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Démocratie sénégalaise / Maurice Soudieck DIONE
Titre : Démocratie sénégalaise : Institutuions, droits et devoirs du citoyen Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Soudieck DIONE, Auteur Editeur : Dakar [Sénégal] : Fondation Konrad Adenauer Année de publication : 2020 Importance : 1 Vol. (76 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 15 cm Langues : Français (fre) Catégories : Sciences politiques Mots-clés : Sénégal Politique Démocratie État République Citoyen Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10615 Démocratie sénégalaise : Institutuions, droits et devoirs du citoyen [texte imprimé] / Maurice Soudieck DIONE, Auteur . - Dakar (6 Sicap Bourguiba, Sénégal) : Fondation Konrad Adenauer, 2020 . - 1 Vol. (76 p.) : couv. ill. en coul. ; 15 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Sciences politiques Mots-clés : Sénégal Politique Démocratie État République Citoyen Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10615 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 201944 P 201944 Périodique La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Exclu du prêt 202101 P 202101 Périodique La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Disponible Propos d'un député / Diop, Mamadou
Titre : Propos d'un député : Réflexions sur le fonctionnement de l'Etat sous le régime "de l'alternance" Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Mamadou, Auteur Editeur : Dakar [Sénégal] : Edition Clairafrique Année de publication : 2012 Importance : 1 Vol. 139 pp Présentation : Couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918439-24-0 Langues : Français (fre) Catégories : Institutions et politique Mots-clés : République État Sénégal Assemblée nationale Institutions Régime Alternance Résumé : Durant toutes les périodes où je siégeais à l'Assemblée nationale et au Sénat, le Parlement m'est apparu comme le moyen de mettre en ouvre, dans l'échiquier politique sénégalais, l'idée de représentation du peuple dans l'exercice du pouvoir politique. Cette idée illustre parfaitement le sens donné au mot « parlement ». Celui-ci est, en effet, un concept ancien et sa signification a évolué au cours du temps.
Étymologiquement, le mot « parlement » vient du verbe « parler ». Le « parlement » fut l'action de « parler » avant de devenir le lieu où l'on « parle ». Le Parlement se présente aujourd'hui comme une institution représentative du peuple souverain. En Angleterre, terre d'élection du régime parlementaire, la notion s'est formée avec l'évolution de la monarchie. Jouant le rôle d'un contre-pouvoir face à l'absolutisme du pouvoir royal, « le Parlement » a fini par devenir une sorte de rempart.
En France, l'utilisation du mot « parlement » n'a été introduite dans le système constitutionnel que très tardivement. Ce n'est qu'en 1946 que la Constitution a réservé un titre spécial au « Parlement ». La Constitution française du 4 octobre 1958 emploie toujours le mot « parlement », mais en précisant toutefois qu'il comprend l'Assemblée nationale et le Sénat (article 24 alinéa 1). J'ai pu apprécier, au cours de mes mandats de député et de sénateur, le rôle important du parlementaire dans l'organisation et le fonctionnement de la société.
Rouage essentiel du système politique, le parlementaire, malgré la singularité de sa position et les énormes difficultés qu'il rencontre dans l'exercice de son mandat, contribue à la démocratisation de l'espace politique, partant, au succès de l'ouvre de fondation et de consolidation de la nation. C'est pour apporter ma contribution à cette action que j'ai été amené à construire et à rassembler mes différentes interventions à l'Assemblée nationale autour du concept de l'État et de son fonctionnement depuis l'avènement de l'alternance.
Il m'a semblé également nécessaire de donner à cet ouvrage une dimension plus large, en développant une réflexion approfondie sur les réformes fondamentales à entreprendre dans l'État et les entités régionales et locales. En d'autres termes, il s'agit de jeter un éclairage avisé sur les principales questions débattues à l'Assemblée nationale. Un tel éclairage est renforcé par les critiques nécessaires pour que le « pouvoir », quelles que soient les vicissitudes de la vie politique, demeure social et démocratique.
Car, comme l'avait souligné en son temps J. J. Rousseau, « le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit1 »Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11109 Propos d'un député : Réflexions sur le fonctionnement de l'Etat sous le régime "de l'alternance" [texte imprimé] / Diop, Mamadou, Auteur . - Dakar (Sénégal) : Edition Clairafrique, 2012 . - 1 Vol. 139 pp : Couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-918439-24-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Institutions et politique Mots-clés : République État Sénégal Assemblée nationale Institutions Régime Alternance Résumé : Durant toutes les périodes où je siégeais à l'Assemblée nationale et au Sénat, le Parlement m'est apparu comme le moyen de mettre en ouvre, dans l'échiquier politique sénégalais, l'idée de représentation du peuple dans l'exercice du pouvoir politique. Cette idée illustre parfaitement le sens donné au mot « parlement ». Celui-ci est, en effet, un concept ancien et sa signification a évolué au cours du temps.
Étymologiquement, le mot « parlement » vient du verbe « parler ». Le « parlement » fut l'action de « parler » avant de devenir le lieu où l'on « parle ». Le Parlement se présente aujourd'hui comme une institution représentative du peuple souverain. En Angleterre, terre d'élection du régime parlementaire, la notion s'est formée avec l'évolution de la monarchie. Jouant le rôle d'un contre-pouvoir face à l'absolutisme du pouvoir royal, « le Parlement » a fini par devenir une sorte de rempart.
En France, l'utilisation du mot « parlement » n'a été introduite dans le système constitutionnel que très tardivement. Ce n'est qu'en 1946 que la Constitution a réservé un titre spécial au « Parlement ». La Constitution française du 4 octobre 1958 emploie toujours le mot « parlement », mais en précisant toutefois qu'il comprend l'Assemblée nationale et le Sénat (article 24 alinéa 1). J'ai pu apprécier, au cours de mes mandats de député et de sénateur, le rôle important du parlementaire dans l'organisation et le fonctionnement de la société.
Rouage essentiel du système politique, le parlementaire, malgré la singularité de sa position et les énormes difficultés qu'il rencontre dans l'exercice de son mandat, contribue à la démocratisation de l'espace politique, partant, au succès de l'ouvre de fondation et de consolidation de la nation. C'est pour apporter ma contribution à cette action que j'ai été amené à construire et à rassembler mes différentes interventions à l'Assemblée nationale autour du concept de l'État et de son fonctionnement depuis l'avènement de l'alternance.
Il m'a semblé également nécessaire de donner à cet ouvrage une dimension plus large, en développant une réflexion approfondie sur les réformes fondamentales à entreprendre dans l'État et les entités régionales et locales. En d'autres termes, il s'agit de jeter un éclairage avisé sur les principales questions débattues à l'Assemblée nationale. Un tel éclairage est renforcé par les critiques nécessaires pour que le « pouvoir », quelles que soient les vicissitudes de la vie politique, demeure social et démocratique.
Car, comme l'avait souligné en son temps J. J. Rousseau, « le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit1 »Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11109 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 501663 361.613 DIO Livre La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Exclu du prêt 501664 361.613 DIO Livre La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Disponible Propos d'un sénateur / Diop, Mamadou
Titre : Propos d'un sénateur : Réflexions sur la place et le rôle du sénat dans le système politique sénégalais Type de document : texte imprimé Auteurs : Diop, Mamadou, Auteur Editeur : Dakar [Sénégal] : Edition Clairafrique Année de publication : 2012 Importance : 1 Vol. 138 p. Présentation : Couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918439-25-7 Langues : Français (fre) Catégories : Institutions et politique Mots-clés : Sénégal État République Sénat 1960 Institutions politiques Résumé : Le Sénat plonge ses racines dans un lointain passé. Dans les vieilles démocraties, l'Institution sénatoriale a fini par devenir la pierre angulaire de l'édifice constitutionnel. L'unanimisme qui s'est, ainsi, fait autour du Sénat est en nette contradiction avec la vivacité des critiques et la permanence des débats politiques sur la création d'un Sénat au Sénégal. Certes, un Sénat a été, déjà, créé dans le pays, en 1998.
Sa suppression par la Constitution du 7 janvier 2001 et son rétablissement par une loi constitutionnelle en 2007 amènent, nécessairement, à s'interroger sur la véritable nature d'une Institution saluée par les uns et décriée par les autres. Un Sénat, pourquoi faire ? Telle est la question soulevée par bon nombre d'acteurs politiques et par des détracteurs de tous bords. Les uns prétendent que le Sénat est inutile, coûteux, destiné, essentiellement, à « caser » des amis politiques et, d'autres, par contre, soutiennent qu'il est nécessaire pour parachever la réalisation de l'architecture constitutionnelle et démocratique du pays.
Ayant vécu et participé à l'installation du Sénat lors de la première expérience (1998 - 2001) en qualité de Vice Président de la nouvelle Institution1 et m'étant, toujours, donné le temps de la réflexion sur toutes les questions relatives au fonctionnement de l'État et des Institutions publiques, j'ai jugé utile d'apporter ma contribution pour justifier le bien fondé de la création d'un Sénat, au Sénégal.
Durant toute la période pendant laquelle je siégeais au Sénat, celui-ci m'est apparu, comme un rouage essentiel du système constitutionnel. Il a, dans tous les cas de figure, joué le rôle d'une Assemblée de Sages, sachant, toujours, dépasser l'agitation quotidienne. Il a pu, ainsi, examiner tous les grands dossiers avec sérénité et constance. Se voulant défenseur infatigable de l'autonomie locale, le Sénat a eu, naturellement, comme domaine de prédilection, la décentralisation et le développement local.
Mais, malgré les progrès réalisés dans la consolidation de l'Institution sénatoriale, le débat autour de son opportunité est demeuré plus vif que jamais. À la vérité, le Sénat a, toujours, baigné dans l'ambiguïté. Créé, puis rejeté, recréé, ensuite, le Sénat apparaît, aux yeux de bon nombre de personnes, comme une Institution à l'image obscurcie par l'incertitude qui plane sur son existence et ses finalités.
Dès lors, une étude approfondie de cette Institution s'avère nécessaire tant sur le plan de son développement historique que sur celui de son rôle et de sa place dans l'échiquier politique national et international.Note de contenu : Bibliogr. p. 103 Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11110 Propos d'un sénateur : Réflexions sur la place et le rôle du sénat dans le système politique sénégalais [texte imprimé] / Diop, Mamadou, Auteur . - Dakar (Sénégal) : Edition Clairafrique, 2012 . - 1 Vol. 138 p. : Couv. ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-918439-25-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Institutions et politique Mots-clés : Sénégal État République Sénat 1960 Institutions politiques Résumé : Le Sénat plonge ses racines dans un lointain passé. Dans les vieilles démocraties, l'Institution sénatoriale a fini par devenir la pierre angulaire de l'édifice constitutionnel. L'unanimisme qui s'est, ainsi, fait autour du Sénat est en nette contradiction avec la vivacité des critiques et la permanence des débats politiques sur la création d'un Sénat au Sénégal. Certes, un Sénat a été, déjà, créé dans le pays, en 1998.
Sa suppression par la Constitution du 7 janvier 2001 et son rétablissement par une loi constitutionnelle en 2007 amènent, nécessairement, à s'interroger sur la véritable nature d'une Institution saluée par les uns et décriée par les autres. Un Sénat, pourquoi faire ? Telle est la question soulevée par bon nombre d'acteurs politiques et par des détracteurs de tous bords. Les uns prétendent que le Sénat est inutile, coûteux, destiné, essentiellement, à « caser » des amis politiques et, d'autres, par contre, soutiennent qu'il est nécessaire pour parachever la réalisation de l'architecture constitutionnelle et démocratique du pays.
Ayant vécu et participé à l'installation du Sénat lors de la première expérience (1998 - 2001) en qualité de Vice Président de la nouvelle Institution1 et m'étant, toujours, donné le temps de la réflexion sur toutes les questions relatives au fonctionnement de l'État et des Institutions publiques, j'ai jugé utile d'apporter ma contribution pour justifier le bien fondé de la création d'un Sénat, au Sénégal.
Durant toute la période pendant laquelle je siégeais au Sénat, celui-ci m'est apparu, comme un rouage essentiel du système constitutionnel. Il a, dans tous les cas de figure, joué le rôle d'une Assemblée de Sages, sachant, toujours, dépasser l'agitation quotidienne. Il a pu, ainsi, examiner tous les grands dossiers avec sérénité et constance. Se voulant défenseur infatigable de l'autonomie locale, le Sénat a eu, naturellement, comme domaine de prédilection, la décentralisation et le développement local.
Mais, malgré les progrès réalisés dans la consolidation de l'Institution sénatoriale, le débat autour de son opportunité est demeuré plus vif que jamais. À la vérité, le Sénat a, toujours, baigné dans l'ambiguïté. Créé, puis rejeté, recréé, ensuite, le Sénat apparaît, aux yeux de bon nombre de personnes, comme une Institution à l'image obscurcie par l'incertitude qui plane sur son existence et ses finalités.
Dès lors, une étude approfondie de cette Institution s'avère nécessaire tant sur le plan de son développement historique que sur celui de son rôle et de sa place dans l'échiquier politique national et international.Note de contenu : Bibliogr. p. 103 Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11110 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 501659 361.613 DIO Livre La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Exclu du prêt 501660 361.613 DIO Livre La Bibliothèque centrale Sciences politiques et sociales Disponible