Titre : |
Problématique de la banane dans l’arrondissement de Missirah : perspectives pour une autosuffisance nationale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Séne, Armang Diaga, Auteur |
Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
87 p. |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
30 cm |
Note générale : |
[Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Banane Missirah Perspectives Autosuffisance nationale Production de banane Robusta Williams Commercialisation de la banane |
Résumé : |
Ce travail a eu pour cadre d’étude l’Arrondissement de Missirah dans le département de Tambacounda et a concerné 29 GIE producteurs de bananes.
L’objectif de l’étude est de répertorier les contraintes qui entravent le développement de cette culture dans cette zone, afin d’en dégager des perspectives pour une autosuffisance nationale. La méthodologie utilisée s’est basée sur une administration de questionnaires et des entretiens avec des personnes ressources. Les résultats de l’étude ont montré que dans la région de Tambacounda, la production de banane locale se fait principalement dans l’arrondissement de Missirah le long du fleuve Gambie qui est une zone caractérisée par son éloignement des grands marchés comme celui de Dakar. Les périmètres sont gérés par des groupements privés ou communautaires constitués en GIE. Le système de production est caractérisé par des variétés comme Robusta et Williams qui sont les plus utilisées, un système d’irrigation sous pression qui prend énormément de temps. La technique de récolte la plus utilisée est manuelle. Les grandes récoltes se font généralement deux fois par mois et les quantités récoltées sont très variables avec une moyenne de 40 à 50 tonnes par coupe. Le conditionnement se fait en vrac, celui du carton étant moins fréquent. La commercialisation est collective après avoir planifié les coupes dans chaque périmètre et elle se fait sur le territoire national. Les principaux problèmes et contraintes rencontrés concernent surtout l’organisation, la production, la commercialisation, la transformation. L’amélioration des conditions de production, l’augmentation du prix de la banane bord champ, le renforcement des capacités techniques et logistiques avec la généralisation de la transformation dans la zone, l’encadrement des producteurs sont des perspectives parmi tant d’autres qu’il faut prendre en compte pour l’atteinte d’une autosuffisance nationale.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6790 |
Problématique de la banane dans l’arrondissement de Missirah : perspectives pour une autosuffisance nationale [texte imprimé] / Séne, Armang Diaga, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2011 . - 87 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2011] Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Banane Missirah Perspectives Autosuffisance nationale Production de banane Robusta Williams Commercialisation de la banane |
Résumé : |
Ce travail a eu pour cadre d’étude l’Arrondissement de Missirah dans le département de Tambacounda et a concerné 29 GIE producteurs de bananes.
L’objectif de l’étude est de répertorier les contraintes qui entravent le développement de cette culture dans cette zone, afin d’en dégager des perspectives pour une autosuffisance nationale. La méthodologie utilisée s’est basée sur une administration de questionnaires et des entretiens avec des personnes ressources. Les résultats de l’étude ont montré que dans la région de Tambacounda, la production de banane locale se fait principalement dans l’arrondissement de Missirah le long du fleuve Gambie qui est une zone caractérisée par son éloignement des grands marchés comme celui de Dakar. Les périmètres sont gérés par des groupements privés ou communautaires constitués en GIE. Le système de production est caractérisé par des variétés comme Robusta et Williams qui sont les plus utilisées, un système d’irrigation sous pression qui prend énormément de temps. La technique de récolte la plus utilisée est manuelle. Les grandes récoltes se font généralement deux fois par mois et les quantités récoltées sont très variables avec une moyenne de 40 à 50 tonnes par coupe. Le conditionnement se fait en vrac, celui du carton étant moins fréquent. La commercialisation est collective après avoir planifié les coupes dans chaque périmètre et elle se fait sur le territoire national. Les principaux problèmes et contraintes rencontrés concernent surtout l’organisation, la production, la commercialisation, la transformation. L’amélioration des conditions de production, l’augmentation du prix de la banane bord champ, le renforcement des capacités techniques et logistiques avec la généralisation de la transformation dans la zone, l’encadrement des producteurs sont des perspectives parmi tant d’autres qu’il faut prendre en compte pour l’atteinte d’une autosuffisance nationale.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6790 |
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