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Caractérisation socio-économique et analyse de la demande d’appui conseil des exploitations familiales : cas de Sibassor / Thioye, Maïrame Idrissa
Titre : Caractérisation socio-économique et analyse de la demande d’appui conseil des exploitations familiales : cas de Sibassor Type de document : texte imprimé Auteurs : Thioye, Maïrame Idrissa, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2015 Importance : 49 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2015] Langues : Français (fre) Mots-clés : Exploitation familiale, Exploitation agricole, Revenu agricole, SMAG , Typologie d'exploitation, Pauvreté, Sibassor. Résumé : Cette étude s’intéresse à la caractérisation socio-économique et l’analyse de la demande d’appui-conseil des exploitations familiales de la commune de Sibassor. Elle s’inscrit dans une perspective d’établir une situation de référence de ladite commune par rapport au projet OSIRIS qui a pour finalité d’améliorer durablement la protection économique et sociale des populations rurales. Pour ce faire, une enquête à l’échelle communale, et au niveau individuel couvrant 100 exploitations familiales a été réalisée dans les différents quartiers de Sibassor. L’analyse des données de l’enquête au niveau communal révèle que la zone de Sibassor est plus ou moins bien pourvue en équipements collectifs et infrastructures. L’étude a montré que l’agriculture reste la principale activité pour la majorité des exploitations familiales enquêtées (47%). Ces dernières font néanmoins recours à d’autres activités non agricoles pour se sécuriser et compenser une production vivrière en baisse. Cette situation est d’autant plus remarquable que plus de la moitié du revenu net global (soit en moyenne 456 657 FCFA) provient des activités non agricoles. Il ressort également de l’étude que le revenu agricole mensuel par actif est de 14 976 FCFA en moyenne, ce qui est inférieur au Salaire Minimum Agricole Garanti (SMAG) qui est égal à 38.054 FCFA. En outre, le revenu journalier moyen de l’échantillon est de 182,06 FCFA, largement inférieur au revenu 1.25 dollar par jour et par habitant défini par la Banque Mondiale. Ces résultats combinés mettent ainsi en évidence la problématique de la pauvreté dans la commune. Par ailleurs, une caractérisation générale des exploitations sur la base d’un certain nombre de critères a permis de voir qu’il n’existe pas une seule catégorie d'exploitations familiales. En effet, il est apparu dans l’étude qu’il existe des exploitations à revenu élevé (type 1), à revenu moyen (type 2), et à revenu faible (type 3).
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6060 Caractérisation socio-économique et analyse de la demande d’appui conseil des exploitations familiales : cas de Sibassor [texte imprimé] / Thioye, Maïrame Idrissa, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2015 . - 49 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2015]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Exploitation familiale, Exploitation agricole, Revenu agricole, SMAG , Typologie d'exploitation, Pauvreté, Sibassor. Résumé : Cette étude s’intéresse à la caractérisation socio-économique et l’analyse de la demande d’appui-conseil des exploitations familiales de la commune de Sibassor. Elle s’inscrit dans une perspective d’établir une situation de référence de ladite commune par rapport au projet OSIRIS qui a pour finalité d’améliorer durablement la protection économique et sociale des populations rurales. Pour ce faire, une enquête à l’échelle communale, et au niveau individuel couvrant 100 exploitations familiales a été réalisée dans les différents quartiers de Sibassor. L’analyse des données de l’enquête au niveau communal révèle que la zone de Sibassor est plus ou moins bien pourvue en équipements collectifs et infrastructures. L’étude a montré que l’agriculture reste la principale activité pour la majorité des exploitations familiales enquêtées (47%). Ces dernières font néanmoins recours à d’autres activités non agricoles pour se sécuriser et compenser une production vivrière en baisse. Cette situation est d’autant plus remarquable que plus de la moitié du revenu net global (soit en moyenne 456 657 FCFA) provient des activités non agricoles. Il ressort également de l’étude que le revenu agricole mensuel par actif est de 14 976 FCFA en moyenne, ce qui est inférieur au Salaire Minimum Agricole Garanti (SMAG) qui est égal à 38.054 FCFA. En outre, le revenu journalier moyen de l’échantillon est de 182,06 FCFA, largement inférieur au revenu 1.25 dollar par jour et par habitant défini par la Banque Mondiale. Ces résultats combinés mettent ainsi en évidence la problématique de la pauvreté dans la commune. Par ailleurs, une caractérisation générale des exploitations sur la base d’un certain nombre de critères a permis de voir qu’il n’existe pas une seule catégorie d'exploitations familiales. En effet, il est apparu dans l’étude qu’il existe des exploitations à revenu élevé (type 1), à revenu moyen (type 2), et à revenu faible (type 3).
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