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Etude comparative de la réponse à la fertilisation organo- minérale de deux variétés de mil (Souna 3 et Thialack 2) en fonction de deux écartements de semis à Bambey et à Nioro / Ndione, Malick
Titre : Etude comparative de la réponse à la fertilisation organo- minérale de deux variétés de mil (Souna 3 et Thialack 2) en fonction de deux écartements de semis à Bambey et à Nioro Type de document : texte imprimé Auteurs : Ndione, Malick, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2018 Importance : 32 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR, 2018] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mil Souna 3 Thialack 2 Variétés de mil Environnement Fertilisation Écartement Résumé : Première céréale du Sénégal, le mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.] continu d’être semé à seulement 12345 poquets / ha au moment où certaines céréales comme le maïs sont à plus de 55 000 poquets /ha. En plus de cela sa formule de fertilisation développée par l’ISRA depuis les années 70 continue d’être appliquée partout sans prise en compte de la variabilité pédoclimatique, de la dégradation des terres et des besoins du nouveau matériel végétal mis en place par la recherche. Cette étude qui a été conduite pendant l’hivernage 2017 dans les stations expérimentales de l’ISRA de Bambey et de Nioro suivant un dispositif en split-split-plot avec trois répétitions, a pour objectif (1) de comparer la réponse de la variété Souna 3 et de la variété Thialack 2 à différentes formules de fertilisation minérale et organique (24 doses) en fonction de l’environnement de production et de la densité de semis (12346 plants/ha et 24694 plants/ha). Les résultats obtenus montrent des différences significatives en fonction de l’environnement, de la densité de semis mais aussi de la dose de fertilisation. C’est ainsi par exemple qu’à Bambey pour la variété Thialack 2, le traitement T20(13,1N+10,9P+2,2K permet le meilleur rendement grains avec 2999,6kg /ha alors qu’avec l’écartement 1 c’est plutôt le traitement T24(202MO+12.3N+7,3P+3K) qui permet le meilleur rendement avec 2636 kg /ha. Quant à la variété Souna 3 le meilleur rendement grains est obtenu à l’écartement 1 avec le traitement T8(10N+7,3P+3K) qui permet d’obtenir 1401,01kg /ha alors qu'avec l'écartement 2 c'est plutôt le traitement T24(202MO+5N+2,5P+1,5K) qui donne le meilleur rendement avec 1222,74 kg /ha. A Nioro, quel que soit la variété, les meilleurs rendements en grains sont toujours produits à l’écartement 2 avec 3968,9 kg/ha pour Thialack 2 sous traitement T17(8,1N+3,6P+2,2K) et 3433, 92 kg /ha pour Souna 3 sous traitement T5(6N+3.6P+1,5K). A l’écartement 1 dans ce site, Thialack 2 donne 2876, 08 kg /ha avec le traitement T13(12.1N+8,9P+3K) contre 2391,4 kg /ha pour Souna 3 avec le traitement T18(12,1N+7,3P+3K). La formule de fertilisation du mil ne semble plus donc donner le meilleur rendement grains et l’application d’une formule standard à toutes les variétés de mil ne semble donc pas logique. Par ailleurs la nouvelle variété de mil Thialack 2 semble aussi être largement plus performante que l’ancienne la Souna et accepte beaucoup plus une densification de son semis.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6648 Etude comparative de la réponse à la fertilisation organo- minérale de deux variétés de mil (Souna 3 et Thialack 2) en fonction de deux écartements de semis à Bambey et à Nioro [texte imprimé] / Ndione, Malick, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2018 . - 32 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR, 2018]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mil Souna 3 Thialack 2 Variétés de mil Environnement Fertilisation Écartement Résumé : Première céréale du Sénégal, le mil [Pennisetum glaucum (L.) R. Br.] continu d’être semé à seulement 12345 poquets / ha au moment où certaines céréales comme le maïs sont à plus de 55 000 poquets /ha. En plus de cela sa formule de fertilisation développée par l’ISRA depuis les années 70 continue d’être appliquée partout sans prise en compte de la variabilité pédoclimatique, de la dégradation des terres et des besoins du nouveau matériel végétal mis en place par la recherche. Cette étude qui a été conduite pendant l’hivernage 2017 dans les stations expérimentales de l’ISRA de Bambey et de Nioro suivant un dispositif en split-split-plot avec trois répétitions, a pour objectif (1) de comparer la réponse de la variété Souna 3 et de la variété Thialack 2 à différentes formules de fertilisation minérale et organique (24 doses) en fonction de l’environnement de production et de la densité de semis (12346 plants/ha et 24694 plants/ha). Les résultats obtenus montrent des différences significatives en fonction de l’environnement, de la densité de semis mais aussi de la dose de fertilisation. C’est ainsi par exemple qu’à Bambey pour la variété Thialack 2, le traitement T20(13,1N+10,9P+2,2K permet le meilleur rendement grains avec 2999,6kg /ha alors qu’avec l’écartement 1 c’est plutôt le traitement T24(202MO+12.3N+7,3P+3K) qui permet le meilleur rendement avec 2636 kg /ha. Quant à la variété Souna 3 le meilleur rendement grains est obtenu à l’écartement 1 avec le traitement T8(10N+7,3P+3K) qui permet d’obtenir 1401,01kg /ha alors qu'avec l'écartement 2 c'est plutôt le traitement T24(202MO+5N+2,5P+1,5K) qui donne le meilleur rendement avec 1222,74 kg /ha. A Nioro, quel que soit la variété, les meilleurs rendements en grains sont toujours produits à l’écartement 2 avec 3968,9 kg/ha pour Thialack 2 sous traitement T17(8,1N+3,6P+2,2K) et 3433, 92 kg /ha pour Souna 3 sous traitement T5(6N+3.6P+1,5K). A l’écartement 1 dans ce site, Thialack 2 donne 2876, 08 kg /ha avec le traitement T13(12.1N+8,9P+3K) contre 2391,4 kg /ha pour Souna 3 avec le traitement T18(12,1N+7,3P+3K). La formule de fertilisation du mil ne semble plus donc donner le meilleur rendement grains et l’application d’une formule standard à toutes les variétés de mil ne semble donc pas logique. Par ailleurs la nouvelle variété de mil Thialack 2 semble aussi être largement plus performante que l’ancienne la Souna et accepte beaucoup plus une densification de son semis.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6648 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003693 A010 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003693 b A010 NDI Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride / Diop, Abdou Kogna
Titre : Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Abdou Kogna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 33 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fertilisation minérale Guiera senegalensis Mil Souna 3 Zone semi-aride Cycle de développement Keur Matar Aram Résumé : L’agriculture en zone semi-aride reste tributaire des conditions agro-climatiques très aléatoires donnant lieu à une récurrence de chocs liés à la fréquence des sécheresses. Dans cette zone l’alimentation repose essentiellement sur quelques céréales, parmi lesquels le mil occupe une place fondamentale. Le présent travail est conduit sur l’effet de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride. En effet un essai de mil Souna 3 en split-plot de 4 traitements avec 4 répétitions a été mis en place à Keur Matar Aram pendant la saison pluvieuse 2013. Les mesures effectuées dans l’essai ont porté sur la phénologie et les composantes du rendement à la récolte. Les résultats ont montré que la présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale a des effets significatifs sur la hauteur, sur le nombre de feuilles, sur la date de 50% de montaison, sur la date de 50% d’épiaison, sur la date de 50% de floraison et sur l’augmentation des composantes du rendement à la récolte. Cela se traduit par les valeurs qui sont toujours supérieures sous le traitement PA (présence de l’arbuste et absence de fertilisation) et particulièrement sous le traitement PC (présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale à dose normal). Par contre la présence de fertilisation minérale seule favorise le tallage et augmente la biomasse du mil.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6296 Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride [texte imprimé] / Diop, Abdou Kogna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 33 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fertilisation minérale Guiera senegalensis Mil Souna 3 Zone semi-aride Cycle de développement Keur Matar Aram Résumé : L’agriculture en zone semi-aride reste tributaire des conditions agro-climatiques très aléatoires donnant lieu à une récurrence de chocs liés à la fréquence des sécheresses. Dans cette zone l’alimentation repose essentiellement sur quelques céréales, parmi lesquels le mil occupe une place fondamentale. Le présent travail est conduit sur l’effet de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride. En effet un essai de mil Souna 3 en split-plot de 4 traitements avec 4 répétitions a été mis en place à Keur Matar Aram pendant la saison pluvieuse 2013. Les mesures effectuées dans l’essai ont porté sur la phénologie et les composantes du rendement à la récolte. Les résultats ont montré que la présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale a des effets significatifs sur la hauteur, sur le nombre de feuilles, sur la date de 50% de montaison, sur la date de 50% d’épiaison, sur la date de 50% de floraison et sur l’augmentation des composantes du rendement à la récolte. Cela se traduit par les valeurs qui sont toujours supérieures sous le traitement PA (présence de l’arbuste et absence de fertilisation) et particulièrement sous le traitement PC (présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale à dose normal). Par contre la présence de fertilisation minérale seule favorise le tallage et augmente la biomasse du mil.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6296 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003128 F021 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible