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L’élevage des ovins dans la ville de Kaolack: situation et perspectives / Goudiaby, Mamadou Diahondo
Titre : L’élevage des ovins dans la ville de Kaolack: situation et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Goudiaby, Mamadou Diahondo, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 39 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Elevage ovin Mouton Système d’élevage Caractérisation socioprofessionnelle Organisations professionnelles d’éleveurs Race ovine Kaolack Résumé : L’étude de l’élevage des moutons a été réalisée dans la commune de Kaolack qui se situe à 192 km de Dakar. A Kaolack, l’élevage de mouton se pratique dans presque toutes les maisons. Les éleveurs qui s’activent dans ce domaine, exercent différentes activités professionnelles. Ils sont fonctionnaires (27,37%), commerçants (26,32%), ouvriers (18,95%), retraités (18,95%), chômeurs (5,24%), les maîtres coranique (3,17%) dont la moyenne d’âge est 48 ans. Les différentes races élevées sont le ladoum (34,74%), le bali le bali (5,26%), le touabire (18,95%) et les issus de croisement (41,05%). Les différents acteurs de la filière sont les éleveurs, les vétérinaires, les vendeurs d’aliments de bétail, les organisations professionnelles agricoles, les dibiteurs, les bouchers-chevillards, les vendeurs de cornes et les collecteurs de cuirs et peaux. Différents aliments de bétail sont utilisés. Le carton est devenu un intrant alimentaire pour la quasi-totalité des éleveurs. Les rations alimentaires ne sont pas stables et varient suivant les saisons et les moyens financiers des éleveurs. Les maladies les plus courantes sont: bronchopneumonies, gales, arthrites, diarrhées, fièvres, pasteurelloses et peste des petits ruminants. Les éleveurs sont regroupés dans des organisations professionnelles telles que le Rassemblement des Amis du mouton du Saloum (RAMS), l’AGARO (l’Association pour la Gestion et l’Amélioration de la Race Ovine) et l’AGROPROV (Association des Groupements de Producteurs d’Ovins). Les revenus annuels tirés de l’activité des différents types d’élevage sont de 373 000 FCFA (ladoum), 103 500 FCFA (bali-bali), 26 000 FCFA (touabire), 353 000 FCFA (mixte). Les éleveurs sont confrontés à certaines difficultés qui sont entre autres : la cherté des intrants, l’étroitesse des maisons, le vol de bétail, le manque de suivi vétérinaire, le déficit de formation.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6287 L’élevage des ovins dans la ville de Kaolack: situation et perspectives [texte imprimé] / Goudiaby, Mamadou Diahondo, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 39 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Elevage ovin Mouton Système d’élevage Caractérisation socioprofessionnelle Organisations professionnelles d’éleveurs Race ovine Kaolack Résumé : L’étude de l’élevage des moutons a été réalisée dans la commune de Kaolack qui se situe à 192 km de Dakar. A Kaolack, l’élevage de mouton se pratique dans presque toutes les maisons. Les éleveurs qui s’activent dans ce domaine, exercent différentes activités professionnelles. Ils sont fonctionnaires (27,37%), commerçants (26,32%), ouvriers (18,95%), retraités (18,95%), chômeurs (5,24%), les maîtres coranique (3,17%) dont la moyenne d’âge est 48 ans. Les différentes races élevées sont le ladoum (34,74%), le bali le bali (5,26%), le touabire (18,95%) et les issus de croisement (41,05%). Les différents acteurs de la filière sont les éleveurs, les vétérinaires, les vendeurs d’aliments de bétail, les organisations professionnelles agricoles, les dibiteurs, les bouchers-chevillards, les vendeurs de cornes et les collecteurs de cuirs et peaux. Différents aliments de bétail sont utilisés. Le carton est devenu un intrant alimentaire pour la quasi-totalité des éleveurs. Les rations alimentaires ne sont pas stables et varient suivant les saisons et les moyens financiers des éleveurs. Les maladies les plus courantes sont: bronchopneumonies, gales, arthrites, diarrhées, fièvres, pasteurelloses et peste des petits ruminants. Les éleveurs sont regroupés dans des organisations professionnelles telles que le Rassemblement des Amis du mouton du Saloum (RAMS), l’AGARO (l’Association pour la Gestion et l’Amélioration de la Race Ovine) et l’AGROPROV (Association des Groupements de Producteurs d’Ovins). Les revenus annuels tirés de l’activité des différents types d’élevage sont de 373 000 FCFA (ladoum), 103 500 FCFA (bali-bali), 26 000 FCFA (touabire), 353 000 FCFA (mixte). Les éleveurs sont confrontés à certaines difficultés qui sont entre autres : la cherté des intrants, l’étroitesse des maisons, le vol de bétail, le manque de suivi vétérinaire, le déficit de formation.
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