Résultat de la recherche
1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Production de lait, Ferme, Vaches laitière, Races exotiques.'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Étude comparée de l’adaptation des races bovines à haut potentiel laitier au Sénégal / Gnagna Dia
Titre : Étude comparée de l’adaptation des races bovines à haut potentiel laitier au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Gnagna Dia, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Production de lait, Ferme, Vaches laitière, Races exotiques. Résumé : Au Sénégal, on note depuis quelques années une importation croissantes de bovins de races exotiques à travers des éleveurs privés mais aussi dans des programmes coordonnés par l’Etat et le secteur privé dans le but de réduire les importations en lait et en produits laitiers. Aussi, l’Etat avait mis en place depuis plus d’une vingtaine d’années, des programmes d’insémination artificielle à travers l’utilisation de la semence de races bovines exotiques. Cependant, il est à noter que jusqu’à présent, la demande reste toujours élevée et les résultats escomptés à travers ces différents projets et programmes ne sont pas satisfaisante. Aussi, plusieurs races sont utilisées dans ces programmes, mais il se pose quelques fois un antagonisme entre la production de lait et la résistance aux conditions de l’élevage tropical. C’est pour cette raison que nous nous étions fixés comme objectif, de comparer les races laitières exploitées du point de vue leur productivité et de leur rusticité. Pour ce faire, des enquêtes ont été menées dans la zone des Niayes entre Dakar et Thiès pour recueillir les dires des éleveurs et mode de gestion, ainsi que leurs résultats. Il a été donc noté que les fermiers étaient principalement des hommes adultes et que la majorité d’entre eux étaient des fonctionnaires. Les fermiers qui pratiquaient une profession libérale (commerce) avaient des troupeaux beaucoup grands (128 ± 111 têtes) que les autres.
La Montbéliarde était la race la plus présente dans les fermes (88% des fermes), suivie de la Holstein (84% des fermes) et de la Brune des Alpes (56% des fermes). Les races laitières d’origine Brésilienne étaient moins représentées. La quantité moyenne quotidienne de lait par ferme était de 244,12 ± 328,79 litres de lait. La montbéliarde était la race laitière la plus adaptée dans nos milieux d’élevage d’après les dires des éleveurs. Un peu plus de la moitié des éleveurs (57,14%) qui avaient dans leurs fermes la Brune des Alpes, ont soutenu que celle-ci était plus adaptée à nos conditions d’élevage que les autres races laitières.
Du point de vue des éleveurs, la Montbéliarde et la Brune des Alpes sont rustiques que les autres races rencontrées dans les fermes.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10330 Étude comparée de l’adaptation des races bovines à haut potentiel laitier au Sénégal [texte imprimé] / Gnagna Dia, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Production de lait, Ferme, Vaches laitière, Races exotiques. Résumé : Au Sénégal, on note depuis quelques années une importation croissantes de bovins de races exotiques à travers des éleveurs privés mais aussi dans des programmes coordonnés par l’Etat et le secteur privé dans le but de réduire les importations en lait et en produits laitiers. Aussi, l’Etat avait mis en place depuis plus d’une vingtaine d’années, des programmes d’insémination artificielle à travers l’utilisation de la semence de races bovines exotiques. Cependant, il est à noter que jusqu’à présent, la demande reste toujours élevée et les résultats escomptés à travers ces différents projets et programmes ne sont pas satisfaisante. Aussi, plusieurs races sont utilisées dans ces programmes, mais il se pose quelques fois un antagonisme entre la production de lait et la résistance aux conditions de l’élevage tropical. C’est pour cette raison que nous nous étions fixés comme objectif, de comparer les races laitières exploitées du point de vue leur productivité et de leur rusticité. Pour ce faire, des enquêtes ont été menées dans la zone des Niayes entre Dakar et Thiès pour recueillir les dires des éleveurs et mode de gestion, ainsi que leurs résultats. Il a été donc noté que les fermiers étaient principalement des hommes adultes et que la majorité d’entre eux étaient des fonctionnaires. Les fermiers qui pratiquaient une profession libérale (commerce) avaient des troupeaux beaucoup grands (128 ± 111 têtes) que les autres.
La Montbéliarde était la race la plus présente dans les fermes (88% des fermes), suivie de la Holstein (84% des fermes) et de la Brune des Alpes (56% des fermes). Les races laitières d’origine Brésilienne étaient moins représentées. La quantité moyenne quotidienne de lait par ferme était de 244,12 ± 328,79 litres de lait. La montbéliarde était la race laitière la plus adaptée dans nos milieux d’élevage d’après les dires des éleveurs. Un peu plus de la moitié des éleveurs (57,14%) qui avaient dans leurs fermes la Brune des Alpes, ont soutenu que celle-ci était plus adaptée à nos conditions d’élevage que les autres races laitières.
Du point de vue des éleveurs, la Montbéliarde et la Brune des Alpes sont rustiques que les autres races rencontrées dans les fermes.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10330 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003878 a E008 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible 003878 b E008 DIA Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Elevage Disponible