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Contribution à l’optimisation des travaux d’entretien et de récolte manuels de la canne à sucre (Saccharum officinarum) à la CSS: analyse des normes et ratios historiques / Sidane Ndiaye
Titre : Contribution à l’optimisation des travaux d’entretien et de récolte manuels de la canne à sucre (Saccharum officinarum) à la CSS: analyse des normes et ratios historiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Sidane Ndiaye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 50 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Canne à sucre Saccharum officinarum Ratio Norme Opération manuelle Épandage d’engrais Traitement herbicide Irrigation Récolte Afrique Résumé : La Compagnie Sucrière Sénégalaise (C.S.S.), créée depuis 1970, occupe aujourd’hui une place de choix dans la production de sucre de canne en Afrique de l’Ouest. Cependant, elle ambitionne plus que jamais de satisfaire la demande du Sénégal qui n’est couverte qu’a auteur de 55%. Pour ce faire une attention particulière est portée sur les objectifs d’augmentation de la production en plein champ et de la capacité de broyage de l’usine. Aussi notre étude a été centrée sur l’analyse des ratios en ce qui concerne différentes opérations manuelles. Nos données on été obtenues à travers des enquêtes auprès des Chefs de Service, de Secteur, et de Chantier. Ainsi les résultats relatifs aux trois dernières campagnes (2009-2010,2010-2011 et 2011-2012) ont montré de façon générale une régression des ratios pour les différentes opérations d’entretien. Cette régression s’explique par des prestations du personnel de la récolte lors des pannes de l’usine devenues fréquentes ces dernières années. Tandis qu’en irrigation on observe d’abord une augmentation des ratios entre 2009-2010 et 2010-2011 causée par des départs à la retraite sans remplacement et ensuite une diminution entre 2010-2011 et la dernière campagne résultant du déploiement d’anciens coupeurs en irrigation dans les fermes. En ce qui concerne la récolte, les tonnages coupés sont beaucoup plus importants en 2009-2010 et 2011-2012 qu’en 2010-2011. Néanmoins des problèmes organisationnels causant des pertes de temps dans les lieux d’embauche ou lors du transport dues à des insuffisances d’ordre logistique font parfois que les ouvriers n’atteignent pas la norme. Les ratios faibles obtenus peuvent avoir de nombreuses raisons variables dune opération à l’autre. Pour les épandages d’engrais, l’aspect motteux de celui-ci est à l’ origine de ratios faibles tandis que pour les traitements herbicides les ruptures de stock constituent une véritable contrainte. Au cours de notre séjour, beaucoup d’impaires ont été noté dans le fonctionnement de la C.S.S. parmi les quels nous pouvons citer les lenteurs dans les procédures administratifs, un déficit du personnel et une manque de formation de ces derniers et des insuffisances sur le plan logistique. La CSS devra ainsi apporter un certain nombre de changements dans son fonctionnement pour optimiser les travaux agricoles manuels et satisfaire la demande nationale en sucre.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6741 Contribution à l’optimisation des travaux d’entretien et de récolte manuels de la canne à sucre (Saccharum officinarum) à la CSS: analyse des normes et ratios historiques [texte imprimé] / Sidane Ndiaye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 50 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Canne à sucre Saccharum officinarum Ratio Norme Opération manuelle Épandage d’engrais Traitement herbicide Irrigation Récolte Afrique Résumé : La Compagnie Sucrière Sénégalaise (C.S.S.), créée depuis 1970, occupe aujourd’hui une place de choix dans la production de sucre de canne en Afrique de l’Ouest. Cependant, elle ambitionne plus que jamais de satisfaire la demande du Sénégal qui n’est couverte qu’a auteur de 55%. Pour ce faire une attention particulière est portée sur les objectifs d’augmentation de la production en plein champ et de la capacité de broyage de l’usine. Aussi notre étude a été centrée sur l’analyse des ratios en ce qui concerne différentes opérations manuelles. Nos données on été obtenues à travers des enquêtes auprès des Chefs de Service, de Secteur, et de Chantier. Ainsi les résultats relatifs aux trois dernières campagnes (2009-2010,2010-2011 et 2011-2012) ont montré de façon générale une régression des ratios pour les différentes opérations d’entretien. Cette régression s’explique par des prestations du personnel de la récolte lors des pannes de l’usine devenues fréquentes ces dernières années. Tandis qu’en irrigation on observe d’abord une augmentation des ratios entre 2009-2010 et 2010-2011 causée par des départs à la retraite sans remplacement et ensuite une diminution entre 2010-2011 et la dernière campagne résultant du déploiement d’anciens coupeurs en irrigation dans les fermes. En ce qui concerne la récolte, les tonnages coupés sont beaucoup plus importants en 2009-2010 et 2011-2012 qu’en 2010-2011. Néanmoins des problèmes organisationnels causant des pertes de temps dans les lieux d’embauche ou lors du transport dues à des insuffisances d’ordre logistique font parfois que les ouvriers n’atteignent pas la norme. Les ratios faibles obtenus peuvent avoir de nombreuses raisons variables dune opération à l’autre. Pour les épandages d’engrais, l’aspect motteux de celui-ci est à l’ origine de ratios faibles tandis que pour les traitements herbicides les ruptures de stock constituent une véritable contrainte. Au cours de notre séjour, beaucoup d’impaires ont été noté dans le fonctionnement de la C.S.S. parmi les quels nous pouvons citer les lenteurs dans les procédures administratifs, un déficit du personnel et une manque de formation de ces derniers et des insuffisances sur le plan logistique. La CSS devra ainsi apporter un certain nombre de changements dans son fonctionnement pour optimiser les travaux agricoles manuels et satisfaire la demande nationale en sucre.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6741 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002983 A031 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Définition d’un itinéraire technique de production de plants issus d’éclats de boutures d’un œil pour le recourage à la CSS / Siléye Sy
Titre : Définition d’un itinéraire technique de production de plants issus d’éclats de boutures d’un œil pour le recourage à la CSS Type de document : texte imprimé Auteurs : Siléye Sy, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 59 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Canne à sucre Saccharum officinarum Recourage Éclats de boutures Croissance Élongation Plants de canne Canne ébourgeonnée Pieds de canne Itinéraire technique Production de plants CSS Résumé : La canne est une Graminée dont les talles ou tiges, groupées en touffes et généralement dressées, contiennent, à leur récolte, 10 à 18% de saccharose. L’absence d’espaces vides au niveau des parcelles agricoles est un élément clé du rendement agricole pour la canne à sucre. En cas de vides, la correction de ces défauts se fait par la pratique du recourage. Classiquement celui-ci utilise des boutures de trois yeux, cependant, on peut également utiliser des plants produits à partir d’éclats de boutures d’un œil. Cette présente étude avait comme objectifs, d’une part, d’identifier la combinaison densité de semis-grosseur des éclats la mieux adaptée à la production de plants aptes à la replantation 35 jours après semis et, d’autre part, d’étudier le comportement agronomique des pieds de canne sur lesquels ont été prélevés ces éclats. Les variables identifiées pour le premier essai étaient la vitesse de levée des éclats, le taux final de levée et le pourcentage de plants aptes au repiquage à 35 jours après semis. Les résultats obtenus avec le premier essai montrent que sur toutes les variables observées, les éclats de gros calibres sont meilleurs que les éclats de calibre moyen quelle que soit la densité de semis. Avec les éclats de gros calibre, le taux de levée enregistré est 88,68% avec environ 1% de mortalité et 89,52% de plants survivants aptes à être repiqués. Par contre, pour les éclats de calibre moyen, le pourcentage de levée est de 60,79% avec 9,52% de mortalité et 33,97% de plants aptes au repiquage. Par ailleurs, les résultats du deuxième essai ne montrent pas d’arrières effets négatifs du prélèvement d’éclats sur la croissance et l’élongation des pieds de canne ébourgeonnés. à l’issue de cette étude, il serait intéressant de produire des plants issus d’éclats de gros calibre qui pourraient faire l’objet d’une étude comparative de recourage par plants par rapport au recourage classique.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6748 Définition d’un itinéraire technique de production de plants issus d’éclats de boutures d’un œil pour le recourage à la CSS [texte imprimé] / Siléye Sy, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 59 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Canne à sucre Saccharum officinarum Recourage Éclats de boutures Croissance Élongation Plants de canne Canne ébourgeonnée Pieds de canne Itinéraire technique Production de plants CSS Résumé : La canne est une Graminée dont les talles ou tiges, groupées en touffes et généralement dressées, contiennent, à leur récolte, 10 à 18% de saccharose. L’absence d’espaces vides au niveau des parcelles agricoles est un élément clé du rendement agricole pour la canne à sucre. En cas de vides, la correction de ces défauts se fait par la pratique du recourage. Classiquement celui-ci utilise des boutures de trois yeux, cependant, on peut également utiliser des plants produits à partir d’éclats de boutures d’un œil. Cette présente étude avait comme objectifs, d’une part, d’identifier la combinaison densité de semis-grosseur des éclats la mieux adaptée à la production de plants aptes à la replantation 35 jours après semis et, d’autre part, d’étudier le comportement agronomique des pieds de canne sur lesquels ont été prélevés ces éclats. Les variables identifiées pour le premier essai étaient la vitesse de levée des éclats, le taux final de levée et le pourcentage de plants aptes au repiquage à 35 jours après semis. Les résultats obtenus avec le premier essai montrent que sur toutes les variables observées, les éclats de gros calibres sont meilleurs que les éclats de calibre moyen quelle que soit la densité de semis. Avec les éclats de gros calibre, le taux de levée enregistré est 88,68% avec environ 1% de mortalité et 89,52% de plants survivants aptes à être repiqués. Par contre, pour les éclats de calibre moyen, le pourcentage de levée est de 60,79% avec 9,52% de mortalité et 33,97% de plants aptes au repiquage. Par ailleurs, les résultats du deuxième essai ne montrent pas d’arrières effets négatifs du prélèvement d’éclats sur la croissance et l’élongation des pieds de canne ébourgeonnés. à l’issue de cette étude, il serait intéressant de produire des plants issus d’éclats de gros calibre qui pourraient faire l’objet d’une étude comparative de recourage par plants par rapport au recourage classique.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6748 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02990 A011 SYS Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Suivi de quelques paramètres d’irrigation et comparaison avec le système traditionnel avec canaux d’irrigation à la Compagnie Sucrière Sénégalaise / Hassamiou Sanghott
Titre : Suivi de quelques paramètres d’irrigation et comparaison avec le système traditionnel avec canaux d’irrigation à la Compagnie Sucrière Sénégalaise Type de document : texte imprimé Auteurs : Hassamiou Sanghott, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 60 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Canne à sucre Irrigation Tuyaux souples Richard Toll Paramétres d’irrigation Canaux d’irrigation CSS Débits d’eau Saccharum officinarum Résumé : Cette étude a été conduite dans la ferme 5 de la CSS. La méthodologie a consisté en une revue bibliographique, qui a abouti à une meilleure compréhension du contexte, et de la problématique liée à l’eau. La rédaction d’une synthèse de la recherche bibliographique, nous a orienté dans le choix des objectifs et la collecte des données. Les résultats montrent que le débit en tête de raie dépend par ordre d’importance à trois (3) facteurs : la hauteur de charge, la longueur de la gaine et le diamètre du siphon. La charge est instable sur le réseau d’irrigation de la ferme 5. Nous avons constaté une augmentation du débit du côté du réservoir vers la fin de la gaine, liée à une pression plus grande à la fin de la gaine. Le débit est relativement le même au début, au milieu et à la fin des parcelles U2 : sur un plan d’eau (canal) la pression est partout la même. Sur U2 la différence de débit est liée à la hauteur de charge des canaux. Le débit est plus homogène avec les siphons à amorçage manuelle et dépend du diamètre et de la longueur des siphons. Les débits sont plus importants sur U2 que U3 à cause d’une charge plus stable mais aussi du diamètre plus importants (19 mm contre 12 et 16 mm). L’amorçage des siphons en automatique (polynet) est forcément plus rapide que le manuel. Les débits plus importants notés sur les parcelles de U2 justifient pleinement le fait que ces parcelles aboutissent avant celles de U3 avec cependant des risques d’excédent. Cependant la faiblesse des différences de débit entre parcelle de même sous blocs confirme aussi le fait qu’il n’y ait pas de différence d’aboutissement au sein des sous blocs. Les avantages du polynet se résument en une meilleure gestion : de l’eau, de la main d’œuvre, des mauvaises herbes, de l’assainissement des canaux et des parcelles. La durée moyenne des irrigations avec les 2 systèmes est à peu prés la même. Une irrigation trop rapide ne permet pas une bonne infiltration de l’eau. La capacité de rétention est ainsi réduite et conduit à des risques de stress hydrique. Elle entraine une érosion hydrique et un lessivage des éléments minéraux. Une irrigation moins rapide permet d’avoir une bonne infiltration qui assure une alimentation racinaire optimale, ceci met les cultures à l’abri d’un enracinement faible et peu profond. Pour assurer une bonne alimentation des cultures, l’irrigation doit être adaptée aux conditions agropédoclimatiques. Dans les parcelles U2 tous les sillons ont abouti avant notre arrivée. Ceci veut aussi dire que la durée mesurée le matin sur les parcelles d’U2 ayant toutes abouties n’est pas correcte, la durée réelle étant surement en deçà de cette donnée. L’aboutissement a eu lieu en cours de nuit ce qui fait que des excédents d’irrigation sont possibles. Le dimensionnement du réseau d’irrigation et de drainage doit prendre en compte ces différents paramètres pour assurer un apport adéquat
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6745 Suivi de quelques paramètres d’irrigation et comparaison avec le système traditionnel avec canaux d’irrigation à la Compagnie Sucrière Sénégalaise [texte imprimé] / Hassamiou Sanghott, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 60 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Canne à sucre Irrigation Tuyaux souples Richard Toll Paramétres d’irrigation Canaux d’irrigation CSS Débits d’eau Saccharum officinarum Résumé : Cette étude a été conduite dans la ferme 5 de la CSS. La méthodologie a consisté en une revue bibliographique, qui a abouti à une meilleure compréhension du contexte, et de la problématique liée à l’eau. La rédaction d’une synthèse de la recherche bibliographique, nous a orienté dans le choix des objectifs et la collecte des données. Les résultats montrent que le débit en tête de raie dépend par ordre d’importance à trois (3) facteurs : la hauteur de charge, la longueur de la gaine et le diamètre du siphon. La charge est instable sur le réseau d’irrigation de la ferme 5. Nous avons constaté une augmentation du débit du côté du réservoir vers la fin de la gaine, liée à une pression plus grande à la fin de la gaine. Le débit est relativement le même au début, au milieu et à la fin des parcelles U2 : sur un plan d’eau (canal) la pression est partout la même. Sur U2 la différence de débit est liée à la hauteur de charge des canaux. Le débit est plus homogène avec les siphons à amorçage manuelle et dépend du diamètre et de la longueur des siphons. Les débits sont plus importants sur U2 que U3 à cause d’une charge plus stable mais aussi du diamètre plus importants (19 mm contre 12 et 16 mm). L’amorçage des siphons en automatique (polynet) est forcément plus rapide que le manuel. Les débits plus importants notés sur les parcelles de U2 justifient pleinement le fait que ces parcelles aboutissent avant celles de U3 avec cependant des risques d’excédent. Cependant la faiblesse des différences de débit entre parcelle de même sous blocs confirme aussi le fait qu’il n’y ait pas de différence d’aboutissement au sein des sous blocs. Les avantages du polynet se résument en une meilleure gestion : de l’eau, de la main d’œuvre, des mauvaises herbes, de l’assainissement des canaux et des parcelles. La durée moyenne des irrigations avec les 2 systèmes est à peu prés la même. Une irrigation trop rapide ne permet pas une bonne infiltration de l’eau. La capacité de rétention est ainsi réduite et conduit à des risques de stress hydrique. Elle entraine une érosion hydrique et un lessivage des éléments minéraux. Une irrigation moins rapide permet d’avoir une bonne infiltration qui assure une alimentation racinaire optimale, ceci met les cultures à l’abri d’un enracinement faible et peu profond. Pour assurer une bonne alimentation des cultures, l’irrigation doit être adaptée aux conditions agropédoclimatiques. Dans les parcelles U2 tous les sillons ont abouti avant notre arrivée. Ceci veut aussi dire que la durée mesurée le matin sur les parcelles d’U2 ayant toutes abouties n’est pas correcte, la durée réelle étant surement en deçà de cette donnée. L’aboutissement a eu lieu en cours de nuit ce qui fait que des excédents d’irrigation sont possibles. Le dimensionnement du réseau d’irrigation et de drainage doit prendre en compte ces différents paramètres pour assurer un apport adéquat
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6745 Réservation
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