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Effet du régime alimentaire sur les performances de croissance des juvéniles d’Oreochromis niloticus (souche fleuve Sénégal) élevés en cage flottante / Seynabou Diop Fall
Titre : Effet du régime alimentaire sur les performances de croissance des juvéniles d’Oreochromis niloticus (souche fleuve Sénégal) élevés en cage flottante Type de document : texte imprimé Auteurs : Seynabou Diop Fall, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2010 Importance : 52 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010] Langues : Français (fre) Mots-clés : Oreochromis niloticus Performance de croissance Régime alimentaire Aliment Cages flottantes Poids moyens Croissance journalière Taux de survie Fleuve Sénégal Résumé : L’étude de l’effet du régime alimentaire sur les performances de croissance des juvéniles de Oreochromis niloticus elevés en cages flottantes en milieu ouvert (canal de la Tahouey) nous a conduit à tester deux aliments : un aliment importé et un aliment local. Trois lots de poisson sont repartis dans six (6) cages en répliquât : un lot nourri avec un aliment local avec une teneur en protéine de 28% (sous produits agroindustriels), un lot nourri avec un aliment importé de la Belgique avec une teneur en protéine de 45%, un lot de poisson témoin c'est-à-dire non nourris qui profitent de la production primaire du milieu. Les poids moyens initiaux ont été de 14,97±0,834 g pour le lot nourris avec l’aliment local, de 15,2±1,018 g pour le lot nourris avec l’aliment importé et de 15,5 ± 0,424 g pour le lot témoin. L’expérience a duré deux mois.
Les poissons du traitement avec l’aliment importé ont eu la meilleure croissance avec comme poids moyen final 121,5±5,657 g, puis le traitement avec l’aliment local avec 34,06±1,768 et enfin le traitement témoin avec 19,69±0,612 g.
Les meilleures vitesses de croissance après chaque quinze jours sont enregistrées avec le traitement de l’aliment importé, suivi par celui de l’aliment local et puis du traitement témoin.
Le taux de conversion alimentaire est bon pour les deux types d’aliments testés avec 1,37 pour l’aliment importé et 2,13 pour l’aliment local.
Le taux de survie était très faible pour le lot de poissons non nourris (30%). Et pour les traitements avec des aliments le taux de survie était bon avec 80% pour l’aliment local et 85% pour l’aliment importé.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6831 Effet du régime alimentaire sur les performances de croissance des juvéniles d’Oreochromis niloticus (souche fleuve Sénégal) élevés en cage flottante [texte imprimé] / Seynabou Diop Fall, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2010 . - 52 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2010]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Oreochromis niloticus Performance de croissance Régime alimentaire Aliment Cages flottantes Poids moyens Croissance journalière Taux de survie Fleuve Sénégal Résumé : L’étude de l’effet du régime alimentaire sur les performances de croissance des juvéniles de Oreochromis niloticus elevés en cages flottantes en milieu ouvert (canal de la Tahouey) nous a conduit à tester deux aliments : un aliment importé et un aliment local. Trois lots de poisson sont repartis dans six (6) cages en répliquât : un lot nourri avec un aliment local avec une teneur en protéine de 28% (sous produits agroindustriels), un lot nourri avec un aliment importé de la Belgique avec une teneur en protéine de 45%, un lot de poisson témoin c'est-à-dire non nourris qui profitent de la production primaire du milieu. Les poids moyens initiaux ont été de 14,97±0,834 g pour le lot nourris avec l’aliment local, de 15,2±1,018 g pour le lot nourris avec l’aliment importé et de 15,5 ± 0,424 g pour le lot témoin. L’expérience a duré deux mois.
Les poissons du traitement avec l’aliment importé ont eu la meilleure croissance avec comme poids moyen final 121,5±5,657 g, puis le traitement avec l’aliment local avec 34,06±1,768 et enfin le traitement témoin avec 19,69±0,612 g.
Les meilleures vitesses de croissance après chaque quinze jours sont enregistrées avec le traitement de l’aliment importé, suivi par celui de l’aliment local et puis du traitement témoin.
Le taux de conversion alimentaire est bon pour les deux types d’aliments testés avec 1,37 pour l’aliment importé et 2,13 pour l’aliment local.
Le taux de survie était très faible pour le lot de poissons non nourris (30%). Et pour les traitements avec des aliments le taux de survie était bon avec 80% pour l’aliment local et 85% pour l’aliment importé.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6831 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002819 F001 FAL Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etude comparative de deux régimes alimentaires à base de sous-produits agro-industriels locaux chez les alevins de Tilapia, Oreochromis niloticus du fleuve Sénégal / Ndiaye, Malick
Titre : Etude comparative de deux régimes alimentaires à base de sous-produits agro-industriels locaux chez les alevins de Tilapia, Oreochromis niloticus du fleuve Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndiaye, Malick, Auteur Editeur : ISFAR ex ENCR Année de publication : 2014 Importance : 35 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Oreochromis niloticus Alevins Tilapia Régimes alimentaire Aliment Sous-produits locaux Produits agro-industriels Happa Poids moyen Croissance journalière Taux de survie Vallée du fleuve Sénégal Résumé : La présente étude a pour objectif de comparer deux aliments à base de sous-produits agro-industriels locaux à un aliment importé. Chacun de ces régimes a été testé en triplicata dans des happas de 2m3 avec une densité de mise en charge de 1kg d’alevins de Tilapia par happa (200 individus) avec un poids moyen individuel de 5g. En effet, les paramètres physico-chimiques de l’eau ont été relevés deux (2) fois par jour, le matin et le soir. Des pêches de contrôle ont été effectuées tous les quinze (15) jours pour pouvoir déterminer le taux de survie et la performance de chaque aliment sur la croissance des alevins de Oreochromis niloticus. La ration journalière a été distribuée cinq (5) fois dans la journée avec 10% de la biomasse. Après quarante-cinq (45) jours d’élevage dans un étang de la station piscicole de Richard-TOLL, les résultats suivants ont été obtenus :
Avec 33% de protéines les poissons nourris avec l’aliment A2 (fabriqué au niveau de la station piscicole de l’ANA) ont enregistré 99,44% de survie et de meilleures performances de croissance par rapport aux autres (un gain de poids moyen de 3,09±0,53g, une croissance individuelle journalière de 0,21±0,04g/j, un taux de croissance spécifique de 0,02±0,01% pc/j et un taux de conversion de 1,79±0,26).
Les poissons qui ont reçu l’aliment A1 (fabriqué par l’entreprise PRESLOC) ont montré de faibles performances (un gain de poids moyen (GPM) : 1,82±0,45g, une croissance individuelle journalière (CIJ) : 0,12±0,03g/j, un taux de croissance spécifique (TCS) : 0,02±0,01% pc/j et un taux de conversion alimentaire (TCA) : 1,64±0,01). Cet aliment a presque la même teneur en protéine (33,26%) que l’aliment A2. Statistiquement, ces résultats ne sont pas différents de ceux obtenus avec l’aliment A3 (importé de la chine avec 30% de protéines). Ce régime A3 n’a donné que 1,86±0,71g en 45 jours, soit une CIJ de 0,12±0,05 g/j, un TCS de 0,02±0,01 % pc/j et un TCA de 1,64±0,01.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6272 Etude comparative de deux régimes alimentaires à base de sous-produits agro-industriels locaux chez les alevins de Tilapia, Oreochromis niloticus du fleuve Sénégal [texte imprimé] / Ndiaye, Malick, Auteur . - Bambey, Sénégal : ISFAR ex ENCR, 2014 . - 35 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Oreochromis niloticus Alevins Tilapia Régimes alimentaire Aliment Sous-produits locaux Produits agro-industriels Happa Poids moyen Croissance journalière Taux de survie Vallée du fleuve Sénégal Résumé : La présente étude a pour objectif de comparer deux aliments à base de sous-produits agro-industriels locaux à un aliment importé. Chacun de ces régimes a été testé en triplicata dans des happas de 2m3 avec une densité de mise en charge de 1kg d’alevins de Tilapia par happa (200 individus) avec un poids moyen individuel de 5g. En effet, les paramètres physico-chimiques de l’eau ont été relevés deux (2) fois par jour, le matin et le soir. Des pêches de contrôle ont été effectuées tous les quinze (15) jours pour pouvoir déterminer le taux de survie et la performance de chaque aliment sur la croissance des alevins de Oreochromis niloticus. La ration journalière a été distribuée cinq (5) fois dans la journée avec 10% de la biomasse. Après quarante-cinq (45) jours d’élevage dans un étang de la station piscicole de Richard-TOLL, les résultats suivants ont été obtenus :
Avec 33% de protéines les poissons nourris avec l’aliment A2 (fabriqué au niveau de la station piscicole de l’ANA) ont enregistré 99,44% de survie et de meilleures performances de croissance par rapport aux autres (un gain de poids moyen de 3,09±0,53g, une croissance individuelle journalière de 0,21±0,04g/j, un taux de croissance spécifique de 0,02±0,01% pc/j et un taux de conversion de 1,79±0,26).
Les poissons qui ont reçu l’aliment A1 (fabriqué par l’entreprise PRESLOC) ont montré de faibles performances (un gain de poids moyen (GPM) : 1,82±0,45g, une croissance individuelle journalière (CIJ) : 0,12±0,03g/j, un taux de croissance spécifique (TCS) : 0,02±0,01% pc/j et un taux de conversion alimentaire (TCA) : 1,64±0,01). Cet aliment a presque la même teneur en protéine (33,26%) que l’aliment A2. Statistiquement, ces résultats ne sont pas différents de ceux obtenus avec l’aliment A3 (importé de la chine avec 30% de protéines). Ce régime A3 n’a donné que 1,86±0,71g en 45 jours, soit une CIJ de 0,12±0,05 g/j, un TCS de 0,02±0,01 % pc/j et un TCA de 1,64±0,01.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6272 Réservation
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Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003221 F001 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003221 b F001 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Test de faisabilité de la pisciculture en cages flottantes d’Oreochromis Niloticus dans la vallée aménagée de Senghor (Sokone) / Diallo, Cheikh Amadou
Titre : Test de faisabilité de la pisciculture en cages flottantes d’Oreochromis Niloticus dans la vallée aménagée de Senghor (Sokone) Type de document : texte imprimé Auteurs : Diallo, Cheikh Amadou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 51 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pisciculture Vallée de Senghor Aménagement Test Pisciculture en cages Oreochromis niloticus Échantillonnage Croissance journalière Taux de survie Résumé : La sécheresse des années 1970 avec comme corolaire un important déficit pluviométrique a entrainé la salinisation des sols au niveau de la vallée de Senghor par l’intrusion des eaux salées du "Diomboss". Ce phénomène entraina ainsi une dégradation des terres cultivables et une baisse des rendements agricoles. Pour lutter contre l’expansion de la salinité, des aménagements sont entrepris avec notamment l’édification d’une digue anti- sel. Cette digue, a permis d’une part d’éliminer la cause de la salinité et d’autre part de stocker un volume d’eau assez important sous forme de lac artificiel. Plusieurs années après l’installation de la digue le niveau de salinité du plan d’eau formé à partir des eaux de ruissellement a fortement baissé, devenant ainsi une potentialité pour les populations riveraines. Ces dernières, avec l’appui de la Caritas à travers le PROMASC coordonné par l’ISRA/CNRF ont initié un test de faisabilité de la pisciculture en cages de Oreochromis niloticus. Ce test avait pour objectifs de cerner les aptitudes des eaux de cette vallée quant à la pratique de la pisciculture en cage.
Pour ce faire, il a fait usages de deux cages de 14m3 installées sur le plan d’eau. L’espèce utilisée est Oreochromis niloticus souche du fleuve Sénégal. L’étude se propose ainsi de mesurer les paramètres physico-chimiques (température, conductivité, pH) des eaux, de suivre l’évolution de la croissance et du taux de survie des poissons par des échantillonnages réguliers et enfin d’évaluer les investissements nécessaires pour mettre en oeuvre l’opération.
A l’issue du suivi les valeurs moyennes obtenues pour la température, la conductivité et le ph sont respectivement 30,8°C ; 1,09mS/cm et 7,1. S’agissant de la croissance pondérale, les poissons dans la cage 1 ont atteint un poids moyen individuel de 125,8g après 132jours et 56,3g après 97 jours respectivement pour la population 1 et 2. Dans la cage 2, les individus de la population 1 et 2 ont pesé respectivement 196,3g après 132 jours et 75,5g après 97 jours.
Les croissances journalières individuelles correspondantes sont 0,83 et 0,43g/jour respectivement pour les populations 1 et 2 dans la cage 1; 1,37 et 0,63 g/jour pour les populations 1 et 2 dans la cage2. Les résultats obtenus pour les taux de survie sont 77 ,88% dans la cage 1 et 76 ,47% dans la cage 2.Ces résultats bien que préliminaires sont prometteurs quant à la possibilité de pratiquer la pisciculture en cages de Oreochromis niloticus dans la vallée de Senghor.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6766 Test de faisabilité de la pisciculture en cages flottantes d’Oreochromis Niloticus dans la vallée aménagée de Senghor (Sokone) [texte imprimé] / Diallo, Cheikh Amadou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 51 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pisciculture Vallée de Senghor Aménagement Test Pisciculture en cages Oreochromis niloticus Échantillonnage Croissance journalière Taux de survie Résumé : La sécheresse des années 1970 avec comme corolaire un important déficit pluviométrique a entrainé la salinisation des sols au niveau de la vallée de Senghor par l’intrusion des eaux salées du "Diomboss". Ce phénomène entraina ainsi une dégradation des terres cultivables et une baisse des rendements agricoles. Pour lutter contre l’expansion de la salinité, des aménagements sont entrepris avec notamment l’édification d’une digue anti- sel. Cette digue, a permis d’une part d’éliminer la cause de la salinité et d’autre part de stocker un volume d’eau assez important sous forme de lac artificiel. Plusieurs années après l’installation de la digue le niveau de salinité du plan d’eau formé à partir des eaux de ruissellement a fortement baissé, devenant ainsi une potentialité pour les populations riveraines. Ces dernières, avec l’appui de la Caritas à travers le PROMASC coordonné par l’ISRA/CNRF ont initié un test de faisabilité de la pisciculture en cages de Oreochromis niloticus. Ce test avait pour objectifs de cerner les aptitudes des eaux de cette vallée quant à la pratique de la pisciculture en cage.
Pour ce faire, il a fait usages de deux cages de 14m3 installées sur le plan d’eau. L’espèce utilisée est Oreochromis niloticus souche du fleuve Sénégal. L’étude se propose ainsi de mesurer les paramètres physico-chimiques (température, conductivité, pH) des eaux, de suivre l’évolution de la croissance et du taux de survie des poissons par des échantillonnages réguliers et enfin d’évaluer les investissements nécessaires pour mettre en oeuvre l’opération.
A l’issue du suivi les valeurs moyennes obtenues pour la température, la conductivité et le ph sont respectivement 30,8°C ; 1,09mS/cm et 7,1. S’agissant de la croissance pondérale, les poissons dans la cage 1 ont atteint un poids moyen individuel de 125,8g après 132jours et 56,3g après 97 jours respectivement pour la population 1 et 2. Dans la cage 2, les individus de la population 1 et 2 ont pesé respectivement 196,3g après 132 jours et 75,5g après 97 jours.
Les croissances journalières individuelles correspondantes sont 0,83 et 0,43g/jour respectivement pour les populations 1 et 2 dans la cage 1; 1,37 et 0,63 g/jour pour les populations 1 et 2 dans la cage2. Les résultats obtenus pour les taux de survie sont 77 ,88% dans la cage 1 et 76 ,47% dans la cage 2.Ces résultats bien que préliminaires sont prometteurs quant à la possibilité de pratiquer la pisciculture en cages de Oreochromis niloticus dans la vallée de Senghor.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6766 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002899 F001 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible