Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Cycle de développement'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride / Diop, Abdou Kogna
Titre : Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Abdou Kogna, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 33 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fertilisation minérale Guiera senegalensis Mil Souna 3 Zone semi-aride Cycle de développement Keur Matar Aram Résumé : L’agriculture en zone semi-aride reste tributaire des conditions agro-climatiques très aléatoires donnant lieu à une récurrence de chocs liés à la fréquence des sécheresses. Dans cette zone l’alimentation repose essentiellement sur quelques céréales, parmi lesquels le mil occupe une place fondamentale. Le présent travail est conduit sur l’effet de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride. En effet un essai de mil Souna 3 en split-plot de 4 traitements avec 4 répétitions a été mis en place à Keur Matar Aram pendant la saison pluvieuse 2013. Les mesures effectuées dans l’essai ont porté sur la phénologie et les composantes du rendement à la récolte. Les résultats ont montré que la présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale a des effets significatifs sur la hauteur, sur le nombre de feuilles, sur la date de 50% de montaison, sur la date de 50% d’épiaison, sur la date de 50% de floraison et sur l’augmentation des composantes du rendement à la récolte. Cela se traduit par les valeurs qui sont toujours supérieures sous le traitement PA (présence de l’arbuste et absence de fertilisation) et particulièrement sous le traitement PC (présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale à dose normal). Par contre la présence de fertilisation minérale seule favorise le tallage et augmente la biomasse du mil.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6296 Influence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride [texte imprimé] / Diop, Abdou Kogna, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 33 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fertilisation minérale Guiera senegalensis Mil Souna 3 Zone semi-aride Cycle de développement Keur Matar Aram Résumé : L’agriculture en zone semi-aride reste tributaire des conditions agro-climatiques très aléatoires donnant lieu à une récurrence de chocs liés à la fréquence des sécheresses. Dans cette zone l’alimentation repose essentiellement sur quelques céréales, parmi lesquels le mil occupe une place fondamentale. Le présent travail est conduit sur l’effet de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale sur le cycle de développement du mil en zone semi-aride. En effet un essai de mil Souna 3 en split-plot de 4 traitements avec 4 répétitions a été mis en place à Keur Matar Aram pendant la saison pluvieuse 2013. Les mesures effectuées dans l’essai ont porté sur la phénologie et les composantes du rendement à la récolte. Les résultats ont montré que la présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale a des effets significatifs sur la hauteur, sur le nombre de feuilles, sur la date de 50% de montaison, sur la date de 50% d’épiaison, sur la date de 50% de floraison et sur l’augmentation des composantes du rendement à la récolte. Cela se traduit par les valeurs qui sont toujours supérieures sous le traitement PA (présence de l’arbuste et absence de fertilisation) et particulièrement sous le traitement PC (présence de Guiera senegalensis et de la fertilisation minérale à dose normal). Par contre la présence de fertilisation minérale seule favorise le tallage et augmente la biomasse du mil.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6296 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003128 F021 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Caractérisation des cycles de développement de variétés de sorgho (Sorghum bicolor (L) Moench) de diverses origines sous des latitudes différentes / Mansaly, Mamoudou
Titre : Caractérisation des cycles de développement de variétés de sorgho (Sorghum bicolor (L) Moench) de diverses origines sous des latitudes différentes Type de document : texte imprimé Auteurs : Mansaly, Mamoudou, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 31 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sorgho Sorghum bicolor (L) Moench Variété de sorgho Phénologie Photopériodisme Cycle de développement Latitude Sénégal Résumé : La caractérisation des cycles de développement des variétés traditionnelles et améliorés de sorgho fait suite aux aléas climatiques qui ont pour conséquences la mauvaise répartition des pluies dans le temps et dans l’espace et de forte pression démographique, qui aboutissent en général au déficit de production agricole.
Le photopériodisme étant un caractère primordial d’adaptation du sorgho au climat de la zone soudano-sahélien, le projet WAAPP en collaboration le CERAAS et CIRAD ont entamé la caractérisation de leur cycle il y a trois ans. L’objectif du travail était de caractériser les variations des phases de développement et des cycles de six variétés traditionnelles de sorgho originaires de : Fatick, Nioro, Koussanar, Sédhiou, Kolda et du Mali. Ces variétés traditionnelles sont complétées par quatre variétés améliorées originaires de l’ISRA. Un essai a été mis en place sous trois latitudes différentes, à Kolda (12°52’N), à Bambey (14°42’N) et à Saint Louis (16°30'N). Pour chaque site l’essai comportait 10 variétés. Le dispositif, pour une date de semis, est en blocs complets randomisés à un facteur (la variété) et à 3 répétitions. La taille de la parcelle élémentaire est de 1,6m large (2 lignes) x 2m long (5 poquets/ligne) =3,2m2. Ce dispositif a été repris aux 4 dates de semis et sur l’ensemble des sites.
Les observations les plus importantes ont porté sur les dates de ligulation de la feuille drapeau. Les résultats montrent que les durées semis-feuille drapeau des variétés diminuent au fur et à mesure que le semis est retardé. Toutes les variétés testées sont plus ou moins sensibles à la photopériode sauf la V1. Les résultats montrent bien que la latitude a un effet sur le coefficient de photopériodisme des variétés, surtout chez les variétés à cycle long. Le coefficient de photopériodisme (Kp) des variétés est plus important respectivement à Bambey et à Saint Louis qu’à Kolda. Les variétés se sont discriminées en trois (3) groupes selon le Kp : les variétés non, peu et très photosensibles.
L’analyse des variances nous montre que l’effet variété, site, et date de semis sont significatifs au seuil de 5%. Par contre l’effet interaction variété site et bloc site ne sont pas significatifs.
Le classement des moyennes en SDJ1 nous a permis de déceler cinq groupes (5). Ces moyennes varient de 1362,12 à 922,75.
Pour la latitude, elle a un effet sur le coefficient du photopériodisme des variétés. Sur les dix variétés étudiées seule la CE 151-262 est non photosensible au niveau des trois sites ; trois sont peu photosensibles, les six qui sont traditionnelles sont très photosensibles car leur Kp est proche de 1. Le Kp est plus important à Bambey et à St Louis qu’à kolda. La SFD des variétés diminue quand le semis est retardé. Cette diminution est plus importante chez les variétés traditionnelles à cycle long qui deviennent plus précoces. La variété Keur Samba Diakhaté 1 a le cycle le plus long. La variation du cycle des variétés modernes quelque soit la date de semis est très faible.
Pour les perspectives, il est judicieux de répéter ces expérimentations pour mieux améliorer le modèle SARRAH. Il faut aussi prendre en compte d’autres paramètres agro-morphologiques tels que :
le nombre de feuilles développées pour chaque variété ;
le nombre talles ;
la hauteur du plant.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6739 Caractérisation des cycles de développement de variétés de sorgho (Sorghum bicolor (L) Moench) de diverses origines sous des latitudes différentes [texte imprimé] / Mansaly, Mamoudou, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 31 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sorgho Sorghum bicolor (L) Moench Variété de sorgho Phénologie Photopériodisme Cycle de développement Latitude Sénégal Résumé : La caractérisation des cycles de développement des variétés traditionnelles et améliorés de sorgho fait suite aux aléas climatiques qui ont pour conséquences la mauvaise répartition des pluies dans le temps et dans l’espace et de forte pression démographique, qui aboutissent en général au déficit de production agricole.
Le photopériodisme étant un caractère primordial d’adaptation du sorgho au climat de la zone soudano-sahélien, le projet WAAPP en collaboration le CERAAS et CIRAD ont entamé la caractérisation de leur cycle il y a trois ans. L’objectif du travail était de caractériser les variations des phases de développement et des cycles de six variétés traditionnelles de sorgho originaires de : Fatick, Nioro, Koussanar, Sédhiou, Kolda et du Mali. Ces variétés traditionnelles sont complétées par quatre variétés améliorées originaires de l’ISRA. Un essai a été mis en place sous trois latitudes différentes, à Kolda (12°52’N), à Bambey (14°42’N) et à Saint Louis (16°30'N). Pour chaque site l’essai comportait 10 variétés. Le dispositif, pour une date de semis, est en blocs complets randomisés à un facteur (la variété) et à 3 répétitions. La taille de la parcelle élémentaire est de 1,6m large (2 lignes) x 2m long (5 poquets/ligne) =3,2m2. Ce dispositif a été repris aux 4 dates de semis et sur l’ensemble des sites.
Les observations les plus importantes ont porté sur les dates de ligulation de la feuille drapeau. Les résultats montrent que les durées semis-feuille drapeau des variétés diminuent au fur et à mesure que le semis est retardé. Toutes les variétés testées sont plus ou moins sensibles à la photopériode sauf la V1. Les résultats montrent bien que la latitude a un effet sur le coefficient de photopériodisme des variétés, surtout chez les variétés à cycle long. Le coefficient de photopériodisme (Kp) des variétés est plus important respectivement à Bambey et à Saint Louis qu’à Kolda. Les variétés se sont discriminées en trois (3) groupes selon le Kp : les variétés non, peu et très photosensibles.
L’analyse des variances nous montre que l’effet variété, site, et date de semis sont significatifs au seuil de 5%. Par contre l’effet interaction variété site et bloc site ne sont pas significatifs.
Le classement des moyennes en SDJ1 nous a permis de déceler cinq groupes (5). Ces moyennes varient de 1362,12 à 922,75.
Pour la latitude, elle a un effet sur le coefficient du photopériodisme des variétés. Sur les dix variétés étudiées seule la CE 151-262 est non photosensible au niveau des trois sites ; trois sont peu photosensibles, les six qui sont traditionnelles sont très photosensibles car leur Kp est proche de 1. Le Kp est plus important à Bambey et à St Louis qu’à kolda. La SFD des variétés diminue quand le semis est retardé. Cette diminution est plus importante chez les variétés traditionnelles à cycle long qui deviennent plus précoces. La variété Keur Samba Diakhaté 1 a le cycle le plus long. La variation du cycle des variétés modernes quelque soit la date de semis est très faible.
Pour les perspectives, il est judicieux de répéter ces expérimentations pour mieux améliorer le modèle SARRAH. Il faut aussi prendre en compte d’autres paramètres agro-morphologiques tels que :
le nombre de feuilles développées pour chaque variété ;
le nombre talles ;
la hauteur du plant.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6739 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002981 A011 MAN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Caractérisation des cycles de développement de variétés de mil (Pennisetum glaucum L.) de diverses origines sous des latitudes différentes / Idrissa Touré
Titre : Caractérisation des cycles de développement de variétés de mil (Pennisetum glaucum L.) de diverses origines sous des latitudes différentes Type de document : texte imprimé Auteurs : Idrissa Touré, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2012 Importance : 36 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mil Pennisetum glaucum L. Variétés de mil Cycle de développement Phénologie Photopériodisme Latitude Date de semis Sénégal Résumé : Le photopériodisme est un caractère primordial d’adaptation du mil au climat de la zone soudano-sahélienne. Notre étude a consisté à caractériser l’effet de la latitude sur l’expression du photopériodisme de dix variétés de mil (Souna3, Thialack2, PE08030, ICMVIS89305, Souna Back fassagal, Souna Diana Bah, Sanio Séfa, Sanio Koutima, Sanio Maka Hamdallai et Sanio Allahbougou). Ainsi, un essai a été mis en place sous trois latitudes différentes : Kolda (12°52’N), Bambey (14°42’N) et Ndiol (16°30'N). Pour chaque site, les mêmes variétés ont été utilisées. Le dispositif était en blocs complets randomisés à un facteur (la variété) à 3 répétitions. Le même dispositif a été repris à quatre dates de semis à un mois d’intervalle sur l’ensemble des sites. Les observations ont porté principalement sur les dates de ligulation de la feuille drapeau. Les relevés pluviométriques ont été effectués et des irrigations complémentaires ont été faites aux besoins. Les durées semis-feuille drapeau des variétés diminuent au fur et à mesure que le semis est retardé. Toutes les variétés testées sont plus ou moins sensibles à la photopériode. Les résultats ont montrés que la latitude n’a pas d’effet sur le coefficient de photopériodisme des variétés. Les variétés ont un Kp plus élevé quand elles se trouvent au site de Bambey (14°52’N) que quant elles sont au site de Ndiol (16°30’N). En d’autres termes, les variétés se sont comportées plus photosensibles en basse latitude qu’en haute latitude. En comparant les longueurs des cycles, exprimées en sommes de températures (degré jour) on constate que plus on sème tard, plus les durées des cycles diminuent, surtout pour les variétés sanios qui à la fin ont même les cycles pratiquement de la même longueur que les sounas. Ce raccourcissement des cycles s’explique par la réponse des plantes à la photopériode. Les sanios sont très photopériodique mais aussi toutes les variétés sont photopériodiques. Les analyses de variance ont montré que seuls les effets variétés et dates de semis sont significatifs au seuil de 5%. Le test de Tukey montre que les variétés 7, 9, 10 et 8 présenteraient les durées semis-ligulation feuille drapeau les plus longues et les variétés 3, 1, 5 ont les durées les plus courtes tandis que les autres variétés ont des durées intermédiaires.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6749 Caractérisation des cycles de développement de variétés de mil (Pennisetum glaucum L.) de diverses origines sous des latitudes différentes [texte imprimé] / Idrissa Touré, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2012 . - 36 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2012]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mil Pennisetum glaucum L. Variétés de mil Cycle de développement Phénologie Photopériodisme Latitude Date de semis Sénégal Résumé : Le photopériodisme est un caractère primordial d’adaptation du mil au climat de la zone soudano-sahélienne. Notre étude a consisté à caractériser l’effet de la latitude sur l’expression du photopériodisme de dix variétés de mil (Souna3, Thialack2, PE08030, ICMVIS89305, Souna Back fassagal, Souna Diana Bah, Sanio Séfa, Sanio Koutima, Sanio Maka Hamdallai et Sanio Allahbougou). Ainsi, un essai a été mis en place sous trois latitudes différentes : Kolda (12°52’N), Bambey (14°42’N) et Ndiol (16°30'N). Pour chaque site, les mêmes variétés ont été utilisées. Le dispositif était en blocs complets randomisés à un facteur (la variété) à 3 répétitions. Le même dispositif a été repris à quatre dates de semis à un mois d’intervalle sur l’ensemble des sites. Les observations ont porté principalement sur les dates de ligulation de la feuille drapeau. Les relevés pluviométriques ont été effectués et des irrigations complémentaires ont été faites aux besoins. Les durées semis-feuille drapeau des variétés diminuent au fur et à mesure que le semis est retardé. Toutes les variétés testées sont plus ou moins sensibles à la photopériode. Les résultats ont montrés que la latitude n’a pas d’effet sur le coefficient de photopériodisme des variétés. Les variétés ont un Kp plus élevé quand elles se trouvent au site de Bambey (14°52’N) que quant elles sont au site de Ndiol (16°30’N). En d’autres termes, les variétés se sont comportées plus photosensibles en basse latitude qu’en haute latitude. En comparant les longueurs des cycles, exprimées en sommes de températures (degré jour) on constate que plus on sème tard, plus les durées des cycles diminuent, surtout pour les variétés sanios qui à la fin ont même les cycles pratiquement de la même longueur que les sounas. Ce raccourcissement des cycles s’explique par la réponse des plantes à la photopériode. Les sanios sont très photopériodique mais aussi toutes les variétés sont photopériodiques. Les analyses de variance ont montré que seuls les effets variétés et dates de semis sont significatifs au seuil de 5%. Le test de Tukey montre que les variétés 7, 9, 10 et 8 présenteraient les durées semis-ligulation feuille drapeau les plus longues et les variétés 3, 1, 5 ont les durées les plus courtes tandis que les autres variétés ont des durées intermédiaires.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6749 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002991 A011 TOU Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible