Titre : |
Analyse des stratégies de gestion des écosystèmes de mangrove dans l’Aire Marine Protégée (AMP) Niamone-Kalounayes : Cas de la Commune de Coubalan (Casamance, Sénégal). |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
El Hadji Ibrahima Bitèye, Auteur |
Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
Année de publication : |
2019 |
Importance : |
41 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
30 cm |
Note générale : |
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Mangrove Gestion des écosystèmes Écosystème mangrove Aire Marine Protégée AMP Niamone-Kalounayes Coubalan Casamance |
Résumé : |
Les zones humides côtières du Sénégal constituent des écosystèmes fragiles, riches en biodiversité notamment les mangroves. Cependant la grande sécheresse des années 1970 qui a frappé l’ensemble des pays du Sahel, s’est répercutée sur les écosystèmes de mangroves par une forte régression des superficies de celles-ci. C’est pourquoi ce travail de recherche porte sur l’analyse de la dynamique et des stratégies de gestion développées par les acteurs et les partenaires pour la restauration de l’écosystème mangrove dans la Commune de Coubalan. L’approche méthodologique se base sur une analyse des cartes à partir d’images satellitaires et des données de terrain. Les résultats des cartes de 1988, 2000 et 2018 montrent de manière générale une tendance progressive de la superficie de mangrove même si par endroits la mangrove a connu une régression, dans d’autres la régénération est observée. Les enquêtes ont montré que la baisse de la pluviométrie a été la principale cause de la régression enregistrée dans les années 80, qui a favorisé l’augmentation de la salinité entrainant la disparition des palétuviers au profit des tannes. A ces causes s’ajoute la coupe du bois de mangrove. Face à cette situation les populations ont été les premières à mettre en place des stratégies de gestion, c’est par la suite que l’Etat (Eaux et Forêts et AMP) et les ONG sont venus renforcer ces initiatives des populations. Il ressort à la suite des enquêtes réalisées et la mission d’observation au sein de la mangrove que ces initiatives et notamment le reboisement de la mangrove ont été efficaces.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7347 |
Analyse des stratégies de gestion des écosystèmes de mangrove dans l’Aire Marine Protégée (AMP) Niamone-Kalounayes : Cas de la Commune de Coubalan (Casamance, Sénégal). [texte imprimé] / El Hadji Ibrahima Bitèye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2019 . - 41 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2019 ] Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Mangrove Gestion des écosystèmes Écosystème mangrove Aire Marine Protégée AMP Niamone-Kalounayes Coubalan Casamance |
Résumé : |
Les zones humides côtières du Sénégal constituent des écosystèmes fragiles, riches en biodiversité notamment les mangroves. Cependant la grande sécheresse des années 1970 qui a frappé l’ensemble des pays du Sahel, s’est répercutée sur les écosystèmes de mangroves par une forte régression des superficies de celles-ci. C’est pourquoi ce travail de recherche porte sur l’analyse de la dynamique et des stratégies de gestion développées par les acteurs et les partenaires pour la restauration de l’écosystème mangrove dans la Commune de Coubalan. L’approche méthodologique se base sur une analyse des cartes à partir d’images satellitaires et des données de terrain. Les résultats des cartes de 1988, 2000 et 2018 montrent de manière générale une tendance progressive de la superficie de mangrove même si par endroits la mangrove a connu une régression, dans d’autres la régénération est observée. Les enquêtes ont montré que la baisse de la pluviométrie a été la principale cause de la régression enregistrée dans les années 80, qui a favorisé l’augmentation de la salinité entrainant la disparition des palétuviers au profit des tannes. A ces causes s’ajoute la coupe du bois de mangrove. Face à cette situation les populations ont été les premières à mettre en place des stratégies de gestion, c’est par la suite que l’Etat (Eaux et Forêts et AMP) et les ONG sont venus renforcer ces initiatives des populations. Il ressort à la suite des enquêtes réalisées et la mission d’observation au sein de la mangrove que ces initiatives et notamment le reboisement de la mangrove ont été efficaces.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=7347 |
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