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Analyse des risques économiques lies a l’exploitation du bois énergie dans les zones aménagées de la région de Kolda (Sénégal) / Mamadou Lamine Diop
Titre : Analyse des risques économiques lies a l’exploitation du bois énergie dans les zones aménagées de la région de Kolda (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Lamine Diop, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Bois énergie Forêt Filière Charbon de bois Bois de chauffe Risques économiques Kolda Résumé : Au Sénégal, le bois énergie (charbon de bois et bois de chauffe) constitue le produit le plus important, du point de vue économique, fourni par la forêt. La filière bois rapporte, annuellement, une manne financière estimée à 20 milliards de FCFA. Elle couvre 87 % des besoins énergétiques des ménages et représente, donc, un véritable enjeu politico-économique dans ce pays sahélien. Elle a fait l’objet de plusieurs études, dans le but de mieux la connaitre. Cependant, ces études n’étaient jamais orientées sur les risques économiques auxquels font face les exploitants. Or, il existe d’énormes risques dans l’exercice de cette activité. La région de Kolda, une des régions phares de la production de bois énergie, au Sénégal, semble présenter beaucoup plus de risques. C’est la raison pour laquelle cette étude a été commanditée par la Banque Mondiale et la Compagnie Nationale d’Assurance Agricole du Sénégal pour mieux connaître les risques liés à l’exploitation du bois énergie dans cette région. L’approche méthodologique adoptée fut, en plus de la recherche documentaire, des enquêtes auprès de personnes ressources, à savoir, les exploitants (au nombre de 30), le service forestier, les maires (3 représentants) et les banques. Les résultats ont montré que les principaux risques économiques aux quels font face les exploitants peuvent être classés en deux catégories : des risques endogènes à la filière et des risques exogènes. Les risques endogènes sont : les vols et escroqueries qui sont les plus importants, la forte concurrence due à un nombre élevé d’exploitants qui provoque des méventes ou une baisse des prix de vente. Les facteurs exogènes sont : une mauvaise qualité du bois énergie produit dans la zone due aux conditions climatiques et aux différentes espèces utilisées, les pertes causées par les accidents du travail, l’enclavement des zones d’exploitation et l’hivernage qui provoque des investissements supplémentaires pour extraire le produit.
Forêt ; Filière ; Charbon de bois ; Bois de chauffe ; Risques économiques
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10268 Analyse des risques économiques lies a l’exploitation du bois énergie dans les zones aménagées de la région de Kolda (Sénégal) [texte imprimé] / Mamadou Lamine Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bois énergie Forêt Filière Charbon de bois Bois de chauffe Risques économiques Kolda Résumé : Au Sénégal, le bois énergie (charbon de bois et bois de chauffe) constitue le produit le plus important, du point de vue économique, fourni par la forêt. La filière bois rapporte, annuellement, une manne financière estimée à 20 milliards de FCFA. Elle couvre 87 % des besoins énergétiques des ménages et représente, donc, un véritable enjeu politico-économique dans ce pays sahélien. Elle a fait l’objet de plusieurs études, dans le but de mieux la connaitre. Cependant, ces études n’étaient jamais orientées sur les risques économiques auxquels font face les exploitants. Or, il existe d’énormes risques dans l’exercice de cette activité. La région de Kolda, une des régions phares de la production de bois énergie, au Sénégal, semble présenter beaucoup plus de risques. C’est la raison pour laquelle cette étude a été commanditée par la Banque Mondiale et la Compagnie Nationale d’Assurance Agricole du Sénégal pour mieux connaître les risques liés à l’exploitation du bois énergie dans cette région. L’approche méthodologique adoptée fut, en plus de la recherche documentaire, des enquêtes auprès de personnes ressources, à savoir, les exploitants (au nombre de 30), le service forestier, les maires (3 représentants) et les banques. Les résultats ont montré que les principaux risques économiques aux quels font face les exploitants peuvent être classés en deux catégories : des risques endogènes à la filière et des risques exogènes. Les risques endogènes sont : les vols et escroqueries qui sont les plus importants, la forte concurrence due à un nombre élevé d’exploitants qui provoque des méventes ou une baisse des prix de vente. Les facteurs exogènes sont : une mauvaise qualité du bois énergie produit dans la zone due aux conditions climatiques et aux différentes espèces utilisées, les pertes causées par les accidents du travail, l’enclavement des zones d’exploitation et l’hivernage qui provoque des investissements supplémentaires pour extraire le produit.
Forêt ; Filière ; Charbon de bois ; Bois de chauffe ; Risques économiques
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003819 a F023 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible 003819 b F023 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible Etude de l’effet de la consommation du bois énergie sur la dynamique du peuplement forestier de la Mangrove: cas de la transformation du poisson dans les villages de Djirnda, Diamniadio, Vélingara et Rofangué dans la Communauté Rurale de Djirnda / Diouf, Samba Ngoye
Titre : Etude de l’effet de la consommation du bois énergie sur la dynamique du peuplement forestier de la Mangrove: cas de la transformation du poisson dans les villages de Djirnda, Diamniadio, Vélingara et Rofangué dans la Communauté Rurale de Djirnda Type de document : texte imprimé Auteurs : Diouf, Samba Ngoye, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2013 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mangrove Peuplement forestier Exploitation forestière Bois énergie Fumage de poisson Djirnda Résumé : Comme les formations forestières terrestres, les forêts de mangrove connaissent une régression constante de leurs superficies dans le Saloum et partout ailleurs où elles existent au Sénégal. Les mangroves d'une grande richesse écologique et regroupant une gamme d'activités économiques sont aujourd’hui menacées de disparition à cause de l’exploitation abusive du bois. Dans la communauté rurale de Djirnda, la coupe du bois de mangrove pour le fumage du poisson menace sérieusement les formations ainsi que la survie des communautés insulaires dont l’essentiel de l’économie repose sur l’exploitation des produits halieutiques et des ressources naturelles issues de la mangrove. La présente étude consiste à évaluer les effets de l’exploitation du bois de mangrove pour déterminer le niveau de responsabilité de l’activité du fumage de poisson dans le processus de dégradation de l’écosystème. La méthodologie utilisée a consisté, à faire une revue documentaire et des entretiens ciblés ; ensuite une analyse diagnostique de la situation a été réalisée au niveau des villages Djirnda, Diamniadio, Rofangué et Vélingara avec l’ensemble des acteurs impliqués dans le fumage. Il en ressort: que le fumage participe pour beaucoup à la destruction de la mangrove et du couvert végétal avec 55% des utilisations de bois dans la zone. Par ailleurs, avec 29 unités de fumage en activité durant 06 mois de l’année; la quantité de bois nécessaire pour transformer 639 tonnes de poisson frais est de 958,5 m3. Pour ce qui est des techniques de fumage, il a été démontré que le modèle de four amélioré comparé au four traditionnel, possède plus d’avantages en termes d’économie d’énergie (50% de moins sur le bois consommé avec une efficience de 200%). Il donne en plus une meilleure qualité de produit final avec en termes de production un bénéfice net deux fois plus important que celui obtenu avec le four traditionnel. Au regard de ce qui précède, l’étude recommande la diffusion massive des fours améliorés dans la communauté rurale pour réduire sensiblement l’utilisation du bois de mangrove, mais aussi l’élaboration et la mise en œuvre de plans d’aménagement et de gestion concertée de la mangrove. Ceci devra s’accompagner d’une forte implication de toutes les parties prenantes et le développement d’activités alternatives génératrices de revenus qui réduisent la pression exercée sur les ressources forestières.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6300 Etude de l’effet de la consommation du bois énergie sur la dynamique du peuplement forestier de la Mangrove: cas de la transformation du poisson dans les villages de Djirnda, Diamniadio, Vélingara et Rofangué dans la Communauté Rurale de Djirnda [texte imprimé] / Diouf, Samba Ngoye, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2013 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2013]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mangrove Peuplement forestier Exploitation forestière Bois énergie Fumage de poisson Djirnda Résumé : Comme les formations forestières terrestres, les forêts de mangrove connaissent une régression constante de leurs superficies dans le Saloum et partout ailleurs où elles existent au Sénégal. Les mangroves d'une grande richesse écologique et regroupant une gamme d'activités économiques sont aujourd’hui menacées de disparition à cause de l’exploitation abusive du bois. Dans la communauté rurale de Djirnda, la coupe du bois de mangrove pour le fumage du poisson menace sérieusement les formations ainsi que la survie des communautés insulaires dont l’essentiel de l’économie repose sur l’exploitation des produits halieutiques et des ressources naturelles issues de la mangrove. La présente étude consiste à évaluer les effets de l’exploitation du bois de mangrove pour déterminer le niveau de responsabilité de l’activité du fumage de poisson dans le processus de dégradation de l’écosystème. La méthodologie utilisée a consisté, à faire une revue documentaire et des entretiens ciblés ; ensuite une analyse diagnostique de la situation a été réalisée au niveau des villages Djirnda, Diamniadio, Rofangué et Vélingara avec l’ensemble des acteurs impliqués dans le fumage. Il en ressort: que le fumage participe pour beaucoup à la destruction de la mangrove et du couvert végétal avec 55% des utilisations de bois dans la zone. Par ailleurs, avec 29 unités de fumage en activité durant 06 mois de l’année; la quantité de bois nécessaire pour transformer 639 tonnes de poisson frais est de 958,5 m3. Pour ce qui est des techniques de fumage, il a été démontré que le modèle de four amélioré comparé au four traditionnel, possède plus d’avantages en termes d’économie d’énergie (50% de moins sur le bois consommé avec une efficience de 200%). Il donne en plus une meilleure qualité de produit final avec en termes de production un bénéfice net deux fois plus important que celui obtenu avec le four traditionnel. Au regard de ce qui précède, l’étude recommande la diffusion massive des fours améliorés dans la communauté rurale pour réduire sensiblement l’utilisation du bois de mangrove, mais aussi l’élaboration et la mise en œuvre de plans d’aménagement et de gestion concertée de la mangrove. Ceci devra s’accompagner d’une forte implication de toutes les parties prenantes et le développement d’activités alternatives génératrices de revenus qui réduisent la pression exercée sur les ressources forestières.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003131 F015 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Eaux et Forêts Disponible La femme rurale face à la crise du bois de feu, dans le centre Nord du bassin arachidier du Sénégal : Quelles alternatives durables ? / Fall, Abdou Khadre
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 002461 206 FAL Livre ISFAR Environnement - Biodiversité Disponible