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Contribution à l’étude de la carrière de reproduction des vaches zébus gobras et métisses (guzérat × gobra) élevées au Centre de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra Djoloff (Sénégal) / Sarr, Samba
Titre : Contribution à l’étude de la carrière de reproduction des vaches zébus gobras et métisses (guzérat × gobra) élevées au Centre de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra Djoloff (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sarr, Samba, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2014 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014] Langues : Français (fre) Mots-clés : Vaches gobras Paramétres de reproduction Vaches métisses Guzérat x Gobra Centre de Recherches Zootechniques Dahra Djoloff Vêlage Reproduction bovine Résumé : Pour mieux appréhender le comportement sur la reproduction du troupeau bovin conduit au Centre de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra Djoloff par rapport à sa gestion actuelle, une étude sur la carrière de reproduction des vaches zébus gobras et métisses (guzérat×gobra) a été menée. Cette dernière a porté sur 74 vaches gobras et 27 vaches métisses, choisies à partir de la base de données de la bouverie et consistait à élucider la fréquence des vêlages en fonction des mois de l’année, l’âge moyen au premier vêlage, l’intervalle entre-vêlage, le poids à la naissance et le sex-ratio des naissances. Les résultats obtenus ont révélé que la répartition des vêlages connait un saisonnement avec deux phases dont la plus élevée se situe de mai à août pour la gobra et de juin à septembre pour la métisse. Le nombre de vêlages est plus faible de janvier à avril chez la gobra et de janvier à mai pour la métisse. L’âge moyen au premier vêlage tourne autour de 4 ans 7 mois avec un maximum de 7 ans 1 mois et un minimum de 2 ans 8 mois pour la race pure contre 5 ans pour la métisse avec un minimum 3 ans 9 mois et un maximum 9 ans 1 mois. Concernant l’intervalle entre-vêlage moyen, il se situe à 1 an 8 mois avec comme minimum 1 an 3 mois et comme maximum 2 ans 6 mois chez la gobra et d’1 an 9 mois avec 1 an 3 mois comme minimum et 2 ans 8 mois comme maximum du côté des races améliorées. Le sex-ratio des naissances montre 52% de mâles et 48% de femelles chez la gobra contre 43% de mâles et 57% de femelles chez la métisse. Pour ce qui est du poids moyen à la naissance nos résultats affirment un poids moyen de 19,9 kg avec un minimum de 12 kg et un maximum de 28 kg chez la race pure contre 22,52 kg avec un minimum de 16 kg et un maximum de 30 kg pour la métisse. Le poids moyen du produit à la naissance selon le sexe est de 20,18 kg pour le mâle et de 19,82 kg pour la femelle chez le gobra contre 22,73 kg pour le mâle et 22,2 kg pour la femelle chez la métisse.
Malgré ces résultats, d’autres études sont nécessaires pour mieux cerner les paramètres de reproduction chez le zébu gobra et chez les métisses gobra × guzérat comparé à d’autres troupeaux de même race en milieu éleveur dans la Zone Sylvopastorale.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6240 Contribution à l’étude de la carrière de reproduction des vaches zébus gobras et métisses (guzérat × gobra) élevées au Centre de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra Djoloff (Sénégal) [texte imprimé] / Sarr, Samba, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2014 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2014]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Vaches gobras Paramétres de reproduction Vaches métisses Guzérat x Gobra Centre de Recherches Zootechniques Dahra Djoloff Vêlage Reproduction bovine Résumé : Pour mieux appréhender le comportement sur la reproduction du troupeau bovin conduit au Centre de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra Djoloff par rapport à sa gestion actuelle, une étude sur la carrière de reproduction des vaches zébus gobras et métisses (guzérat×gobra) a été menée. Cette dernière a porté sur 74 vaches gobras et 27 vaches métisses, choisies à partir de la base de données de la bouverie et consistait à élucider la fréquence des vêlages en fonction des mois de l’année, l’âge moyen au premier vêlage, l’intervalle entre-vêlage, le poids à la naissance et le sex-ratio des naissances. Les résultats obtenus ont révélé que la répartition des vêlages connait un saisonnement avec deux phases dont la plus élevée se situe de mai à août pour la gobra et de juin à septembre pour la métisse. Le nombre de vêlages est plus faible de janvier à avril chez la gobra et de janvier à mai pour la métisse. L’âge moyen au premier vêlage tourne autour de 4 ans 7 mois avec un maximum de 7 ans 1 mois et un minimum de 2 ans 8 mois pour la race pure contre 5 ans pour la métisse avec un minimum 3 ans 9 mois et un maximum 9 ans 1 mois. Concernant l’intervalle entre-vêlage moyen, il se situe à 1 an 8 mois avec comme minimum 1 an 3 mois et comme maximum 2 ans 6 mois chez la gobra et d’1 an 9 mois avec 1 an 3 mois comme minimum et 2 ans 8 mois comme maximum du côté des races améliorées. Le sex-ratio des naissances montre 52% de mâles et 48% de femelles chez la gobra contre 43% de mâles et 57% de femelles chez la métisse. Pour ce qui est du poids moyen à la naissance nos résultats affirment un poids moyen de 19,9 kg avec un minimum de 12 kg et un maximum de 28 kg chez la race pure contre 22,52 kg avec un minimum de 16 kg et un maximum de 30 kg pour la métisse. Le poids moyen du produit à la naissance selon le sexe est de 20,18 kg pour le mâle et de 19,82 kg pour la femelle chez le gobra contre 22,73 kg pour le mâle et 22,2 kg pour la femelle chez la métisse.
Malgré ces résultats, d’autres études sont nécessaires pour mieux cerner les paramètres de reproduction chez le zébu gobra et chez les métisses gobra × guzérat comparé à d’autres troupeaux de même race en milieu éleveur dans la Zone Sylvopastorale.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003217 E004 SAR Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003217 b E004 SAR Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible Insémination artificielle équine au haras de Dahra : Etat des lieux et perspectives de développement / Ningue, Pape Malick
Titre : Insémination artificielle équine au haras de Dahra : Etat des lieux et perspectives de développement Type de document : texte imprimé Auteurs : Ningue, Pape Malick, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2011 Importance : 53 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français (fre) Mots-clés : Insémination artificielle équine Jument Produit amélioré Amélioration de la race Cheval Conduite sanitaire Haras Dahra Djoloff Louga Résumé : L’amélioration de la race chevaline au Sénégal par le biais de l’insémination artificielle a été amorcée depuis longtemps du fait de l’intérêt économique, culturel et social de cet animal. En ce sens, le cheval est présent dans plusieurs secteurs d’activité tels que les transports hippomobiles urbains et ruraux, la traction agricole, l’industrie des courses hippiques, la commercialisation des produits améliorés, etc. Cette étude menée dans la région de Louga particulièrement au niveau du haras de Dahra Djoloff a pour but de faire l’état des lieux sur l’insémination artificielle équine afin de dégager des perspectives pour un lendemain meilleur. Ce faisant, il s’agit d’identifier les éleveurs de chevaux pratiquant l’Insémination Artificielle Equine (IAE), de mettre en relief leur degré d’organisation, d’étudier la conduite des juments inséminées et l’entretien du produit amélioré, d’avoir une idée sur le devenir de ces produits mais aussi d’identifier les différents maux qui gangrènent la pratique de l’IAE. Pour ce faire, nous avons fait une revue bibliographique pour mieux cerner le cadre de l’étude et les différents aspects de l’insémination artificielle équine. Ensuite nous avons procédé à des enquêtes auprès des éleveurs de chevaux pratiquant l’IAE après avoir fait un échantillonnage sur la base des données des registres d’insémination. Ainsi, cinquante propriétaires de jument répartis dans les localités de Dahra, Louga, Linguère et Thiamène Cayor ont été retenus. Nous avons également interrogé des personnes ressources intervenant dans le milieu. Les résultats montrent une diversité ethnique et professionnelle des propriétaires de chevaux avec un fait marquant qui est la prédominance des hommes (100%) d’une quarantaine d’années dans la pratique d’élevage de chevaux. Il découle de nos investigations que 62% des propriétaires sont affiliés à une organisation contre 38%. Un effectif moyen de trois (3) chevaux par propriétaire et une dominance des races locales sur les races améliorées ont été décelés. Ceux-ci justifient la faiblesse des résultats dans l’IAE avec pour ces quatre dernières années des moyennes de 02 juments inséminées et 02 naissances de produits améliorés par propriétaire. Il ressort aussi des enquêtes que la commercialisation (76%) est la motivation première des propriétaires et que les turfistes (72%) sont les principaux acheteurs avec des prix qui peuvent aller jusqu’à 3 000 000 Fcfa. Concernant le suivi sanitaire des juments, 90% des propriétaires les vaccinent contre la peste équine et 78% procèdent à des déparasitages. Il est noté aussi la pratique de la complémentation des juments gravides et elle concerne 86% de propriétaires. L’attention particulière accordée aux produits améliorés a été mis en relief et celle-ci se justifie par les recettes escomptées dans la vente de ce dernier. Au regard de ces résultats, force est de constater qu’une bonne politique de l’Etat suivi d’une organisation des acteurs de la filière équine ne seraient que bénéfique pour la promotion de ce secteur de l’économie de notre pays.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6759 Insémination artificielle équine au haras de Dahra : Etat des lieux et perspectives de développement [texte imprimé] / Ningue, Pape Malick, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 53 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Elevage : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Insémination artificielle équine Jument Produit amélioré Amélioration de la race Cheval Conduite sanitaire Haras Dahra Djoloff Louga Résumé : L’amélioration de la race chevaline au Sénégal par le biais de l’insémination artificielle a été amorcée depuis longtemps du fait de l’intérêt économique, culturel et social de cet animal. En ce sens, le cheval est présent dans plusieurs secteurs d’activité tels que les transports hippomobiles urbains et ruraux, la traction agricole, l’industrie des courses hippiques, la commercialisation des produits améliorés, etc. Cette étude menée dans la région de Louga particulièrement au niveau du haras de Dahra Djoloff a pour but de faire l’état des lieux sur l’insémination artificielle équine afin de dégager des perspectives pour un lendemain meilleur. Ce faisant, il s’agit d’identifier les éleveurs de chevaux pratiquant l’Insémination Artificielle Equine (IAE), de mettre en relief leur degré d’organisation, d’étudier la conduite des juments inséminées et l’entretien du produit amélioré, d’avoir une idée sur le devenir de ces produits mais aussi d’identifier les différents maux qui gangrènent la pratique de l’IAE. Pour ce faire, nous avons fait une revue bibliographique pour mieux cerner le cadre de l’étude et les différents aspects de l’insémination artificielle équine. Ensuite nous avons procédé à des enquêtes auprès des éleveurs de chevaux pratiquant l’IAE après avoir fait un échantillonnage sur la base des données des registres d’insémination. Ainsi, cinquante propriétaires de jument répartis dans les localités de Dahra, Louga, Linguère et Thiamène Cayor ont été retenus. Nous avons également interrogé des personnes ressources intervenant dans le milieu. Les résultats montrent une diversité ethnique et professionnelle des propriétaires de chevaux avec un fait marquant qui est la prédominance des hommes (100%) d’une quarantaine d’années dans la pratique d’élevage de chevaux. Il découle de nos investigations que 62% des propriétaires sont affiliés à une organisation contre 38%. Un effectif moyen de trois (3) chevaux par propriétaire et une dominance des races locales sur les races améliorées ont été décelés. Ceux-ci justifient la faiblesse des résultats dans l’IAE avec pour ces quatre dernières années des moyennes de 02 juments inséminées et 02 naissances de produits améliorés par propriétaire. Il ressort aussi des enquêtes que la commercialisation (76%) est la motivation première des propriétaires et que les turfistes (72%) sont les principaux acheteurs avec des prix qui peuvent aller jusqu’à 3 000 000 Fcfa. Concernant le suivi sanitaire des juments, 90% des propriétaires les vaccinent contre la peste équine et 78% procèdent à des déparasitages. Il est noté aussi la pratique de la complémentation des juments gravides et elle concerne 86% de propriétaires. L’attention particulière accordée aux produits améliorés a été mis en relief et celle-ci se justifie par les recettes escomptées dans la vente de ce dernier. Au regard de ces résultats, force est de constater qu’une bonne politique de l’Etat suivi d’une organisation des acteurs de la filière équine ne seraient que bénéfique pour la promotion de ce secteur de l’économie de notre pays.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6759 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002893 E017 NIN Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible