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Etude technico-économique de l'élevage de la volaille au sein des concessions dans la commune de Bambey, Sénégal / Sokhna Diarra Ndour
Titre : Etude technico-économique de l'élevage de la volaille au sein des concessions dans la commune de Bambey, Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Sokhna Diarra Ndour, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 37 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aviculture, Elevage de volailles, Caractéristiques technico-économiques, Typologie d’élevage, Aviculture traditionnelle, Races exotiques, Bambey Résumé : L’aviculture est une activité très répandue au Sénégal et joue un rôle socio-économique important. Dans une optique de mieux connaitre ses caractéristiques, l’aviculture urbaine a fait l’objet d’étude dans la commune de Bambey au Sénégal. L’étude s’est faite auprès de 75 aviculteurs choisis au hasard à travers une enquête formelle. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs, la conduite technique et économique des élevages mais aussi sur l’analyse de ses contraintes. L’aviculture est exercée par des hommes (70,70%) et des femmes (29,30%). Ils sont des mariés (75%), des célibataires (19%) et des veufs (6%) avec une moyenne d’âge 38,64 ± 13,53ans. L’aviculture est exercée plus par des fonctionnaires (22,70%), des étudiants (17 ,3%), des commerçants, ménagers et ouvriers à (14 ,7%) pour chaque groupe. Ceux dont l’aviculture est leur activité principale ne représentent que 8 %. La motivation des aviculteurs est plus qu’économique (53,3%) et passionnelle (25,3%). L’appropriation des animaux revient à 88% aux enquêtés, à 6,7% aux membres de la famille et à 4% aux enfants. Les élevages sont de type mono spécifique (52%) et plurispécifique (48%). Les espèces élevées sont les poulets (locaux et exotiques), les pigeons, les canards, les dindes, les oies, les pintades et les cailles. La quasi-totalité des éleveurs (73,3%) alimentent leurs volailles au moins une fois par jour alors que 26,7% laissent leurs animaux en divagation. La reproduction est plus contrôlée chez les espèces de races exotiques. La vaccination est pratiquée par 64,6% des enquêtés. Les pathologies dominantes sont la maladie de Newcastle, la coccidiose, le Gumboro et la salmonellose. Les marges brutes mensuelles varient de 14700 à 1 558 870 FCFA selon les spéculations et le type d’élevage. Les principales contraintes sont les maladies, la cherté des aliments, la chaleur, le manque de formation. Cependant, le développement de l’aviculture nécessite la mise en place d’un programme de conseil.
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10332 Etude technico-économique de l'élevage de la volaille au sein des concessions dans la commune de Bambey, Sénégal [texte imprimé] / Sokhna Diarra Ndour, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 37 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Elevage : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aviculture, Elevage de volailles, Caractéristiques technico-économiques, Typologie d’élevage, Aviculture traditionnelle, Races exotiques, Bambey Résumé : L’aviculture est une activité très répandue au Sénégal et joue un rôle socio-économique important. Dans une optique de mieux connaitre ses caractéristiques, l’aviculture urbaine a fait l’objet d’étude dans la commune de Bambey au Sénégal. L’étude s’est faite auprès de 75 aviculteurs choisis au hasard à travers une enquête formelle. Les enquêtes portent sur les caractéristiques socioéconomiques des éleveurs, la conduite technique et économique des élevages mais aussi sur l’analyse de ses contraintes. L’aviculture est exercée par des hommes (70,70%) et des femmes (29,30%). Ils sont des mariés (75%), des célibataires (19%) et des veufs (6%) avec une moyenne d’âge 38,64 ± 13,53ans. L’aviculture est exercée plus par des fonctionnaires (22,70%), des étudiants (17 ,3%), des commerçants, ménagers et ouvriers à (14 ,7%) pour chaque groupe. Ceux dont l’aviculture est leur activité principale ne représentent que 8 %. La motivation des aviculteurs est plus qu’économique (53,3%) et passionnelle (25,3%). L’appropriation des animaux revient à 88% aux enquêtés, à 6,7% aux membres de la famille et à 4% aux enfants. Les élevages sont de type mono spécifique (52%) et plurispécifique (48%). Les espèces élevées sont les poulets (locaux et exotiques), les pigeons, les canards, les dindes, les oies, les pintades et les cailles. La quasi-totalité des éleveurs (73,3%) alimentent leurs volailles au moins une fois par jour alors que 26,7% laissent leurs animaux en divagation. La reproduction est plus contrôlée chez les espèces de races exotiques. La vaccination est pratiquée par 64,6% des enquêtés. Les pathologies dominantes sont la maladie de Newcastle, la coccidiose, le Gumboro et la salmonellose. Les marges brutes mensuelles varient de 14700 à 1 558 870 FCFA selon les spéculations et le type d’élevage. Les principales contraintes sont les maladies, la cherté des aliments, la chaleur, le manque de formation. Cependant, le développement de l’aviculture nécessite la mise en place d’un programme de conseil.
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