Titre : |
Contribution de l’agroforesterie a l’adaptation de l’agriculture face aux changements climatiques dans la zone d’intervention de la FADEC/SUD |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Adjiratou Fama Diop, Auteur |
Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
32 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
30 cm |
Note générale : |
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Changement climatique Pratique agro-forestière Systèmes agro-forestiers Régénération naturelle assistée Brise-vent Haie-vive |
Résumé : |
Les pays sahéliens sont confrontés depuis plusieurs décennies à une dégradation continue de
leur environnement se traduisant par une crise énergétique et un déficit alimentaire de plus en plus aigus .C’est donc dans ce contexte que se déroule ce présent travail portant sur la contribution de l’agroforesterie à l’adaptation de l’agriculture face aux changements climatiques dans la zone d’intervention de la FADEC/SUD plus précisément dans les terroirs villageois de Beity Gueye, Touba Dior et Makka Sarr, Ndirène et Lissar. Ainsi un questionnaire d’enquête et un guide d’entretien ont permis à l’analyse des pratiques agro-forestières mises en œuvre par les agriculteurs pour faire face aux changements climatiques. Les chefs de ménages ont été ciblés et résultats montrent que 65% des personnes enquêtées n’ont pas fait l’école française. Les manifestations des changements climatiques dans ces terroirs sont, le retard pluviométrique, le déficit pluviométrique, la chaleur et enfin l’arrêt tardif des pluies. Face à ces manifestations les agriculteurs adoptent des pratiques agro-forestières : 98% ont adopté la RNA, 44% les brises vents et enfin 7% les haies vives. Les pratiques agro-forestières permettent d’avoir des sources de revenus, du fourrage, une amélioration de la qualité nutritionnelle et de confectionner les clôtures de maison. Les principales activités dans la zone sont l’agriculture, l’élevage et le petit commerce. L’agriculture est particulièrement de type vivrier et concerne plus les céréales (mil). Les cultures de rente sont constituées de l’arachide et du niébé. Mais on note de plus en plus des ménages qui font la culture maraichère (manioc, oignon, aubergine, tomate, choux. Malgré toutes ces potentialités dont regorgent les systèmes agro-forestiers de cette zone, elles subissent néanmoins de fortes pressions causées par des actions d’origine anthropique (coupe illicite).
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10266 |
Contribution de l’agroforesterie a l’adaptation de l’agriculture face aux changements climatiques dans la zone d’intervention de la FADEC/SUD [texte imprimé] / Adjiratou Fama Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 32 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Changement climatique Pratique agro-forestière Systèmes agro-forestiers Régénération naturelle assistée Brise-vent Haie-vive |
Résumé : |
Les pays sahéliens sont confrontés depuis plusieurs décennies à une dégradation continue de
leur environnement se traduisant par une crise énergétique et un déficit alimentaire de plus en plus aigus .C’est donc dans ce contexte que se déroule ce présent travail portant sur la contribution de l’agroforesterie à l’adaptation de l’agriculture face aux changements climatiques dans la zone d’intervention de la FADEC/SUD plus précisément dans les terroirs villageois de Beity Gueye, Touba Dior et Makka Sarr, Ndirène et Lissar. Ainsi un questionnaire d’enquête et un guide d’entretien ont permis à l’analyse des pratiques agro-forestières mises en œuvre par les agriculteurs pour faire face aux changements climatiques. Les chefs de ménages ont été ciblés et résultats montrent que 65% des personnes enquêtées n’ont pas fait l’école française. Les manifestations des changements climatiques dans ces terroirs sont, le retard pluviométrique, le déficit pluviométrique, la chaleur et enfin l’arrêt tardif des pluies. Face à ces manifestations les agriculteurs adoptent des pratiques agro-forestières : 98% ont adopté la RNA, 44% les brises vents et enfin 7% les haies vives. Les pratiques agro-forestières permettent d’avoir des sources de revenus, du fourrage, une amélioration de la qualité nutritionnelle et de confectionner les clôtures de maison. Les principales activités dans la zone sont l’agriculture, l’élevage et le petit commerce. L’agriculture est particulièrement de type vivrier et concerne plus les céréales (mil). Les cultures de rente sont constituées de l’arachide et du niébé. Mais on note de plus en plus des ménages qui font la culture maraichère (manioc, oignon, aubergine, tomate, choux. Malgré toutes ces potentialités dont regorgent les systèmes agro-forestiers de cette zone, elles subissent néanmoins de fortes pressions causées par des actions d’origine anthropique (coupe illicite).
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10266 |
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