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Contribution à l’étude du charbon et de l’ergot / Ibrahima Diop
Titre : Contribution à l’étude du charbon et de l’ergot Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima Diop, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 1983 Importance : 30 p. Présentation : ill. couv. ill. en coul Format : 30 cm Note générale : Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 1983 Langues : Français (fre) Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9400 Contribution à l’étude du charbon et de l’ergot [texte imprimé] / Ibrahima Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 1983 . - 30 p. : ill. couv. ill. en coul ; 30 cm.
Mém de fin d’études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 1983
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01411 b A012 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible Essai avancé de variétés de mil à cycle intermédiaire dans les conditions agro-écologiques soudaniennes du Sénégal / Ibrahima Diop
Titre : Essai avancé de variétés de mil à cycle intermédiaire dans les conditions agro-écologiques soudaniennes du Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahima Diop, Auteur Editeur : Bambey [Sénégal] : ISFAR ex Encr Année de publication : 2020 Importance : 35 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 30 cm Note générale : [Mém. de fin d'études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2020 ] Langues : Français (fre) Mots-clés : Mil, Variétés populations, Variétés améliorées, Performances agronomiques, Cycle intermédiaire. Résumé : Le mil est une céréale vivrière cultivée sur les 5 continents. Dans le monde, il occupe la 6ème place après le maïs, le riz, le blé, l’orge et le sorgho. L'Afrique est la seule région du monde où la production du mil augmente. Le mil pénicillaire est cultivé au sud du Sahara ainsi que dans les régions sèches de l'Afrique orientale et australe. Au Sénégal, le mil est la première culture en termes de superficie emblavée devant l’arachide et la seconde en production derrière le riz (DAPSA, 2017). Cependant, au Sénégal, le secteur agricole est le plus affecté par les tendances et la variabilité climatiques. Car l’agriculture, principale source de revenu des ménages et garante de la sécurité alimentaire de la population, est largement tributaire des paramètres climatiques et particulièrement de la pluviométrie. Dans les décennies à venir, les hypothèses de changement du régime pluviométrique pourraient avoir un effet négatif global sur la production du mil, du maïs et du sorgho avec l’aggravement de l’insécurité alimentaire dans de nombreuses régions de l’Afrique de l’Ouest .Par ailleurs, si des mesures d’adaptation ne sont pas prises, des baisses de rendement des cultures céréalières devraient s’accentuer en Afrique subsaharienne, à l’horizon 2050. Pour y faire face, l’utilisation de nouvelles variétés plus adaptées aux nouvelles conditions agro climatiques pourrait offrir aux agriculteurs des possibilités d'adaptation et de résilience face au changement climatique. Des variétés avec des cycles plus courts, plus résistantes aux stress hydriques, biotiques et abiotiques pourraient être une solution pour booster l’agriculture au Sahel et réduire l'exposition des agriculteurs aux risques d'événements météorologiques extrêmes. C’est dans cette perspective que l’Institut International de Recherche sur les Cultures des Zones Tropicales Semi-arides (ICRISAT) en collaboration avec le Centre National de Recherche Agronomique du Sénégal (CNRA) de Bambey a mis au point des variétés de mil à cycle intermédiaire pour servir de palliatifs dans les zones soudaniennes. L’essai a été mené dans la station expérimentale de Nioro durant l’hivernage 2019. Il avait comme matériel végétal 50 entrées dont 35 variétés de type population et 15 de type amélioré (improved varieties) provenant toutes du programme mil de l’ICRISAT/Niger. Le dispositif expérimentale était un alpha Lattice Design avec 3 répétitions de 5 blocs chacune. Des paramètres agronomiques liés à la phénologie, la croissance végétative et le rendement ont été mesurés. Selon les résultats des analyses statistiques, des différences significatives ont été observées pour le délai semi floraison-floraison femelle, la hauteur des plantes, la longueur des épis, le nombre d’épis récolté, le poids des épis, et enfin le rendement en grains. En conclusion, avec nos résultats, on a constaté que les variétés populations se sont montrées plus performantes que les variétés améliorées en termes de rendement en grains. On observe que les variétés les plus productives sont successivement ICMP 187017, ICMV 187006, ICMP 187035. Ces variétés peuvent être testées en essais multifocaux pour adaptabilité et stabilité, alors que plusieurs parmi le reste pourront servir dans le programme national de création variétale
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10307 Essai avancé de variétés de mil à cycle intermédiaire dans les conditions agro-écologiques soudaniennes du Sénégal [texte imprimé] / Ibrahima Diop, Auteur . - Bambey (Bambey, Sénégal) : ISFAR ex Encr, 2020 . - 35 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 30 cm.
[Mém. de fin d'études : Agriculture : ISFAR ex ENCR : 2020 ]
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mil, Variétés populations, Variétés améliorées, Performances agronomiques, Cycle intermédiaire. Résumé : Le mil est une céréale vivrière cultivée sur les 5 continents. Dans le monde, il occupe la 6ème place après le maïs, le riz, le blé, l’orge et le sorgho. L'Afrique est la seule région du monde où la production du mil augmente. Le mil pénicillaire est cultivé au sud du Sahara ainsi que dans les régions sèches de l'Afrique orientale et australe. Au Sénégal, le mil est la première culture en termes de superficie emblavée devant l’arachide et la seconde en production derrière le riz (DAPSA, 2017). Cependant, au Sénégal, le secteur agricole est le plus affecté par les tendances et la variabilité climatiques. Car l’agriculture, principale source de revenu des ménages et garante de la sécurité alimentaire de la population, est largement tributaire des paramètres climatiques et particulièrement de la pluviométrie. Dans les décennies à venir, les hypothèses de changement du régime pluviométrique pourraient avoir un effet négatif global sur la production du mil, du maïs et du sorgho avec l’aggravement de l’insécurité alimentaire dans de nombreuses régions de l’Afrique de l’Ouest .Par ailleurs, si des mesures d’adaptation ne sont pas prises, des baisses de rendement des cultures céréalières devraient s’accentuer en Afrique subsaharienne, à l’horizon 2050. Pour y faire face, l’utilisation de nouvelles variétés plus adaptées aux nouvelles conditions agro climatiques pourrait offrir aux agriculteurs des possibilités d'adaptation et de résilience face au changement climatique. Des variétés avec des cycles plus courts, plus résistantes aux stress hydriques, biotiques et abiotiques pourraient être une solution pour booster l’agriculture au Sahel et réduire l'exposition des agriculteurs aux risques d'événements météorologiques extrêmes. C’est dans cette perspective que l’Institut International de Recherche sur les Cultures des Zones Tropicales Semi-arides (ICRISAT) en collaboration avec le Centre National de Recherche Agronomique du Sénégal (CNRA) de Bambey a mis au point des variétés de mil à cycle intermédiaire pour servir de palliatifs dans les zones soudaniennes. L’essai a été mené dans la station expérimentale de Nioro durant l’hivernage 2019. Il avait comme matériel végétal 50 entrées dont 35 variétés de type population et 15 de type amélioré (improved varieties) provenant toutes du programme mil de l’ICRISAT/Niger. Le dispositif expérimentale était un alpha Lattice Design avec 3 répétitions de 5 blocs chacune. Des paramètres agronomiques liés à la phénologie, la croissance végétative et le rendement ont été mesurés. Selon les résultats des analyses statistiques, des différences significatives ont été observées pour le délai semi floraison-floraison femelle, la hauteur des plantes, la longueur des épis, le nombre d’épis récolté, le poids des épis, et enfin le rendement en grains. En conclusion, avec nos résultats, on a constaté que les variétés populations se sont montrées plus performantes que les variétés améliorées en termes de rendement en grains. On observe que les variétés les plus productives sont successivement ICMP 187017, ICMV 187006, ICMP 187035. Ces variétés peuvent être testées en essais multifocaux pour adaptabilité et stabilité, alors que plusieurs parmi le reste pourront servir dans le programme national de création variétale
Permalink : http://www.biblio.uadb.edu.sn/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10307 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003858 a A011 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible 003858 b A011 DIO Thèses et Mémoires ISFAR Mémoire Agriculture Disponible