cosyra à cause de la longue période du Sarcocephalus latifolius et de l’Uvaria chamae surtout dans la zone de Djibelor ou le pic de l’insecte a été dans le temps ,alors qu’au niveau des autres localités cette période a été brève.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002980 A005 DRA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Évaluation de l’établissement et de l’impact de (Fopius arisanus) en lutte biologique contre la mouche des fruits à Djibélor, région de Ziguinchor / Touré, Moussa
Titre : Évaluation de l’établissement et de l’impact de (Fopius arisanus) en lutte biologique contre la mouche des fruits à Djibélor, région de Ziguinchor Type de document : texte imprimé Auteurs : Touré, Moussa, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 28 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mouche des fruits Fopius arisanus Bactrocera invadens Parasitoïde Lutte biologique Djibélor Ziguinchor Résumé : Le présent travail a porté sur le suivi de l’établissement et de l’impact de Fopius arisanus dans la lutte biologique contre la mouche des fruits (Bactrocera Invadens) à Djibélor dans la région de Ziguinchor. Il a consisté à faire l’évaluation des dégâts de la mouche des fruits et de suivre l’impact de Fopius arisanus.
Le site de travail était constitué d’un verger avec 9 variétés de manguiers. La production des manguiers est estimée à 842 fruits par arbre. Nos résultats en mi Aout 2013 que l’incidence se situe à 64% de fruits attaqués soit 538 fruits par arbre. Le nombre de larves extraites était de 15 larves en moyenne par fruit. Les lâchers de l’ennemi naturel, F. arisanus lâché par la DPV depuis 2009 a été recapturé dans le verger échantillonné à la suite des incubations des fruits infestés par la mouche des fruits (B. invadens). F. arisanus serait bien établit avec un effet certain. Cependant, l’effet actuel de réduction des populations de ce ravageur reste encore timide. Des lâchers inondatifs nécessaires pour contrôler une population de 807 000 larves B. invadens sont estimés à 23.000 Fopius arisanus par ha.
Compte tenu de nos résultats, la lutte biologique contre la mouche des fruits pourrait rétablir l’équilibre de la qualité de la production de mangue si les efforts de lâchers sont soutenus dans le court ou moyen terme.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6329 Évaluation de l’établissement et de l’impact de (Fopius arisanus) en lutte biologique contre la mouche des fruits à Djibélor, région de Ziguinchor [texte imprimé] / Touré, Moussa, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 28 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mouche des fruits Fopius arisanus Bactrocera invadens Parasitoïde Lutte biologique Djibélor Ziguinchor Résumé : Le présent travail a porté sur le suivi de l’établissement et de l’impact de Fopius arisanus dans la lutte biologique contre la mouche des fruits (Bactrocera Invadens) à Djibélor dans la région de Ziguinchor. Il a consisté à faire l’évaluation des dégâts de la mouche des fruits et de suivre l’impact de Fopius arisanus.
Le site de travail était constitué d’un verger avec 9 variétés de manguiers. La production des manguiers est estimée à 842 fruits par arbre. Nos résultats en mi Aout 2013 que l’incidence se situe à 64% de fruits attaqués soit 538 fruits par arbre. Le nombre de larves extraites était de 15 larves en moyenne par fruit. Les lâchers de l’ennemi naturel, F. arisanus lâché par la DPV depuis 2009 a été recapturé dans le verger échantillonné à la suite des incubations des fruits infestés par la mouche des fruits (B. invadens). F. arisanus serait bien établit avec un effet certain. Cependant, l’effet actuel de réduction des populations de ce ravageur reste encore timide. Des lâchers inondatifs nécessaires pour contrôler une population de 807 000 larves B. invadens sont estimés à 23.000 Fopius arisanus par ha.
Compte tenu de nos résultats, la lutte biologique contre la mouche des fruits pourrait rétablir l’équilibre de la qualité de la production de mangue si les efforts de lâchers sont soutenus dans le court ou moyen terme.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003168 A001 TOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Insectes ravageurs des fruits de Saba Sénégalensis et Landolphia Heudelotii dans la forêt classée de Diégoune / Diémé, Seydou
Titre : Insectes ravageurs des fruits de Saba Sénégalensis et Landolphia Heudelotii dans la forêt classée de Diégoune Type de document : texte imprimé Auteurs : Diémé, Seydou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 29 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Insectes ravageurs Bactrocera invadens Tephritidae Coenosia atra Muscidae Saba senegalensis Landolphia heudelotii Ziguinchor Forêt classée Diegoune Résumé : Les filières Saba et Landolphia participent considérablement à l’amélioration des revenus des paysans de la région en période de soudure. Cependant ces trois dernières années, la filière Saba enregistre des baisses de production au profit de Landolphia. Cette étude contribue à l’identification des insectes ravageurs sur Saba senegalensis et Landolphia heudelotii dans la forêt classée de Diégoune à la période allant du 14 août au 13 septembre 2012. A cet effet, des fruits de madd et toll ont été récoltés dans les villages de Tendieme, Diégoune, Caparan, Djimakakor et de Balingore. Ces fruits ont été incubés et observés au laboratoire. Les résultats ont révélé que pendant toute la durée la présence des fruits de Saba senegalensis et Landolphia heudelotii dans tous les 5 sites avec une prédominance de Landolphia heudelotii. Leurs infestations sont principalement dues aux Tephritidae ravageurs comme Bactrocera invadens (72%) et Ceratitis punctata (28%) et au lépidoptère Cryptophlebia sp. A côté des ravageurs, les résultats révèlent également la présence des auxiliaires Muscidae comme Coenosia atra avec 48% des effectifs suivies de Coenosia attenuata 29% et de Coenosia tigrina 23%. Les relations trophiques sont révélées au sein des fruits hôtes entre les ravageurs [Tephritidae (Diptera) et Tortricidae (Lepidoptera)] et les auxiliaires Muscidae prédatrices des larves de ravageuses proies. Il sera important de renforcer les études sur ces Muscidae pour mieux cerner leur relation avec les parasitoïdes en vue d’optimiser la lutte biologique.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6714 Insectes ravageurs des fruits de Saba Sénégalensis et Landolphia Heudelotii dans la forêt classée de Diégoune [texte imprimé] / Diémé, Seydou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 29 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Insectes ravageurs Bactrocera invadens Tephritidae Coenosia atra Muscidae Saba senegalensis Landolphia heudelotii Ziguinchor Forêt classée Diegoune Résumé : Les filières Saba et Landolphia participent considérablement à l’amélioration des revenus des paysans de la région en période de soudure. Cependant ces trois dernières années, la filière Saba enregistre des baisses de production au profit de Landolphia. Cette étude contribue à l’identification des insectes ravageurs sur Saba senegalensis et Landolphia heudelotii dans la forêt classée de Diégoune à la période allant du 14 août au 13 septembre 2012. A cet effet, des fruits de madd et toll ont été récoltés dans les villages de Tendieme, Diégoune, Caparan, Djimakakor et de Balingore. Ces fruits ont été incubés et observés au laboratoire. Les résultats ont révélé que pendant toute la durée la présence des fruits de Saba senegalensis et Landolphia heudelotii dans tous les 5 sites avec une prédominance de Landolphia heudelotii. Leurs infestations sont principalement dues aux Tephritidae ravageurs comme Bactrocera invadens (72%) et Ceratitis punctata (28%) et au lépidoptère Cryptophlebia sp. A côté des ravageurs, les résultats révèlent également la présence des auxiliaires Muscidae comme Coenosia atra avec 48% des effectifs suivies de Coenosia attenuata 29% et de Coenosia tigrina 23%. Les relations trophiques sont révélées au sein des fruits hôtes entre les ravageurs [Tephritidae (Diptera) et Tortricidae (Lepidoptera)] et les auxiliaires Muscidae prédatrices des larves de ravageuses proies. Il sera important de renforcer les études sur ces Muscidae pour mieux cerner leur relation avec les parasitoïdes en vue d’optimiser la lutte biologique.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6714 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002954 F039 DIE Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible