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Diversité des poissons de l’Aire Marine Protégée de Joal-Fadiouth / Diédhiou, Djibril Keïta
Titre : Diversité des poissons de l’Aire Marine Protégée de Joal-Fadiouth Type de document : texte imprimé Auteurs : Diédhiou, Djibril Keïta, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 63 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diversité des poissons, Aire Marine Protégée ,Joal-Fadiouth, Poisson Résumé : En Afrique, la préservation de la biodiversité représente l’un des défis les plus importants de ce siècle au regard de l’accroissement de la population, des changements climatiques, et de l’augmentation de la pauvreté. Les conséquences de ces fléaux sont nombreuses. Elles affectent l’environnement biophysique et les conditions de vie des populations. Mieux, elles ont engendrées une modification de la composition floristique, de la structure de la végétation et une diminution de la disponibilité en ressources biologiques. Ces contraintes n’ont pas épargné le Sénégal. Ce pays, avant la grande sécheresse des années 70, avait une économie dominée principalement par l’agriculture et les phosphates. L’avènement des changements climatiques, combinés à l’accroissement de sa population et à l’augmentation de la pauvreté, a relégué l’agriculture au second plan. Depuis, son économie est portée par le secteur de la pêche qui y joue un rôle crucial au triple plan économique, social et alimentaire. Cette nouvelle situation impacte négativement la faune ichtyologique et les herbiers marins. Ainsi le gouvernement du Sénégal conscient de l’urgence de concilier la conservation des ressources naturelles halieutiques et le développement économique s’est engagé à créer des aires marines protégées comme une contribution aux efforts mondiaux de conservation des écosystèmes marins et côtiers. Cette déclaration fut traduite, par le décret présidentiel no 2004-1408 du 04 novembre 2004, portant la création de cinq (5) Aires Marines Protégées (AMP) (Saint-Louis, Kayar, Joal-Fadiouth, Bamboung et Abéné). Dix ans après leur établissement, une évaluation s’impose afin d’apporter des correctifs nécessaires. Cette idéologie est semblable à la thématique de notre mémoire de fin d’étude ; c’est-à-dire contribution à l’étude de la diversité du peuplement de poissons de l’AMPJF. Celle-ci est menée pour une durée de trois 3 mois c’est-à-dire dans une période allant de juin à septembre 2015. Elle nous a permis d’identifier les différentes espèces et leur aire de répartition dans l’AMP. Au total, 70 espèces ont été recensées entre les différentes stations de pêche expérimentale des deux zones. Ces espèces se répartissent en 60 genres appartenant à 38 familles. Les espèces de la famille des Sciaenidae et des Carangidae sont les plus nombreuses avec respectivement chacune 9 et 7 espèces, suivies par, les Sparidae les Clupeidae et les Tetraodontidae avec 5 espèces pour le premier et 3 espèces pour chacune des deux autres.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6050 Diversité des poissons de l’Aire Marine Protégée de Joal-Fadiouth [texte imprimé] / Diédhiou, Djibril Keïta, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 63 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d’études : Eaux et Forêts : ISFAR ex ENCR de Bambey : 2015
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Diversité des poissons, Aire Marine Protégée ,Joal-Fadiouth, Poisson Résumé : En Afrique, la préservation de la biodiversité représente l’un des défis les plus importants de ce siècle au regard de l’accroissement de la population, des changements climatiques, et de l’augmentation de la pauvreté. Les conséquences de ces fléaux sont nombreuses. Elles affectent l’environnement biophysique et les conditions de vie des populations. Mieux, elles ont engendrées une modification de la composition floristique, de la structure de la végétation et une diminution de la disponibilité en ressources biologiques. Ces contraintes n’ont pas épargné le Sénégal. Ce pays, avant la grande sécheresse des années 70, avait une économie dominée principalement par l’agriculture et les phosphates. L’avènement des changements climatiques, combinés à l’accroissement de sa population et à l’augmentation de la pauvreté, a relégué l’agriculture au second plan. Depuis, son économie est portée par le secteur de la pêche qui y joue un rôle crucial au triple plan économique, social et alimentaire. Cette nouvelle situation impacte négativement la faune ichtyologique et les herbiers marins. Ainsi le gouvernement du Sénégal conscient de l’urgence de concilier la conservation des ressources naturelles halieutiques et le développement économique s’est engagé à créer des aires marines protégées comme une contribution aux efforts mondiaux de conservation des écosystèmes marins et côtiers. Cette déclaration fut traduite, par le décret présidentiel no 2004-1408 du 04 novembre 2004, portant la création de cinq (5) Aires Marines Protégées (AMP) (Saint-Louis, Kayar, Joal-Fadiouth, Bamboung et Abéné). Dix ans après leur établissement, une évaluation s’impose afin d’apporter des correctifs nécessaires. Cette idéologie est semblable à la thématique de notre mémoire de fin d’étude ; c’est-à-dire contribution à l’étude de la diversité du peuplement de poissons de l’AMPJF. Celle-ci est menée pour une durée de trois 3 mois c’est-à-dire dans une période allant de juin à septembre 2015. Elle nous a permis d’identifier les différentes espèces et leur aire de répartition dans l’AMP. Au total, 70 espèces ont été recensées entre les différentes stations de pêche expérimentale des deux zones. Ces espèces se répartissent en 60 genres appartenant à 38 familles. Les espèces de la famille des Sciaenidae et des Carangidae sont les plus nombreuses avec respectivement chacune 9 et 7 espèces, suivies par, les Sparidae les Clupeidae et les Tetraodontidae avec 5 espèces pour le premier et 3 espèces pour chacune des deux autres.
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