Titre : |
Etude socio-technique de l’élevage de la volaille exotique dans la commune de Thiès, Sénégal |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Camara, Coumba, Auteur |
Editeur : |
Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
37 p |
Présentation : |
ill., couv., ill., en coul. |
Format : |
30 cm |
Note générale : |
[Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Volaille, Elevage exotique, Aviculture, ATPAB, Foire, Coryza, Thiès |
Résumé : |
La pratique de l’élevage de la volaille exotique dans la ville de Thiès nous a amenés à effectuer une étude au sein d’une association, l’ATPAB, avec, comme objectif général de contribuer à fournir des informations sur la volaille exotique. Ainsi, plusieurs méthodes ont été employées : la recherche bibliographique, les enquêtes informelles et formelles. C’est une activité pratiquée par plusieurs catégories socioprofessionnelles. Les informations collectées portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs et la conduite technique. C’est une activité masculine, d’où les cinquante (50) éleveurs sont des hommes dont les 80% sont mariés et les 20% des célibataires et pratiquement sont pluriactifs. Leur âge est compris entre 20 et 50 ans. En outre, 52% des éleveurs sont ouvriers, 20% fonctionnaires, 10% commerçants, 4% font des études et les 14% restant font l’élevage comme activité principale. Ainsi, les espèces aviaires de souches exotiques rencontrées sont des poulets, des pigeons, des cailles, des dindes, des pintades, des paons, des autruches, des oies et des canards. 74 % des éleveurs utilisent le mélange de céréales (mil, mais, sorgho et blé) comme aliments exclusif pour les volailles. La distribution de l’aliment se fait pour la plupart des aviculteurs (46%) matin - soir. Les maladies constituent, pour 78% des élevages la principale cause de mortalité. Ainsi, le coryza (72%) et la coccidiose (22%) sont les plus rencontrés. La commercialisation est plus active durant la foire et entre éleveurs, de novembre à février. Le manque d’espace et, surtout, la récurrence de la maladie du coryza ainsi que le prix élevé de l’aliment et le manque de marché d’écoulement constituent, pour les éleveurs, des contraintes majeures pour l’évolution de ce secteur.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10833 |
Etude socio-technique de l’élevage de la volaille exotique dans la commune de Thiès, Sénégal [texte imprimé] / Camara, Coumba, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2022 . - 37 p : ill., couv., ill., en coul. ; 30 cm. [Mém. de fin d'études : ISFAR ex ENCR : Elevage : 2022] Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Volaille, Elevage exotique, Aviculture, ATPAB, Foire, Coryza, Thiès |
Résumé : |
La pratique de l’élevage de la volaille exotique dans la ville de Thiès nous a amenés à effectuer une étude au sein d’une association, l’ATPAB, avec, comme objectif général de contribuer à fournir des informations sur la volaille exotique. Ainsi, plusieurs méthodes ont été employées : la recherche bibliographique, les enquêtes informelles et formelles. C’est une activité pratiquée par plusieurs catégories socioprofessionnelles. Les informations collectées portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs et la conduite technique. C’est une activité masculine, d’où les cinquante (50) éleveurs sont des hommes dont les 80% sont mariés et les 20% des célibataires et pratiquement sont pluriactifs. Leur âge est compris entre 20 et 50 ans. En outre, 52% des éleveurs sont ouvriers, 20% fonctionnaires, 10% commerçants, 4% font des études et les 14% restant font l’élevage comme activité principale. Ainsi, les espèces aviaires de souches exotiques rencontrées sont des poulets, des pigeons, des cailles, des dindes, des pintades, des paons, des autruches, des oies et des canards. 74 % des éleveurs utilisent le mélange de céréales (mil, mais, sorgho et blé) comme aliments exclusif pour les volailles. La distribution de l’aliment se fait pour la plupart des aviculteurs (46%) matin - soir. Les maladies constituent, pour 78% des élevages la principale cause de mortalité. Ainsi, le coryza (72%) et la coccidiose (22%) sont les plus rencontrés. La commercialisation est plus active durant la foire et entre éleveurs, de novembre à février. Le manque d’espace et, surtout, la récurrence de la maladie du coryza ainsi que le prix élevé de l’aliment et le manque de marché d’écoulement constituent, pour les éleveurs, des contraintes majeures pour l’évolution de ce secteur.
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Permalink : |
http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10833 |
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